Poème d'Athel loren
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Re: Poème d'Athel loren
Ouais mais je réfléchis dans une optique individualiste. C'est sur on peut mettre des chiffres sur les hommes pour dire c'est bon il a tué son quota de bonhommes avant de mourir donc c'est pas grave il a été rentable.
Mais n'est-ce pas un raisonnement froid et horrible quand on parle de la vie de quelqu'un ? :p
Mais n'est-ce pas un raisonnement froid et horrible quand on parle de la vie de quelqu'un ? :p
Invité- Invité
Re: Poème d'Athel loren
c'est vrai que, dis comme ça...
d'où l'intérêt de mettre des noms à ses soldats ( de préférence à tous ) comme ça on s'y attache plus et on en prend plus soin (ou à l'inverse "le soldat machin à toujours été nul, je vais l'envoyer au CC contre le géant, ça lui apprendra)
après, pourquoi parler de redirection (je vais mettre ce piaffe devant mes archers comme ça c'est lui qui va tout prendre)
d'où l'intérêt de mettre des noms à ses soldats ( de préférence à tous ) comme ça on s'y attache plus et on en prend plus soin (ou à l'inverse "le soldat machin à toujours été nul, je vais l'envoyer au CC contre le géant, ça lui apprendra)
après, pourquoi parler de redirection (je vais mettre ce piaffe devant mes archers comme ça c'est lui qui va tout prendre)
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: Poème d'Athel loren
je pense qu'on va dans le hors sujet là ne pas oublier que c'est la section poèmes ici quand même :p.
On peut continuer par mp si tu y tient ^^
On peut continuer par mp si tu y tient ^^
Invité- Invité
Re: Poème d'Athel loren
nous pourrions continuer
mais pour parler de ça
il nous faudra chanter
par la plume ce débat
certe la mort de guerriers
n'est pas une réjouissance
car par là entraînée
arrive la souffrance
nombreux sont les soldats
qui méritaient de vivre
mais qui au lieu de ça
durent tristement mourir
si la mort fut acquise
par la médiocrités
de la troupe qui l'a prise
pourquoi donc la plaider
si le brave guerrier
au milieu du combat
dans l'honneur est tombé
la tristesse va de soi
si par une vil traitrise
nos soldats sont tués
la vengeance est de mise
le chagrin retardé
mais si leur mort vient
des erreurs du meneur
sur lui la faute revient
qu'il n'exprime pas de "pleurs"
Ethgrì-Wyrda
mais pour parler de ça
il nous faudra chanter
par la plume ce débat
certe la mort de guerriers
n'est pas une réjouissance
car par là entraînée
arrive la souffrance
nombreux sont les soldats
qui méritaient de vivre
mais qui au lieu de ça
durent tristement mourir
si la mort fut acquise
par la médiocrités
de la troupe qui l'a prise
pourquoi donc la plaider
si le brave guerrier
au milieu du combat
dans l'honneur est tombé
la tristesse va de soi
si par une vil traitrise
nos soldats sont tués
la vengeance est de mise
le chagrin retardé
mais si leur mort vient
des erreurs du meneur
sur lui la faute revient
qu'il n'exprime pas de "pleurs"
Ethgrì-Wyrda
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: Poème d'Athel loren
Je suis bien d'accord
Avec votre point de vue
Cependant la dite mort
De n'importe quelle recrue
Jamais ne doit être
Normalisé ou occulté
Car la vie prise par un traître
Ne mérite que notre "irae"
La tristesse survient
Chez les familles malheureuses
Elle meurtri les siens
Et n'épargne pas même les pieuses.
Selingor.
Avec votre point de vue
Cependant la dite mort
De n'importe quelle recrue
Jamais ne doit être
Normalisé ou occulté
Car la vie prise par un traître
Ne mérite que notre "irae"
La tristesse survient
Chez les familles malheureuses
Elle meurtri les siens
Et n'épargne pas même les pieuses.
Selingor.
