Poème d'Athel loren
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Re: Poème d'Athel loren
Déception.
J'ai en ma pocession une arme, un arc.
De bonne facture qui jamais ne ma déçu.
Toujours avec moi, il es ma fierté et ma joie .
Lorsque je lui offre pour un instant mon arc.
Qu'elle le prend entre ses main si douce.
Et qu'elle le bande pour tirer une flèche.
Je voie en elle dans ses yeux vert.
Briller l'étincelle d'une guerrière.
Mai en ce jour sans savoir pour quoi.
Sans comprendre, le bander je ne pu.
J'ai en ma pocession une arme, un arc.
De bonne facture qui jamais ne ma déçu.
Toujours avec moi, il es ma fierté et ma joie .
Lorsque je lui offre pour un instant mon arc.
Qu'elle le prend entre ses main si douce.
Et qu'elle le bande pour tirer une flèche.
Je voie en elle dans ses yeux vert.
Briller l'étincelle d'une guerrière.
Mai en ce jour sans savoir pour quoi.
Sans comprendre, le bander je ne pu.
Dernière édition par Anos fils d'Athel & L le Mar 29 Oct - 23:41, édité 1 fois
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je veux bien vivre plus de cent ans et danser avec mon autre moi sentir ses bras qui m'emporteront jusqu'au firmament
Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Re: Poème d'Athel loren
Vivre et mourir.
Comment lui dire que dans ses bras je revis.
Lors de nos répétitions de danses trop coutes.
Que le temps passe trop vite à mon goût.
Je ne vie et respire qu'au contacte de la Rose.
Comment lui dire qu'à nouveau je meure.
lorsqu'à nouveau prend fin nos répétition.
Que l'espace entre nous me prive de la vie.
Et j'attends le prochain printemps pour renaitre.
Comment lui dire que dans ses bras je revis.
Lors de nos répétitions de danses trop coutes.
Que le temps passe trop vite à mon goût.
Je ne vie et respire qu'au contacte de la Rose.
Comment lui dire qu'à nouveau je meure.
lorsqu'à nouveau prend fin nos répétition.
Que l'espace entre nous me prive de la vie.
Et j'attends le prochain printemps pour renaitre.
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Re: Poème d'Athel loren
C'est l'été est notre clairière ce vide
Et comme nos Frères et Sœurs
Mon Enchanteresse s'éloigne
pour parcourir je ne sais quel chemin
pour aller visiter je ne sais quelle clairière
ou se perdre dans je ne sais quel contrée
Quand je pense qu'une seule journée
loin d'elle suffit à me vider de mes forces
et m'enlevé de mon être toute énergie
Tous ses jours à venir serons insupportable
Son absence torture mon esprit
qui se perd dans les méandre de la douleur
Comme j'aimerais que l'été ne soit plus
que seule l'hiver règne pour qu'à jamais
nos êtres restent unit dans la clairière dansante.
Et comme nos Frères et Sœurs
Mon Enchanteresse s'éloigne
pour parcourir je ne sais quel chemin
pour aller visiter je ne sais quelle clairière
ou se perdre dans je ne sais quel contrée
Quand je pense qu'une seule journée
loin d'elle suffit à me vider de mes forces
et m'enlevé de mon être toute énergie
Tous ses jours à venir serons insupportable
Son absence torture mon esprit
qui se perd dans les méandre de la douleur
Comme j'aimerais que l'été ne soit plus
que seule l'hiver règne pour qu'à jamais
nos êtres restent unit dans la clairière dansante.
