[Rol] Second ouvrage : Vers un nouvel horizon

Aikanaro ne s'était pas manifesté durant tout le trajet.Alors qu'il était plutot rigolard, et rustique il n'avait pas broncher pendant la marche et avait simplement acquiesser à la proposition de galeandir le changeforme et avait pris place sur lui en le remerçiant.Le changeforme fut étonné de voir avec quelle grace le vieux mage s'était installé sur lui, dans sa jeunesse il avait due etre proche des animaux car il savait ou ne pas s'appuyer pour que la monture soit la plus satisfaite de son cavalier.Pourtant, il avait marmoné que jamais il ne monterai quoi que se soit lors du premier trajet pour quitter la foret...Le mage songeait, alors qu'ils entraient dans la ville fortifiée humaine il pensait, l'air grave...Il prenait soudain conscience de son grand age.

Humer cet air, sa sent le fumier et la boue, vraiment ces etres n'ont aucune conscidération pour leur odorat héhéhé et leurs aventuriers s'étonnent de faire des malaises lorsqu'ils s'enivrent des parfums de dames elfiques héhéhé...

Ne vous plaignez pas trop mage Aikanaro. Vous n'avez pas le flair du chien. Je me demande coment je fais pour ne pas être malade moi?

*Je regardais les paysans au bord de la route qui sécartaient vivement à notre passage. Ils avaient donc peur même dans leur terre... Pauvres hommes. Il ne doivent pas rigoler tous les jours...*

Je ne pourrait jamais comprendre ces humains. Au lieu de se cacher pour surprendre l'ennemie, ils font des constructions qui se voient à des lieux à la ronde et portent des armures extremement voyantes. Sans compter l'odeur. Je ne pourrai jamais vivre ici, d'ailleurs je ne voudrait vivre que en Athel Loren.

*Continuant sur ma lancée je rejoigni cette fois le vieux enchanteur monté sur une superbe monture*

"Bonjour, vous vous sentez mieux ? J'ai entendu que vous avez été le plus blessé dans l'affrontement d'hier soir. Aussi, c'est les bretoniens qui vous ont offert ce magnifique étalon, je me rappelle pas l'avoir déjà vu.

Edit Slayne : Un premier message bourré de fautes, quoi de mieux ?

*Aikanaro sourit, les yeux pétillant d'amusement...*

A voie basse:Héhéhé mon fidèl destrier, tu entend sa galeandir? tu es une monture bretoniene et la mienne en plus, c'est un bien jolie compliment..

*Eclate de rire intérieurement et aimé un hoquet de joie a voie basse*

Ellandir, voici ma monture et en effet c'est très bon cadeau des hommes, mais bon si seulement elle aurait été plus confortable j'aurai mieux apprécier le voyage!

[+1 Pe d'énérgie et +1 Pv pour le repos sur la monture et la cicatrisation grace aux soins des bretoniens.]

Je me levait et marchais à côté de mes compagnons.
"Alors, comment allez vous?
Je me sens revigoré aprés que les bretonnens m'aient soignés.(+1 pe)
Je souhaite vous prévenir que je ne peux lancer qu'un ou deux sorts par combats sous peine de retomber dans le coma.
Déja mes forces reviennent et j'a des fourmis dans les jambes."

Draedit ne semblais pas repondre :

"Alors ? Je vous ais posez une question..."

Nous arrivames rapidement aux portes du chateau et je compris que nous y resideront pour la nuit.

Demain, oui, demain sera un grand jour !

Woa observait la grande porte massive faite d'acier poli et de bois rustre. Il était resté à une dizaine de mètres de ses compagnons, maugréant à propos de sa défaite .Tout en se massant la tempe , il suivit les elfes lentement et d'un pas peu assuré. Sur sa droite, un spectacle terrifiant. Dans les masures pourries qu'étaient les habitats paysans, une jeune fille à la beautée incroyable, pour une humaine, s'affairait à la vaisselle. Mais alors, un homme rentra, lui remonta sa jupe et se mit à la violer langoureusement. Une très légère larme perla sur la joue de Woa, il ne pouvait intervenir, prenant au pied de la lettre les mots de Draedit. La femme criait, et les elfes étaient plus ou moins impassibles. Woa se mit alors à jouer avec son ocarina une mélodie plus que revigorante. La femme sentit une nouvelle force en elle, elle saisit un plat lourd en terre cuite et l'abbatit de toutes ses forces sur la nuque de l'homme, qui s'écroula à terre. La femme pleura, et Woa continua encore à jouer tout en marchant. Il vit d'autres spectacles, comme l'entraînement à l'arc d'une dizaine de jeune, et la flèche plantée dans la fesse de l'un d'eux.