Invité- Invité
Re: Poème d'Athel loren
Le vent glacial de la mort
Au temps des champs en fleurs
Vécurent des bonheurs sans heure
Harmonie de ces chaudes couleurs
Ainsi que le levé de la douce aurore
Le temps change sur nos rivages
La chaude température chute
L’air se refroidit au passage
Un voile s’approche à nos portes
La clameur des animaux sauvages
Disparaît sous un gris brouillard
Comme la fin d’un lourds carnage
Ce profond silence irréel m’égard
Le vent est remplacer cette bise noire
Une autre sensation se fait ressentir
Donnant la chair de poule le soir
Des longues nuits sombre sans finir
Mes doigts…se raidissent à son contact
Mes jambes… vont m’abandonner aussi
Cet air qui m’entoure et m’emporte
Mes yeux….se ferme, que cela fini
Restez avec nous, m’implora-t-elle
Que ces jours ne deviennent pas noirs
Finissant ma vie sur une bête querelle
Sans avoir le temps de lui dire au revoir
Levant mes yeux devenu rouge au ciel
La main posée le pommeau de l’épée
Qui ma transpercé, mon sang ruisselle
Souffrance, douleur - mes dernières pensées
Sachant qu’il y a toujours quelqu’un
Qui rêvait de finir sa vie à mes côtés
Attendant mon retour avec entrain
Une maison, des frères avec amitié
Baissant mon regard sur l’horizon
Des gens m’entourent, des cadavres
Nombreux ceux qui les pleurerons
Ces elfes qui ont décidés de combattre
Tombant sur le côté, la tête dans l’herbe
Ma dernière vision fut cette belle forêt
Que j’ai juré de défendre, quel barbe
Comment la protégée, six pieds sous terre
Couvert de gloire par des ignorant amis
Mon corps fut vite retrouvé là sans vie
Depuis le jour de ma profonde folie
Reposant dans la terre, quel douce ironie
Au temps des champs en fleurs
Vécurent des bonheurs sans heure
Harmonie de ces chaudes couleurs
Ainsi que le levé de la douce aurore
Le temps change sur nos rivages
La chaude température chute
L’air se refroidit au passage
Un voile s’approche à nos portes
La clameur des animaux sauvages
Disparaît sous un gris brouillard
Comme la fin d’un lourds carnage
Ce profond silence irréel m’égard
Le vent est remplacer cette bise noire
Une autre sensation se fait ressentir
Donnant la chair de poule le soir
Des longues nuits sombre sans finir
Mes doigts…se raidissent à son contact
Mes jambes… vont m’abandonner aussi
Cet air qui m’entoure et m’emporte
Mes yeux….se ferme, que cela fini
Restez avec nous, m’implora-t-elle
Que ces jours ne deviennent pas noirs
Finissant ma vie sur une bête querelle
Sans avoir le temps de lui dire au revoir
Levant mes yeux devenu rouge au ciel
La main posée le pommeau de l’épée
Qui ma transpercé, mon sang ruisselle
Souffrance, douleur - mes dernières pensées
Sachant qu’il y a toujours quelqu’un
Qui rêvait de finir sa vie à mes côtés
Attendant mon retour avec entrain
Une maison, des frères avec amitié
Baissant mon regard sur l’horizon
Des gens m’entourent, des cadavres
Nombreux ceux qui les pleurerons
Ces elfes qui ont décidés de combattre
Tombant sur le côté, la tête dans l’herbe
Ma dernière vision fut cette belle forêt
Que j’ai juré de défendre, quel barbe
Comment la protégée, six pieds sous terre
Couvert de gloire par des ignorant amis
Mon corps fut vite retrouvé là sans vie
Depuis le jour de ma profonde folie
Reposant dans la terre, quel douce ironie
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
Alors super joli là pour le coup mais je note quelques rimes qui peut-être pourraient se trouver plus riches ?
Puis-je te proposer ceci :
Première strophe, deuxième vers remplacer "heure" par "morts" ?
Deuxième strophe, deuxième vers, remplacer "chute" par "s'exporte" ?
Cinquième strophe, troisième vers, remplacer "m'emporte" par "me tracte" ? et plus bas "que cela fini" par "dès que cela fini" ?
Neuvième strophe rempalcer "des cadavres" par "des lueurs dans l'âtre" ?
Dixième strophe quatrième vers remplacer "six pieds sous terre" par "sous terre de six pieds " ? :p
Et ensuite je n'aurais rien de pertinent a ajouter ! Merci pour ce joli poème
Puis-je te proposer ceci :
Première strophe, deuxième vers remplacer "heure" par "morts" ?
Deuxième strophe, deuxième vers, remplacer "chute" par "s'exporte" ?