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Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Re: Poème d'Athel loren
Dans les jadins d'Anos, la sylve vie toute tranquille
Sous la douce attention de ce grand jardinier
Qui prend soin de chaque plante, des rosiers aux jonquilles
Permettant aux pétales de surgir à l'été
Les elfes emerveillés par l'éclat du jardin
Écarquillent les yeux devant chaque nouvelle fleur
Qui perle dans la verdure comme des diamants carmins
Au parfum délicieux et à l'étrange douceur
Les grenouilles s'y promènent en paix
Faisais sourire leur protecteur
On trouve des chatons des forêts
Qui jouent de futaie en futaie
Pose ton bagage et prend ton temps
Admire un peu ce grand jardin
La nature qui pousse lentement
Les saisons qui l'animent sans fin
Sous la douce attention de ce grand jardinier
Qui prend soin de chaque plante, des rosiers aux jonquilles
Permettant aux pétales de surgir à l'été
Les elfes emerveillés par l'éclat du jardin
Écarquillent les yeux devant chaque nouvelle fleur
Qui perle dans la verdure comme des diamants carmins
Au parfum délicieux et à l'étrange douceur
Les grenouilles s'y promènent en paix
Faisais sourire leur protecteur
On trouve des chatons des forêts
Qui jouent de futaie en futaie
Pose ton bagage et prend ton temps
Admire un peu ce grand jardin
La nature qui pousse lentement
Les saisons qui l'animent sans fin
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Localisation : Edur edoc'sil
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Re: Poème d'Athel loren
Le grand Chêne, L'homme-arbre Vénérable
J'avais rêvé toutes les formes de la Vie
Ô méprisant en moi l'être discret et borné
Je me remémorais, là ici ma secrète envie
Ce destin pour lequel je croyais être destiné
C'est vous que j'évoquais alors, vous race idéale
animaux et habitants farouches passant en mon lieu
Dont les formes changent à la fois elfiques ou bestiales
Recèle un feu subtil qui m'enchante et et m'envieux
Vous qui goûtiez l'avenir, la vie en toute plénitude
Sachez-le j'ai connu le monde et ses malheurs, ma foi
Les soirs où, comme vous, je suis ivre de solitude
Je plongerais, éperdu dans la splendeur des grands bois
Vos esprits s'agitaient dans Athel, tels des dieux sauvages
Et maintes fois, d'une racine, nous vous rappelons ce lieu sacré
Les arbres aiment le silence, juste le vent qui sortait des feuillages
J'ai cru que depuis que j'étais l'un de vous, moi qui me morfondais
Ô méprisant en moi l'être discret et borné
Je me remémorais, là ici ma secrète envie
Ce destin pour lequel je croyais être destiné
C'est vous que j'évoquais alors, vous race idéale
animaux et habitants farouches passant en mon lieu
Dont les formes changent à la fois elfiques ou bestiales
Recèle un feu subtil qui m'enchante et et m'envieux
Vous qui goûtiez l'avenir, la vie en toute plénitude
Sachez-le j'ai connu le monde et ses malheurs, ma foi
Les soirs où, comme vous, je suis ivre de solitude
Je plongerais, éperdu dans la splendeur des grands bois
Vos esprits s'agitaient dans Athel, tels des dieux sauvages
Et maintes fois, d'une racine, nous vous rappelons ce lieu sacré
Les arbres aiment le silence, juste le vent qui sortait des feuillages
J'ai cru que depuis que j'étais l'un de vous, moi qui me morfondais
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"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Que la vie me parait longue
Loin de mon eau vive
Sans elle je me dessèche
Et tombe en poussière
La vie deviens fade sans goût
sans sa douce fraicheur
qui rafraichis mon cœur
et l'enveloppe de baumes
La présence des fleurs embaume
le temps d'une saison l'espace
mai seule celui de la Rose
Parfume mes saisons
Loin de mon eau vive
Sans elle je me dessèche
Et tombe en poussière
La vie deviens fade sans goût
sans sa douce fraicheur
qui rafraichis mon cœur
et l'enveloppe de baumes
La présence des fleurs embaume
le temps d'une saison l'espace
mai seule celui de la Rose
Parfume mes saisons
Dernière édition par Anos fils d'Athel & L le Dim 3 Nov - 15:32, édité 1 fois
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Re: Poème d'Athel loren
Passez donc en Athel Loren
Vous y entendrez des chansons
Nous louons les esprits, la reine
Les bonheurs de chaque saison
Nannerl assise au bord de l'eau
Joue de sa harpe les notes des bois
Elle choisit avec soin ses mots
Les essaye de sa jolie voix
Anos et Rose s'écrivent parfois
Avec de doux poèmes rêveurs
Ecoutez leurs peines et leurs joies
Dans leurs lettres pleines de douceur
Passez donc en Athel Loren
Car sous la neige ou la chaleur
D'un haut soleil ou d'une lune pleine
Une plume écrira dans l'heure
Vous y entendrez des chansons
Nous louons les esprits, la reine
Les bonheurs de chaque saison
Nannerl assise au bord de l'eau
Joue de sa harpe les notes des bois
Elle choisit avec soin ses mots
Les essaye de sa jolie voix
Anos et Rose s'écrivent parfois
Avec de doux poèmes rêveurs
Ecoutez leurs peines et leurs joies
Dans leurs lettres pleines de douceur
Passez donc en Athel Loren
Car sous la neige ou la chaleur
D'un haut soleil ou d'une lune pleine
Une plume écrira dans l'heure
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
Jours de fête.