Il détourna le regard, et observa la porte de bois. Il ne put se retenir et chuchota:

" Ces maudits humains ont abbatus tant d'arbre, et nous sommes obligés d'être heberger chez eux... ''

Je m'approcha de Draedit et lui demanda:

Alors as tu reflechi a nos propositions de l'autre soir ?
Qui va aller voir le Seigneur,allons nous y aller tous ensemble ?
Je me propose encore une fois comme ambassaduer car je parle assez bien la langue humaine du fait de mes nombreux voyages et je connais assez bien les coutumes bretonnienes.
A toi de choisir.

Draedit se tourna vers Fingalar et sembla réflechir un moment.

"Il me parait plus sûr que nous nous rendons tous en même temps chez le Seigneur Carrard. Il pourrai trouver ça louche de ne pas lui présenter tous nos membres, autant commencer par faire bonne impression."

Ils entrèrent donc tous en un seul groupe dans le grand Chateau Bretonnien. De nombreuses armoiries arpentaient les murs et des oriflammes aux couleurs Carrard surplombaient les tours. De nombreux chevaliers, en arme ou non, les regardaient passés avec un regard mélant crainte et admiration.

Ils déambulèrent dans la forteresse jusqu'aux portes de la salle principale où un chevalier portant son haume dans les bras, semblait les attendre.

"Bienvenue...peuple fée. Nous attendions votre visite. Je suis Maleon le second, enchanté. Je vous prie de me suivre."
Il se retouna, les portes s'ouvrirent et tous s'engoufrèrent.

L'atmosphère était pieuse, de nombreux vitraux représentant des scènes héroïques, des armes bénites et des teintures décoraient la salle. Une confrérie de chevaliers hauts en couleurs entouraient le seigneur du chateau, tronant dans un siège de bois d'if, décoré de tissus rouges et brodé d'or.
Le seigneur devait avoir cinquantes années humaines, mais semblait contenir encore toute la vigueure de sa jeunesse. Ses cheveux mi-long légèrement cendrés encandrait un visage noble et carré.

"Bienvenue peuple fée, répèta le seigneur Carrard. Je vous souhaite un agréable séjour dans mon chateau."

Malgré son assurance relative, une pointe de crainte dans sa voix trahissait toutes les légendes que les Sylvains faisaient subir au peuple Bretonnien. Et sa méconnaissance des Asraï pouvait lui coûter cher s'il s'y prenait mal.

Draedit fit une révérence, et expliqua les grandes lignes de leur mission, se gardant pour lui certaines choses que le bretonnien n'avait nul besoin de savoir. Après cette longue tirade, le seigneur se mit à réfléchir et déclara :
"Vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous en aurtez besoin. Nous allons vous aider à soigner vos blessures et nous vous fournirons ce dont vous avez besoin."

L'entretient dura encore quelques minutes, puis ils urent l'autorisation de se déplacer librement dans la demeure Carrard. Toutefois, ils avaient comme consigne de ne provoquer personne et de ne pas approcher les paysans bretonnien qui pourraient réagir de façon imprévisible face à eux.

[Tout le monde peut se balader, s'entraîner, aller à la bibliothèque du chateau, cueillir des champignons...mais vous n'êtes pas autoriser à poutrer la moitié des chevaliers sur votre passage en les provoquants en joute. ]

Je marchais paisiblement dans une etroite ruelle, baigné de dechets, des cochons et des boeufs deambulaient avec les paysan qui me regardais avec méfiance.

Pitoyable..., glissais a Galeandir qui marchait en ma compagnie.