Cinquième strophe, troisième vers, remplacer "m'emporte" par "me tracte" ? et plus bas "que cela fini" par "dès que cela fini" ?
Neuvième strophe rempalcer "des cadavres" par "des lueurs dans l'âtre" ?
Dixième strophe quatrième vers remplacer "six pieds sous terre" par "sous terre de six pieds " ? :p
Et ensuite je n'aurais rien de pertinent a ajouter ! Merci pour ce joli poème
Invité- Invité
Re: Poème d'Athel loren
certe, la mort ne nous donne
"guerre" plus que des cris et des larmes
mais attention pour qui trop s'y addone
il risque bien vite de passer par les armes
certe, ce n'est pas joyeux pour les preux descedés
mais ceux-ci dans la mort, le corps decomposé
nourirons par le terre nos fidels alliers
par ces esprits vivants ils seront vengés
(excusez-moi mais j'ai un mal fou à taper
certains caracteres car, en exil en Albion,
je ne sais pas tres bien user de leurs claviers
ce qui risque de faire quelques grosses confusions)
"guerre" plus que des cris et des larmes
mais attention pour qui trop s'y addone
il risque bien vite de passer par les armes
certe, ce n'est pas joyeux pour les preux descedés
mais ceux-ci dans la mort, le corps decomposé
nourirons par le terre nos fidels alliers
par ces esprits vivants ils seront vengés
(excusez-moi mais j'ai un mal fou à taper
certains caracteres car, en exil en Albion,
je ne sais pas tres bien user de leurs claviers
ce qui risque de faire quelques grosses confusions)
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: Poème d'Athel loren
je suis à cour d’inspiration ..quelqu'un aurait un thème à proposer?
_________________
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
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Re: Poème d'Athel loren
§§§§§§§§§§§§§§ Bonjour Enfants de la forêt.
]
§§§ Certain rapport de bataille peuvent te redonner l’inspiration perdu.
§§§ Tous comme l'amour donne des ailes au pauvre mortel qui le croyai perdu.
§§§ Bonne journée.
]
§§§ Certain rapport de bataille peuvent te redonner l’inspiration perdu.
§§§ Tous comme l'amour donne des ailes au pauvre mortel qui le croyai perdu.
§§§ Bonne journée.
Dernière édition par Anos fils d'Athel & L le Jeu 7 Fév - 20:08, édité 1 fois
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je veux bien vivre plus de cent ans et danser avec mon autre moi sentir ses bras qui m'emporteront jusqu'au firmament
Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
Age : 63
Localisation : Au Nord d'Athel-Loren
Date d'inscription : 28/04/2008
Re: Poème d'Athel loren
A Selingor , ne sois pas triste les figurines ne meurent pas.
A Nannerl conte nous une épopée,celle d'elfes d'Athel Loren envoyés en exploration à travers le monde,ils doivent revenir et enseigner des secrets à Athel Loren pour son évolution.
Je pense que pour le coup tu peux te permettre pusieurs épisodes,un par périple,tu devrais y trouver des trésors.
A Anos, très touchant ton message
A Wyrd' toi t'es une sacré bonne canaille.
A Nannerl conte nous une épopée,celle d'elfes d'Athel Loren envoyés en exploration à travers le monde,ils doivent revenir et enseigner des secrets à Athel Loren pour son évolution.
Je pense que pour le coup tu peux te permettre pusieurs épisodes,un par périple,tu devrais y trouver des trésors.
A Anos, très touchant ton message
A Wyrd' toi t'es une sacré bonne canaille.
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Athel Loren couvre des milliers d'hectares mais personne n'entre dans la forêt sans que les elfes le sachent.
Elgar huillModérateur - Nombre de messages : 1108
Age : 48
Localisation : Forêt profonde .
Date d'inscription : 29/01/2011
Re: Poème d'Athel loren
Elgar huill, ton idée est pas mal, sauf qu'aucun elfe sylvain ne voudrait sortir volontairement de la forêt pour aller visiter des villes puantes et subit les affronts des peuples qui nous entours pendant son voyage.
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
Ah oui tu crois ça , même par nescessité ? Si l'avenir d'Athel Loren est en danger?Et qu'il leur faut anéantir un seigneur sorcier adverse ou que sais je encore? Il vont rester terrer comme des rats?(J'aime pas l'idée que les sylvains soient des pleutres et je parlais d'un détachement,un ost en fait ,pas Athel Loren dans son entier).