Dans le village d'accoté
Trois jours de fête se prépare
Que de bonheur dans mon Cœur
Jours de joie et jours de danses
A mes coté ma Rose de la danse
Pour trois jours de gaudriole
Trois jours ou deux ne faisions qu'un
Une seule antithée un seule aura
Ont ne voyer que nous rien d'autre
Même les musiciens étaient voilé
de notre présence dansante
Notre plaisir de tourbillonner
sous les notes de musique
se ressentait dans notre jeux de danse
Au grés des sons musicaux
nous dansions à pérdre haleine.
Dans le village d'accoté
Trois jours de fête se prépare
Que de bonheur dans mon Cœur
Jours de joie et jours de danses
A mes coté ma Rose de la danse
Pour trois jours de gaudriole
Trois jours ou deux ne faisions qu'un
Une seule antithée un seule aura
Ont ne voyer que nous rien d'autre
Même les musiciens étaient voilé
de notre présence dansante
Notre plaisir de tourbillonner
sous les notes de musique
se ressentait dans notre jeux de danse
Au grés des sons musicaux
nous dansions à pérdre haleine.
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Re: Poème d'Athel loren
La séparation.
Le Loup et L'Elfe Ami de puis des siècles
partager la même perle rare le même joyaux
un bijoux d'une beauté sans pareille
mai il fallait faire un choix douloureux
Le garder emprisonner ou le laisser libre
Libre de s'épanouir au grand jour
Dans les bras de sont nouvel Amour
Le Loup Jaloux ne le voulait que pour lui
L'Elfe voulait quand à lui le voir rayonner
Tous deux en désaccord sur le devenir du joyaux
Son entré en guerre l'un contre l'autre
tous deux souffrance de puis trop longtemps
De devoir partager se trésor inestimable
L'un deux devais disparaître pour que l'autre
puisse continuer sa vie sans souffrance
Le Loup est déterminer à combattre et vaincre
Pour garder ce trésor qui le nourri chaque jour
L’Elfe ne veux pas perdre se trésor et pour cela
Est décider à le laisser aller sur d'autres chemins
Le combat dur depuis plusieurs jour plusieurs semaine
Le Loup batu fut enfermé dans une cédule
dont on peux entendre la porte qui raisonnée
sous la colère et la douleur des coups donner
l'Elfe par en paix et serin laissant la clé
Entre les mains de sa destinée.
Le Loup et L'Elfe Ami de puis des siècles
partager la même perle rare le même joyaux
un bijoux d'une beauté sans pareille
mai il fallait faire un choix douloureux
Le garder emprisonner ou le laisser libre
Libre de s'épanouir au grand jour
Dans les bras de sont nouvel Amour
Le Loup Jaloux ne le voulait que pour lui
L'Elfe voulait quand à lui le voir rayonner
Tous deux en désaccord sur le devenir du joyaux
Son entré en guerre l'un contre l'autre
tous deux souffrance de puis trop longtemps
De devoir partager se trésor inestimable
L'un deux devais disparaître pour que l'autre
puisse continuer sa vie sans souffrance
Le Loup est déterminer à combattre et vaincre
Pour garder ce trésor qui le nourri chaque jour
L’Elfe ne veux pas perdre se trésor et pour cela
Est décider à le laisser aller sur d'autres chemins
Le combat dur depuis plusieurs jour plusieurs semaine
Le Loup batu fut enfermé dans une cédule
dont on peux entendre la porte qui raisonnée
sous la colère et la douleur des coups donner
l'Elfe par en paix et serin laissant la clé
Entre les mains de sa destinée.
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Re: Poème d'Athel loren
Dans la pénombre de la nuit
deux visages se font face
Les yeux dans les yeux
Ils sont front contre front
Son cœur se sert
Ses yeux se plissent
Dans le manteau de la nuit
ses visages se sourient
Les yeux river sur une icone
Ils sont l'un contre l'autre enlacer.
Au font de son cœur
des hurlement résonnent
Dans la nuit il rentre
la colère dans le cœur
car le Loup sait et voie
ce que l'Elfe regardent
deux visages se font face
Les yeux dans les yeux
Ils sont front contre front
Son cœur se sert
Ses yeux se plissent
Dans le manteau de la nuit
ses visages se sourient
Les yeux river sur une icone
Ils sont l'un contre l'autre enlacer.
Au font de son cœur
des hurlement résonnent
Dans la nuit il rentre
la colère dans le cœur
car le Loup sait et voie
ce que l'Elfe regardent
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Re: Poème d'Athel loren
TRAHISON et COLERE
Grande est ma déception
Grande est ma colère
Grande est ma peine
Grande est ma souffrance
Grande est ma blessure
Tout au fond de mes entrailles .