La puanteur prenais mes narines mais je m'efforcais de rester moi meme, "Pas de provocation, et restez discret" avais déclaré Draedit.

Dans un élan de bonheur, je sortais de la batisse et m'aventurais dans la cour.
A ce moment un chevalier entra blessé;
Généreux je m'approchais et me préparais à le soigner lorsqu'n me voyan il prit ses affaires et détala tel un gobelin devant une dryade.
Je sortais du chateau offensé par la réaction de cette homme.
Puis je repris ma ballade qui me conduisit dans les jardins du chateau qui baignait dans une agréable odeur de vie.

*Je marchais dans les ruelles de la ville en compagnie de Nereath. Je lui glissa ces mots :*

"J'éspère que l'on ne va pas rester dans cette ville bien longtemps. Je n'aime pas cet endroit. Les humains sont craintifs et et s'affolent légèrement à notre passage. Si nous restons trop de temps ici on risquerait de causer des ennuis aux dirigeants de la ville. D'ailleurs nous ferons mieux de rentrer au chateau. La nuit est presque tombée et on nous a demandé de ne pas trop trainer dans le coin."

*J'étais à l'affut. Le moindre mouvement attirait mon regard. Mes compétense en matière d'éclaireur pouvaient s'avérer utile dans des endroit comme celui là.*

*J'observais les uns après les autres tous les chevaliers, essayant encore une fois de comprendre à quoi pouvaient bien servir les armures. Ne trouvant toujours pas de réponse satisfaisante, je me détournais de l'assemblée, et me rendais dans la cour, pour rassurer Suie, qui devait se sentir mal à l'aise.*

*Je revis ma monture près de l'entrée du Château. Hennissant doucement, elle vint me voir, impatiente.*

"Oui, bientôt nous pourrons courir, galoper. Garde ton mal en patience, mon amie."

*Je regardais Suie courrir autour de la cour, les paysans l'observant avec méfiance, ne s'approchant pas plus d'elle que de moi. Je décidais de rester là, et d'attendre, tout simplemet.*

"Oui, tu as raison Galeandir" Je jeta un regard sur le soleil couchant et continua :

"Draedit t'as donné un point de "ralliment" ou peut etre passerons nous la nuit dans une de ces...comment disent-ils...taverne ?"

J'entendis un paysan grogner a ma gauche mais prefera l'ignorer, attendant simplement la reponse du changeforme.

*Si ces humains etaient assez bete pour importuner un elfe, je leur montrerais toutes l'étendu de l'adresse elfique*, jurais-je interieurement...

"Non il ne m'a pas donné de point de ralliment, mais je crois avoir entendu qu'on nous avait préparé une suite dans le chateau. Autant se montrer polis et accepter l'offre."

"Soit, rentrons au chateau" et sans un mot, les deux compagnons rebrousserent chemin sous les regards mauvais des quelques paysans qui passaient par la...

*Mais pour qui ils se prennent cela !* Pensais-je gardant malgré moi mon calme...

*après avoir regarder iswaran ridiculiser les archers bretonien, je partie en ville voir les humains dans leurs milieu naturel. Au détour d'un croisement je tombait sur le Gardes éternelle et un compagnon que je n'avais pas encore remarqué*

"salut, Nearath, c'est ça?
Et à toi aussi, dis-je à son compagnon. Bien que je ne vous connait pas encore, j'aimerais vous accompagner, est-ce que je peut?"

"Bien sur mon ami ! Nous rentrons au chateau, nous y resideront pour la niut a ce qu'on m'as dis. A tu des informations concernant notre lieux de rendez vous ? Ou encore la date de notre depart ?"

Je me rendis compte d'un flagrant manque d'attention de ma part....

Draedit lui, avait parlé pendant une heure supplémentaire avec le seigneur Carrard, en tête à tête.

Puis il était sortit, et s'était joint à une troupe de troubadours Bretonnien et avait admiré leurs danses en contrepartie d'une pièce de monnaie Elfique.
Il pus observer leurs gestes et remarqua une nouvelle combinaison possible d'attaque en dansant. Il y penserai en s'entraînant plus tard.