Mais je pense que tu as raison je vais l'écrire. Par contre la poêsie et moi ça fait deux je préfère la prose, ce n'est pas un problème pour moi. Bon à bientôt dans la rubrique Background
Mais je pense que tu as raison je vais l'écrire. Par contre la poêsie et moi ça fait deux je préfère la prose, ce n'est pas un problème pour moi. Bon à bientôt dans la rubrique Background
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Athel Loren couvre des milliers d'hectares mais personne n'entre dans la forêt sans que les elfes le sachent.
Elgar huillModérateur - Nombre de messages : 1108
Age : 48
Localisation : Forêt profonde .
Date d'inscription : 29/01/2011
Re: Poème d'Athel loren
je voulait pas dire du mal des sylvains ni critiquer leurs courages, par-contre si tu en écrit un, je fait aussi composer un écrit, par exemple, l'histoire d'une troupe de DDG réputé dans tous le monde, en direction de Talabheim (première ville humaine qui venait à l'esprit ) pour reproduire leur spectacle.. mais tous se déroule pas comme prévu au-abord de Nuln.....
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
Ne t'inquiètes pas, tu rebondis à merveille je trouve et j'attends de lire ta poêsie homèrique avec impatience.
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Athel Loren couvre des milliers d'hectares mais personne n'entre dans la forêt sans que les elfes le sachent.
Elgar huillModérateur - Nombre de messages : 1108
Age : 48
Localisation : Forêt profonde .
Date d'inscription : 29/01/2011
Re: Poème d'Athel loren
Bonjour,
J'ai retrouvé un poème que j'avais fait il y a longtemps sur Athel Loren.
Veillez m'excuser pour les nombreuses erreurs. Je n'ai pas l'âme d'un poète mais bon :
Ces êtres mystérieux, grâcieux
Vivent en Harmonie avec Dame Nature
Ils vivent éternels dans les cieux
Ces êtres si doués, si purs.
Leurs belles cités dans les forêts
Sont invisibles aux yeux des humains
Donc personne n'a pu regarder
Ces splendeurs faites de leurs mains
En hiver la forêt s'endort
En laissant donc les elfes s'occupait d'elle
ils en prennent bien soin comme de l'or
pour la rendre de plus en plus belle
Et l'été revient, la forêt
les remercie de cette grâce
en leur offrant protection et
de bon fruits dont ils ne se lassent...
Ce poème n'est certes pas à la hauteur de ceux qui sont au dessus mais bon. J'espère que vous avez aimé.
J'ai retrouvé un poème que j'avais fait il y a longtemps sur Athel Loren.
Veillez m'excuser pour les nombreuses erreurs. Je n'ai pas l'âme d'un poète mais bon :
Ces êtres mystérieux, grâcieux
Vivent en Harmonie avec Dame Nature
Ils vivent éternels dans les cieux
Ces êtres si doués, si purs.
Leurs belles cités dans les forêts
Sont invisibles aux yeux des humains
Donc personne n'a pu regarder
Ces splendeurs faites de leurs mains
En hiver la forêt s'endort
En laissant donc les elfes s'occupait d'elle
ils en prennent bien soin comme de l'or
pour la rendre de plus en plus belle
Et l'été revient, la forêt
les remercie de cette grâce
en leur offrant protection et
de bon fruits dont ils ne se lassent...
Ce poème n'est certes pas à la hauteur de ceux qui sont au dessus mais bon. J'espère que vous avez aimé.
Cernunnos/guilde du nord- Nombre de messages : 158
Age : 31
Localisation : Partout et nul part à la fois du moment qu'il y a des arbres
Date d'inscription : 05/12/2011
Re: Poème d'Athel loren
Il est pas si mal je trouve, quelque faute de composition, mais rien de bien grave, tu as respecté les rimes. c'est le principal, c'est ce qui fait que c'est un poème.
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
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Re: Poème d'Athel loren
La flèche monotone
C'est par une forestière
Que la flèche fut trouvée
Elle faisait fi du fer
De l'armure d'un blessé
L'archère s'empara
Du trait et le rangeant
Aperçut près de là
Des hommes s'enfuyant
Elle tira la trouvaille
Qui tirée de trop loin
Traversa bien les mailles
Mais l'homme n'eut presque rien.
