[Back] Clan Faesk-eth

La lisière du bois est formée principalement de frênes, pour empêcher l’entrée au bois à maints intrus. Sur cette partie, d’autres essences ont poussés comme les chênes, des hêtres et des noisetiers.

Les collines du printemps éternel sont situées au Nord du domaine, à chaque hiver, la neige ne touche pas le sol, l’eau des lacs et mares ne gèlent pas et la végétation reste luxuriante. Ce phénomène reste un mystère de la forêt. En hiver, des dizaines d’esprit de la forêt viennent en ce lieu où ils peuvent vivre sans hiberner. Sur la colline au centre, se dresse des chênes dont un multimillénaire, il s’agit de Hürti Anoun, un homme arbre qui figure parmi les plus anciens. Il ne s’est réveillé que très peu de fois depuis que les elfes ont investis la forêt, tolérant leur présence.

Plus au Sud, de nombreuses clairières trouent la forêt. Elles sont séparées par des parcelles de bois constituées de bosquet d’if, de bouleau en bordure de clairière en majeure partie. Cette partie de la forêt est située à la même hauteur que la région des collines du printemps éternel.
C’est en ces lieux que le domaine que vivent les elfes du clans Faesk-eth. Les montures paissent dans les nombreuses clairières tandis que les elfes évoluent dans les ifs pour construire leur arc et flèches. Certains quittent le domaine plusieurs semaines pour aller forger des armes au château des chênes, en Bretonnie.

Entre les clairières et les lacs miroitants D’Ithorien, s’étend une vaste étendue marécageuse. Il y a de ça des centaines d’années, des pluies diluviennes se sont abattues sur la région, la forêt prévenait les elfes de l’arrivée imminente de Cyanathair. Les lacs débordèrent et inondèrent la région située entre des réseaux de colline. Le sol argileux, profond au niveau des lacs était bien plus haut dans la région des basses terres, qui après plusieurs mois se transforma en marécage. Le jeune dragon Lacoithai donna son nom au marais. Sa tanière étant dans un îlot situé à l’Ouest, sous un arbre des marais gigantesques.
Une grande bataille se déroula en ces lieux. Le seigneur des bêtes wargum de la harde de la main rouge parvient à entrer dans la forêt par la Bretonnie. Les enchanteurs parvinrent de justesse à cacher les demeures elfes mais ouvrit le passage plus loin dans la forêt. La harde se rassembla dans les marais de Lacoithai. Les tisseurs de charmes invoquèrent des brumes magiques pour renforcer celle déjà présente naturellement. Les brumes magiques bouchaient la vue aux hommes bêtes mais pas aux elfes qui voyaient normalement. Les elfes sonnèrent du cor et jouèrent de la cornemuse pour effrayer les monstres chaotiques, tout en tirant des salves de flèches meurtrières. Les chevaliers sylvains traversaient les rangs des bêtes, puis disparaissait aussi mystérieusement qu’ils étaient apparus. Une fois la harde décimée, les esprits des bois achevèrent le travail en éliminant le reste de la bande.
Après cette glorieuse bataille, il en convient au lieu du conseil que à chaque incursion, les intrus seraient conduits dans les marais pour y être massacré.

Bonjour les arbres,

et le comté bretonnien voisin de mon clan car les deux races sont alliées et amies

Après cette glorieuse bataille

Bonjour le gland (rien de péjoratif, un gland c'est le fruit d'un arbre...).

Admettons, mais il va falloir que tu nous compte comment cela est arrivé, car là c'est un peu léger

Glorieuse ? Un bataille à grand coup de flêches, de cache-cache dans la brume et de charges contre un ennemi aveugle ? Dit pas que c'est glorieux, mais plutôt 'nécessaire'.

Sinon c'est plutôt bien fait.

Pas mal du tout Valkérius!

Pour l'alliance ES-Bretos : mouais u peu bizar, les ES dédaignant les brets,enfin bon si t'as trouvé la combine sa devrait passer

On attends la suite avec impatience!

Conception du clan Faesk-eth :

Ces elfes ont un grands sens de l’honneur et de la justice. Ils sont de plus pas hostiles envers les hommes. Les chevaliers ayant le cœur pur peuvent circuler librement sur le domaine forestier du clan.

