[BACK] historique de mon clan

Après la venue des orques en Athel Loren, un lieu resta plusieurs années maudit. Plus aucun arbre ne poussa. Peu à peu, l’eau engorgea le sol et forma des marais. La ou s’élevait de grand arbres, il en poussait des nouveaux, tordu et avec un aspect inconnu de la forêt. Longtemps, cette région eue une réputation sinistre, toutes personnes s’y rendant ne ressortait jamais. Des nappes de brouillards et de nuages toxiques stagnent au dessus des fosses d’eau. Cet univers hostile tient en son centre, une île où se situe en son centre un dolmen qui écarte ces nuages. C’est la que le clan Fesketh à élu domicile. Les elfes ont tracés un réseau de chemin sûr à travers tout le marécage. Les esprits de la forêt prennent ici la forme de petit feu, créant un chemin meurtrier pour toute personne étrangère à la forêt. Les dryades sont forts sournoises, elles aiment conduire les intrus dans des sables mouvants et les regarder se débattre. La tenue des elfes est fort sombre, leurs capes sont de couleurs vertes sombres pour se fondre dans la verdure caractérisée par cette couleur. Cette région a attiré beaucoup d ‘hommes arbres. En effet, étant un secteur fragile au début, beaucoup de ces êtres vénérables sont venus s’installer dans cette région. La plupart sont en profonde léthargie et ne se réveilles qu’en ultime secours. Quelques uns sont néanmoins constamment éveillé. Duriel fait partie d’eux. Il reste sur l’île centrale. Il y a aussi sur cette île un antre où logent plusieurs dragons. Ils hibernent depuis plusieurs siècles maintenant. Mais la chose la plus majestueuse de cette île est Fenaear, le noyer gigantesque. Si le brouillard se dissipait, ils seraient visibles dans toute la région. C’est l’un des rares arbres à avoir résisté aux orques et à la souillure du sol. Des faucons et des aigles géant nichent en son sommet. Ce que des hommes mettraient en plusieurs semaines, ils le font en quelques minutes. La traversée des marais par ces animaux est rapide. Tous les jours, ils quittent leur refuge pour aller se nourrir dans les plaines bordant la forêt.

Ce que des hommes mettraient en plusieurs semaines, ils le font en quelques minutes

Après la venue des orques en Athel Loren, un lieu resta plusieurs années maudit. Plus aucun arbre ne poussait. Peu à peu, l’eau engorgeait le sol et formait des marais. La où s’élevaient de grands arbres, il en poussaient des nouveaux, tordus et avec un aspect inconnu de la forêt. Longtemps, cette région eut une réputation sinistre, toute personne y pénétrant ne ressortait jamais.
Aujourd'hui, des nappes de brouillard et de nuages toxiques stagnent au dessus des fosses d’eau. Cet univers hostile tient en son centre une île où se situe un dolmen qui écarte ces nuages. C’est là que le clan Fesketh a élu domicile. Les elfes ont tracés un réseau de chemins sûrs à travers tout le marécage. Les Esprits de la forêt prennent ici la forme de petits feux, créant ainsi un chemin meurtrier pour toutes personnes étrangères à la forêt. Les dryades sont forts sournoises, elles aiment conduire les intrus dans les sables mouvants et les regarder se débattre. La tenue de ces elfes est sombre, leurs capes sont de couleur verte sombre pour se fondre dans la verdure caractéristique de la région.
De plus, ce lieu a attiré beaucoup d'hommes arbres. En effet, étant un secteur fragile au début, beaucoup de ces êtres vénérables sont venus s’installer dans cette région. La plupart sont en profonde léthargie et ne se réveillent qu’en ultime secours, mais quelques uns sont néanmoins constamment éveillés. Duriel fait partie d’eux. Il reste sur l’île centrale, celle-ci abritant d'ailleurs un antre où logent plusieurs dragons. Ils hibernent depuis plusieurs siècles maintenant.
Mais la chose la plus majestueuse de cette île est Fenaear, le noyer gigantesque. Si le brouillard se dissipait, il serait visible à des lieues à la ronde. C’est l’un des rares arbres qui ait résisté aux orques et à la souillure du sol. Des faucons et des aigles géant nichent en son sommet. [Ce que des hommes mettraient en plusieurs semaines, ils le font en quelques minutes. La traversée des marais par ces animaux est rapide.] Pour leur survie dans ce lieu inhospitalier, ceux-ci quittent leur refuge quotidienement pour aller se nourrir dans les plaines bordant la forêt. et là il manque une fin