Quand ce dernier fut sûr
Que sauve était sa vie,
Il enleva son armure
Et prit le trait pour lui
L’homme devenu âgé
Avait laissé les guerres
La belle flèche encadrée:
Un souvenir amer
Des hommes-bête cruels
Coururent cette nuit là
Tuer dans dans les ruelles
Et dans les habitats
Le vieillard fut tué
D’un fatal coup au cœur
Mais d'autres hommes, acharnés
Repoussèrent les pilleurs.
Quelques semaines après,
La flèche fut vendue
à un nain qui vendait
Des armes et qui s'en fut
Dans les montagnes grises.
Des orques tuèrent le nain
Lui prirent sa marchandise
Et reprirent leur chemin
Mais quand ils remarquèrent
La flèche - pour eux bien peu -
Ils s'en débarrassèrent
Et ne vécurent pas vieux.
Un soir un jeune soldat
Qui allait à la guerre
En marchant remarqua
Une flèche par terre
S’en étant équipé,
Il partit aux lisières
Des grands bois enchantés
Pour y croiser le fer.
Au plus fort du combat
Il fut ordonné
De "tirer dans le tas"
Les cordes furent lâchées.
La flèche s'envola
Et mit fin à la vie
D’un ami du soldat
D’où la flèche partie.
C'est par une forestière
Que la flèche fut trouvée
Elle faisait fi du fer
De l'armure d'un blessé...
Ethgrì-Wyrda
C'est par une forestière
Que la flèche fut trouvée
Elle faisait fi du fer
De l'armure d'un blessé
L'archère s'empara
Du trait et le rangeant
Aperçut près de là
Des hommes s'enfuyant
Elle tira la trouvaille
Qui tirée de trop loin
Traversa bien les mailles
Mais l'homme n'eut presque rien.
Quand ce dernier fut sûr
Que sauve était sa vie,
Il enleva son armure
Et prit le trait pour lui
L’homme devenu âgé
Avait laissé les guerres
La belle flèche encadrée:
Un souvenir amer
Des hommes-bête cruels
Coururent cette nuit là
Tuer dans dans les ruelles
Et dans les habitats
Le vieillard fut tué
D’un fatal coup au cœur
Mais d'autres hommes, acharnés
Repoussèrent les pilleurs.
Quelques semaines après,
La flèche fut vendue
à un nain qui vendait
Des armes et qui s'en fut
Dans les montagnes grises.
Des orques tuèrent le nain
Lui prirent sa marchandise
Et reprirent leur chemin
Mais quand ils remarquèrent
La flèche - pour eux bien peu -
Ils s'en débarrassèrent
Et ne vécurent pas vieux.
Un soir un jeune soldat
Qui allait à la guerre
En marchant remarqua
Une flèche par terre
S’en étant équipé,
Il partit aux lisières
Des grands bois enchantés
Pour y croiser le fer.
Au plus fort du combat
Il fut ordonné
De "tirer dans le tas"
Les cordes furent lâchées.
La flèche s'envola
Et mit fin à la vie
D’un ami du soldat
D’où la flèche partie.
C'est par une forestière
Que la flèche fut trouvée
Elle faisait fi du fer
De l'armure d'un blessé...