Puis il retourna sur la place du village, où il aperçus quelques uns de ses compagnons qui déambulaient également. Il les hélà et ils firent route ensemble jusqu'à une auberge.

"Seigneur Carrard m'a dit qu'il s'agissai ni-plus ni-moins du meilleur établissement de sa demeure. Mais étant de facture Bretonnienne...il vaut ce qu'il vaut..."
En effet, malgré un certain goût du luxe, plutôt rare chez les bretonnien, la masure n'entrerai jamais dans les critères estétiques des Asraï. Mais ils s'enc ontenteraient pour une nuit.

Ils louèrent la chambre commune pour eux tous, et finallement, tous les autres Elfes les rejoinrent bientôt.

"Nous allons nous reposer ici pour une nuit. Dès demain nous ferons route vers Quenelles. Le seigneur Carrard m'a donné nombres d'informations utiles, etje pense que j'arriverai à vous guider dans ses rues...mal famées."

Les plus austères d'entre eux s'offusquèrent.

"Pour l'heure, nous avons bien mérités du repos."

Il s'étendit sur son propre lit, et sans même se déshabiller, s'endormit facilement.

*je me rapprocha de Draedit pour lui demander quelques explications mais trop tard il était déjà endormit, je rejoint Nereath pour parler*

"Dis, les rues 'mal famé' de Draedit c'est dans quel genre et surtout c'est les rues de Quenelles ou de Carrard?
Aussi c'est vrai qu'il y a des homme-bête-rats dans les sous-sols des humains?"

Je jeta un regard a Ellandir et lui repondis :
"Hum...les rues mal famées, il dois y en avoir dans les deux cité je suppose, il faudra s'attendre a rencontrer des patroiulles, des bandits, et peut etre pire..."

Restant songeur, je poursuivis : "Et la reponse est oui, pour les Hommes-rats, j'en ai deja rencontré lors de la chasse sauvage, ce sont des etres sournois, chetifs et peureux, ils ne poseront pas de reel probleme..."

Sur ces derniers mots, je m'etendis sur une des couches et conclua : "bonne nuit a tous, j'ai bien besoins de repos pour ma part"

Je m'assoupis aussitot et sombra dans les limbes obsur des sols caverneux...

*Voyant les autres commencer à dormir, je les imitais et m'endormit rapidement, en songeant aux prochaines étapes. Dans la ville bretonnienne, il me serait impossible de garder Suie près de moi tout le temps, je devrais probablement la laisser à l'extérieur ...*

*Je m'assis sur mon lit puis je réfléchis longuement avant de prendre ma couette et de me coucher en pensant au lendemain.*

Après l'entretien durant la journée avec le seigneur du chateau, aikanaro avait entamé le pas à la suite d'iswaran pour aller a la bibliothèques, les deux elfes ne s'étaient pas parlé une seule fois, le forestier n'étant pas bavard et aikanaro restant discret et muet depuis quelques temps...il ne s'amusait plus, depuis son infortune face au ungor il avait un peu changé..il était vieux et il s'en rendait compte chaque fois qu'il faisait un pas et que ses cotes le faisait souffrir et chaque fois qu'il tendait le bras pour s'appercevoir qu'une écharde a son épaule ne le guérissait plus aussi vite qu'avant...

Toute la journée il fouina tel un rat de bibliothèque pour en apprendre plus sur la culture bretonienne qu'il trouvait beaucoup plus riche que celle des habitants d'athel loren qui résidait essentiellement sur des chants et des dances.La mine maussade il partie le soir rejoindre ses confrères a l'auberge ou ils avaient rendez vous, il s'installa dans son lit sans dire un mot...J'arrivais certains s'endormait et le garde éternel parlait de skaven

Hey bien nereath, qu'étiez vous en train de dire a notre chère ellandir?...

Ah! les skavens! oui tel est leur nom, ils s'attribuent eux meme ce pseudonyme mais vous pouvez simplement les appelés vermines...Dans les montagnes ou je vis il y en a beaucoup et ma foie ils sont très fourbes méfiez vous d'eux!