Au cours d’une nuit d’été, des esprits de la forêt s’animèrent et attaquèrent les elfes. Plusieurs dryades enragées poursuivaient le jeune Cey qui trouva son salut en quittant la forêt pour les landes bretonnes. Cey arriva dans une bourgade bretonniene. Il prit des vêtements humains, préférant resté dans le monde des hommes le temps que les esprits ce calment. Vagabondant dans cette civilisation étrange. Un jeune homme passa en trombe devant lui, fuyant quelques agresseurs. Cey remarqua la noblesse dans cet être et son instinct lui dicta de le protéger. Il rattrapa les agresseurs et la victime dans une impasse. Cette dernière se débattait contre ses attaquants qui étaient six. Le temps que Cey arrive, un bandit tomba, assommer. Dans un bond dépassant le physique humain, Cey s’abattit sur deux mécréants, les mettant hors d’états de nuire avec une vitesse ahurissante. Les brigands furent promptement mis hors d’états de nuire. Le bruit de la bagarre amena la milice sur les lieux. Cey fut mis en joue par des hallebardiers. Il évita néanmoins la prison et fut mener au petit fort juché sur une colline proche de la ville. La victime qu’il avait protégé n’était d’autres que le fils du duc. Son identité elfique ne pu rester secrète longtemps. Certains ne voulaient pas l’approcher, de peur de recevoir un maléfice de cette fée. D’autres étaient d’avis de le relâcher ou bien de le tueur.
Ne comprenant pas ce peuple, Cey décida de quitter clandestinement le château. Il ne savait pas qu’il pouvait partir librement. Il fuit par la muraille, attaquants des gardes. Malheureusement, il fût capturé avant d’avoir quitter le château. Les gardes l’emmenèrent en prison. Il y restera 5 semaines, le temps que le prince le fasse sortir. Pour ce faire, il fit venir une enchanteresse capable de comprendre le langage des fées. Après s’être expliqué avec, Cey fût libéré.

Quelques temps plus tard, le sénéchal du château monta un coup pour prendre le pouvoir. Le duc fut tué et Yvain fut sauvé par les réflexes de Cey. Ils prirent la fuite vers Athel Loren. Yvain resta hors de la forêt le temps que Cey puisse le laisser entrer sans risque. Il retourna à l’emplacement de son clan. Il expliqua son aventure et le noble donna à Cey une feuille de chêne des collines du printemps éternel, qui avait comme faculté d’apaiser la haine des esprits de la forêt envers les étrangers. Ainsi, Yvain pus rentrer dans Athel Loren sans crainte. Au fil des ans, il apprit un dialecte de langage elfique. Cey apprit le breton. Après 30 ans de vie dans Athel Loren, Yvain décida de partir reprendre son domaine. Cey, devenu un archer émérite le suivis dans sa quête.
Ils arrivèrent au château et s’introduisirent illicitement dedans par un passage secret connu du prince. Et ce, pour surprendre le félon. Ils trouvèrent de nombreux cadavres humains sauvagement mutilés, des traités de nécromancies traînaient sur les tables d’une crypte par où passait le chemin secret. Ils arrivèrent dans les cuisines, surprenant les serviteurs qui s’attelaient à la tâche. Ils débouchèrent dans la sale du trône, se ruant vers l’usurpateur. Ce dernier parvins à faire tomber l’obscurité dans la salle du trône et de lever un squelette caché dans une armure. Le félons e dévoilant au grand jour prit la fuite et disparut à jamais. Yvain fut rétabli sur le trône et prit le nom d’amis de la forêt. Cey retourna en Athel Loren pour y fonder son clan, à proximité du domaine du duc Yvain.

Yvain se maria, quelques années après son couronnement avec Geneviève, une princesse des environs. Ils eurent un enfant nommé Baudouin. Ce dernier se lia d’amitié avec Cey. Il devint chevalier du Graal et jura de protéger la forêt magique. A la mort de son père, il reprit le domaine. A sa cours, nombre d’enchanteresses vinrent. Il rencontra Iseult, demoiselle du Graal qu’il courtisa. Elle lui offrit un fils, Aledéric le juste.
Le chevalier du Graal fit bientôt fortifier son fief, édifiant des bastions, des tours de guet un peu partout. Mais sa plus grosse œuvre fut un château qui avait vue sur la masse verte foncée de la forêt, appelé le château des chênes. Il transcrit sur parchemin un édit ordonnant à tous ses sujets de ne pas toucher à la forêt, pour ne pas éveiller le courroux de ses habitants. En l’honneur de la Dame, Baudouin fit construire une cathédrale dans la ville fortifiée proche de Château des chênes. Il appela les massons et architecte pour bâtir la cathédrale. Un homme qui avait étudié l’art du verre dans l’empire proposa de faire des vitraux. Cey, présent à la cours bretonniene proposa de donner à l’artisan du sable venant des lacs miroitants ainsi que des ocres du même endroit.
En échange, Baudouin offrit à l’elfe, du coton, venant des terres du Sud et de Lustrie, des objets cabalistiques et des gemmes ramenées de la lointaine Arabie lors d’une croisade par un de ses aïeuls. A partir de ce moment là, le commerce entre les humains et les elfes débuta.
Les elfes quand à eux, fournirent la cours du Château en poterie, habit et arme. Ces dernières étaient fabriquées dans les forges du château. Plusieurs elfes venaient en ces lieux pour y forger. L’atmosphère forestière d’Athel Loren se prêtait mal à cet artisanat.