Ethgrì-Wyrda
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
La Nymphe
Source de vie au bruit calmant
Innocence et indépendant du temps
Assise à son bord, une déesse sur le rivage
Perdue dans ses pensées, ses nuages
Caressant la surface de ses douces mains
Senti une belle sensation, d’être insaisissable
Etre libre d’aller, décidé de son destin
Ce rêve magnifique et imperturbable
Les bruits l’entouraient, elle ferma les yeux
Elle ressentis quelque chose d’extraordinaire
Une belle mélodie rythmée, au son mélodieux
Bien rare sont ceux qui pourraient l’entendre
Elle se laissa glisser dans la calme rivière
Laissant l’eau la transportée avec douceur
Elle ne faisait plus qu’une avec cet être
Oubliant rapidement le passage des heures
Entourant avec délicatesse son frêle corps
Elle se sentie en sécurité, une assurance
Loin des malheurs du monde au dehors
Désirant être en paix, la délivrance
Levant le regard dans le bleu clair des cieux
Une telle beauté azur, un plaisir pour les yeux
Ecartant ses bras, comme posé sur un nuage
La sensation d’être aspirée par ce paysage
Aimant la tranquillité de ces rivages
Les chants, et de la vie et leur foyer
Décidant avec une larme sur son visage
Acceptant l’offre de l’eau pour l’éternité
Ainsi disparue un jour la jeune déesse
Elle pu réaliser son rêve, avoir la liberté
Parcourant les courants, avec aisance
Ne plus être emprisonnée par la société
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
La forêt des merveilles
Sombre aux mille reflets d’émeraude
Epais feuillage aux mille feuilles
Bosquet à la faune en maraude
Futaie de charme, les émerveilles
Ancien du grand bois, les Chênaie
Au fond, la grande et profonde forêt
La sylve les endormit pour l’hiver
Gardée par un bosquet de frênaie
Bois au repos, les écailles veillent
Hibernant la veille du printemps
Les fleurs d’argent, émerveille
Apaise le cœur pour longtemps
Pluie de plume d’un rose éclatant
Les larmes du vieux cerisier
Portée par le vent puissant
Les mille et une pétales d’été
Au sommet d’un conifère
Un petit merle noir chantant
Mélodie d’un vif concert
Le mélèze l’écouta souvent
Cacher dans l’épaisse brume
Un cèdre restait discret
Avec sagesse et amertume
Ce qu’il pense reste un secret..
Sombre aux mille reflets d’émeraude
Epais feuillage aux mille feuilles
Bosquet à la faune en maraude
Futaie de charme, les émerveilles
Ancien du grand bois, les Chênaie
Au fond, la grande et profonde forêt
La sylve les endormit pour l’hiver
Gardée par un bosquet de frênaie
Bois au repos, les écailles veillent
Hibernant la veille du printemps
Les fleurs d’argent, émerveille
Apaise le cœur pour longtemps
Pluie de plume d’un rose éclatant
Les larmes du vieux cerisier
Portée par le vent puissant
Les mille et une pétales d’été
Au sommet d’un conifère
Un petit merle noir chantant
Mélodie d’un vif concert
Le mélèze l’écouta souvent
Cacher dans l’épaisse brume
Un cèdre restait discret
Avec sagesse et amertume
Ce qu’il pense reste un secret..
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
poème sublime parlant des bois
merveille à l'annonce de l'hivers
la joie et la musique sont là
montrant l'Alliance et ses revers
merveille à l'annonce de l'hivers
la joie et la musique sont là
montrant l'Alliance et ses revers
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
Elgar huill avait proposé de conté une épopée mettant en scène des elfes sylvain vers le monde des humain, alors voili voilo, la première partie.
Récit d’un voyage des elfes sylvain.
Première partie
A la lueur de l’aube printanière
Dans la forêt d’Athel Loren
Un messager apporte une prière
Requête des nobles rois humains
-------
Une troupe d’agiles danseurs
Fut quémander vivement à paraître
Dans les salles d’or des meneurs
Danses, chants pour les distraire
-------
Un vent léger, soulève les pétales
Suivant ce courant d’air en dansant
Traversant ces bois avec zèle
Les oiseux leur clame un chant
-------
La rosée du matin sur les feuilles
Apportant fraîcheur et douceur
Le soleil fit bientôt son accueil
Ses rayons transportant la chaleur
-------
La lisère du bois fut bientôt à portée
Annonçant le début d’une destinée
Long voyage et aventure à la clef
Direction de ces villes fortifiée
-------
Le chemin serpente à l’horizon
La forêt se fait des plus discret
Explore ses sentiers avec attention
Sur les flancs, des barrières et haies
-------
Deux lunes passèrent dans le ciel
Un petit village apparaissait au loin
Une vingtaine de gens s’amoncelle
Autour de la petite troupe baladin
-------
Une méfiance et discrimination
Instinct primitif de la pensée
Au fil d’échanges avec passion
Reforgea leurs propres idées
-------
La confiance commence à s’installer
Une chorégraphie elfe fut montée
Pour graver dans leurs mémoires
L’estime vit à vit des deux empires
Le repos fut accueillit et la bienvenue
La routes est encore longue, cinq lunes
Les paysages s’étendent à perte de vue
La troupe ferma les yeux sans peines
-------
La lumière de l’aube brise leur repos
Ramassant tous leurs équipements
Repartant avec une clémente météo
Ils prient congé de leurs hôtes en dansant
-------
Suivant la voie indiquée sur le panneau
Ils poursuivent leur mission avec entrain
Au-bout d’une colline, puis d’un ruisseaux
Contournant les multiples zones et terrains
-------
Parcourant agilement dans une petite forêt
Des langues noires se dessinent dans le ciel
Annonçant l’approche à la sortie du bosquet
Nuln, ville des créations d’artillerie démentiel.
(Deuxième partie en cours de composition)
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"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
L’avenue de la sombre lune
Les minutes se transformant en heures
Les heures se métamorphose en jours
Les jours s’accentuent en longue semaine
Les semaines endurent des mois de peine
Cela dure depuis fort longtemps
Comme l’avènement de la décadence
Comme l’éveille de la renaissance
Que cela reste dans l’age du temps
Douleur produite pendant ce moment
Fut à jamais gravé dans nos cœurs
Comme annonçant notre revirement
Causer par ce chaos et cette horreur
L’ombre noir causé par votre obscurité
La nuit même fut perturbée par vos efforts
L’équilibre fragile qui le régit s’est effondré
A l’instant de votre folie, la levée des morts
L’événement tragique en ce propre lieu
Trace une marque, celle de l’intolérance
Violer ces âmes paisibles de nos cieux
L’acte impardonnable selon nos croyances
Larmes coulent à leur vue sur leurs visages
Retrouvant leurs êtres aimés devant eux
Mais les cœurs sont plongés dans une rage
Nous savons ce mal pour ces êtres malheureux
Auriez-vous le courage de tuer un ami cher
Tous répondent d’un signe négatif de la tête
Pourtant cela va arriver, comme l’hiver
Cette sensation de malaise vous débecte
Alors libre de choisir de voir vos destinées
Mais le temps vous devance bien souvent
Celui de vivre pour ceux qui sont tombés
Ou aller les rejoindre, cela vous revient
En ce jour funèbre ou nul levé de soleil apparu
En ses termes, ensemble naissait une décision
Malgré les remords, la prendre fut tristement ardue
Les bras sur le cœur, les yeux rouge sur l’horizon….
Les minutes se transformant en heures
Les heures se métamorphose en jours
Les jours s’accentuent en longue semaine
Les semaines endurent des mois de peine
Cela dure depuis fort longtemps
Comme l’avènement de la décadence
Comme l’éveille de la renaissance
Que cela reste dans l’age du temps
Douleur produite pendant ce moment
Fut à jamais gravé dans nos cœurs
Comme annonçant notre revirement
Causer par ce chaos et cette horreur
L’ombre noir causé par votre obscurité
La nuit même fut perturbée par vos efforts
L’équilibre fragile qui le régit s’est effondré
A l’instant de votre folie, la levée des morts
L’événement tragique en ce propre lieu
Trace une marque, celle de l’intolérance
Violer ces âmes paisibles de nos cieux
L’acte impardonnable selon nos croyances
Larmes coulent à leur vue sur leurs visages
Retrouvant leurs êtres aimés devant eux
Mais les cœurs sont plongés dans une rage
Nous savons ce mal pour ces êtres malheureux
Auriez-vous le courage de tuer un ami cher
Tous répondent d’un signe négatif de la tête
Pourtant cela va arriver, comme l’hiver
Cette sensation de malaise vous débecte
Alors libre de choisir de voir vos destinées
Mais le temps vous devance bien souvent
Celui de vivre pour ceux qui sont tombés
Ou aller les rejoindre, cela vous revient
En ce jour funèbre ou nul levé de soleil apparu
En ses termes, ensemble naissait une décision
Malgré les remords, la prendre fut tristement ardue
Les bras sur le cœur, les yeux rouge sur l’horizon….
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"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
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Age : 29
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Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
sommet de la noirceur
le solstice d'hiver,
le jour où Orion meurt,
est pour certains l'enfer.
la tristesse, le brasier
le froid est dans les coeurs
ralentissant les preux,
esprits dans la torpeur
et menaces aux aguets.
le danger est partout
mais il en est pourtant
pour qui cette longue nuit
est une chance et souvent
ils l'attendent sans un bruit
sous un rayon de lune
apogée de couleurs
son crépuscule violet
est la plus belle des heures
de l'année au complet.
si bel apothéose
dés ce moment fini
de nombreux forestiers
traversent les verts taillis
et partent explorer
suivant les chants de l'eau
la pénombre sans fin,
leur discrétion inné,
les farfadets malins
sont leurs seuls alliés
mais que vouloir de plus
et pendant toute la nuit
ces silencieux archers
sans risques d'être pris
éventent les secrets
et les plus dures énigmes
quand l'aube n'est pas loin,
ces habiles voleurs
et les petits lutins
regagnent leurs demeures
dans les cimes enchanteresses
mais ce n'est pas fini
car au petit matin,
perfection aboutie,
l' aube d'or et de satin
dissipe brumes et pénombres
Ethgrì-Wyrda
le solstice d'hiver,
le jour où Orion meurt,
est pour certains l'enfer.
la tristesse, le brasier
le froid est dans les coeurs
ralentissant les preux,
esprits dans la torpeur
et menaces aux aguets.
le danger est partout
mais il en est pourtant
pour qui cette longue nuit
est une chance et souvent
ils l'attendent sans un bruit
sous un rayon de lune
apogée de couleurs
son crépuscule violet
est la plus belle des heures
de l'année au complet.
si bel apothéose
dés ce moment fini
de nombreux forestiers
traversent les verts taillis
et partent explorer
suivant les chants de l'eau
la pénombre sans fin,
leur discrétion inné,
les farfadets malins
sont leurs seuls alliés
mais que vouloir de plus
et pendant toute la nuit
ces silencieux archers
sans risques d'être pris
éventent les secrets
et les plus dures énigmes
quand l'aube n'est pas loin,
ces habiles voleurs
et les petits lutins
regagnent leurs demeures
dans les cimes enchanteresses
mais ce n'est pas fini
car au petit matin,
perfection aboutie,
l' aube d'or et de satin
dissipe brumes et pénombres
Ethgrì-Wyrda
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: Poème d'Athel loren
alla onóro a onórë
------------
je vous présente ici une composition sur les saisons
Lors de la renaissance
et de l'éveil,
quand revient la pitence
pour les corneilles
l'immortel avatar de Kurnous
chevauche sous les branchages
car comme les jeunes pousses
de vivre grandit la rage.
Puis vient l'équinoxe ensoleillé.
Le divin seigneur cornu
ayant ses pouvoirs à son apogée?
les horreurs ne craint plus.
Et tandis que sa puisance
finit de grandir
la nature non rance
termine de verdir.
Mais ensuite vient le déclin
et le seigneur vert
sent en effet sa fin
car c'est la loi de ses pères.
Et tandis que la forêt
se recouvre de feu,
que s'endorment les farfadets
la nature meurt peu à peu.
Mais soudain les arbres nus
se recouvre du foid manteau
immaculé comme le fut
l'âme de Coedill maintenant penaud.
Car c'est bel et bien ainsi
et bien que soit dur à dire
que fonctionne la vie
avant d'à nouveau rire.
----------
Pardonnez mes erreurs
et il me ferait grand plaisir
que sans aucun leurre
mes fautes vous veniez me dire
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je vous présente ici une composition sur les saisons
Lors de la renaissance
et de l'éveil,
quand revient la pitence
pour les corneilles
l'immortel avatar de Kurnous
chevauche sous les branchages
car comme les jeunes pousses
de vivre grandit la rage.
Puis vient l'équinoxe ensoleillé.
Le divin seigneur cornu
ayant ses pouvoirs à son apogée?
les horreurs ne craint plus.
Et tandis que sa puisance
finit de grandir
la nature non rance
termine de verdir.
Mais ensuite vient le déclin
et le seigneur vert
sent en effet sa fin
car c'est la loi de ses pères.
Et tandis que la forêt
se recouvre de feu,
que s'endorment les farfadets
la nature meurt peu à peu.
Mais soudain les arbres nus
se recouvre du foid manteau
immaculé comme le fut
l'âme de Coedill maintenant penaud.
Car c'est bel et bien ainsi
et bien que soit dur à dire
que fonctionne la vie
avant d'à nouveau rire.
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Pardonnez mes erreurs
et il me ferait grand plaisir
que sans aucun leurre
mes fautes vous veniez me dire
Cúchulainn- Nombre de messages : 6
Age : 24
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