Une fissure s'est créée
Pas facile de la réparer ....
Colère
Je la hais, cette colère, qui monte en moi,
Cette colère qui me ronge,
Me rend aveugle, sourde et me tue.
Je la hais cette colère qui me guette,
D’un regard fixe, tranquille, à l’affût.
Je lui ouvre la porte
Faisant fi de l’idée qu’elle peut me perdre.
Elle entre en dansant, me piétine,
En clamant bien haut sa victoire.
Trop tard, je ne peux plus fermer la porte,
Et le diable qui l’accompagne.
Je l’ai laissé prendre racine,
Elle me serre dans sa toile et ricane,
J’en suis malade, je suis perdue.
Et le diable, son comparse,
Qui m’épie et se réjouit.
Pourquoi l’ai je laissé entrer,
Monter en moi comme un raz de marée ?
Elle s’incruste dans mes profondeurs,
Je ne peux la fuir, elle est ma prison.
Je vais de ressentiment en rancœur,
Je me noie dans la haine et la peur.
Que je hais cette colère,
Que je croyais salvatrice!
Elle est preuve de ma faiblesse, de ma grande vulnérabilité .
Grande est ma déception
Grande est ma colère
Grande est ma peine
Grande est ma souffrance
Grande est ma blessure
Tout au fond de mes entrailles .
Une fissure s'est créée
Pas facile de la réparer ....
Colère
Je la hais, cette colère, qui monte en moi,
Cette colère qui me ronge,
Me rend aveugle, sourde et me tue.
Je la hais cette colère qui me guette,
D’un regard fixe, tranquille, à l’affût.
Je lui ouvre la porte
Faisant fi de l’idée qu’elle peut me perdre.
Elle entre en dansant, me piétine,
En clamant bien haut sa victoire.
Trop tard, je ne peux plus fermer la porte,
Et le diable qui l’accompagne.
Je l’ai laissé prendre racine,
Elle me serre dans sa toile et ricane,
J’en suis malade, je suis perdue.
Et le diable, son comparse,
Qui m’épie et se réjouit.
Pourquoi l’ai je laissé entrer,
Monter en moi comme un raz de marée ?
Elle s’incruste dans mes profondeurs,
Je ne peux la fuir, elle est ma prison.
Je vais de ressentiment en rancœur,
Je me noie dans la haine et la peur.
Que je hais cette colère,
Que je croyais salvatrice!
Elle est preuve de ma faiblesse, de ma grande vulnérabilité .
Rose d'Ange- Nombre de messages : 60
Age : 63
Date d'inscription : 07/02/2019
Re: Poème d'Athel loren
L'Ange de la Danse est déchu
Il a été trahi.
Il a beaucoup donné,
Il pensait beaucoup compter
Mais une seule absence
Aura suffi à le remplacer.
La danse compte plus que l'Ange
Alors il veut ( va?) s'en aller .
La Rose d'Ange est flétrie, fanée
Elle va mourir et disparaitre?
Une autre la remplacera.
Il a été trahi.
Il a beaucoup donné,
Il pensait beaucoup compter
Mais une seule absence
Aura suffi à le remplacer.
La danse compte plus que l'Ange
Alors il veut ( va?) s'en aller .
La Rose d'Ange est flétrie, fanée
Elle va mourir et disparaitre?
Une autre la remplacera.
Rose d'Ange- Nombre de messages : 60
Age : 63
Date d'inscription : 07/02/2019
Re: Poème d'Athel loren
Si déchu l'ange a était
Trahi le Loup l'a était bien avant
Et pourtant jamais
oh non jamais
il n'as rejeté sa Rose.
Trahi le Loup l'a était bien avant
Et pourtant jamais
oh non jamais
il n'as rejeté sa Rose.
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Anos fils d'Athel et de Loren.
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Date d'inscription : 28/04/2008
Re: Poème d'Athel loren
Cœur de bois
L'oiseau et le Chêne:
Au cœur d'une prairie se trouve un Chêne fière et de belle allure au branches avenantes.
Les oiseaux de toutes couleurs venaient s'y poser et se sentent protégés, posés sur ses branches.
Le Chêne fière et fort de sa puissance joue avec ses oiseaux aux plumages de toutes couleurs.
De tout horizon ils viennent pour l'admirer et profiter sa belle hospitalité.
Chaque jour qui passait était un moment de plaisir et de joie pour ce grand Chêne.
Un jour un oiseau d'une rare beauté c'est posé sur l'une de ses branches.
Ce bel oiseau au plumage changeant chantait admirablement bien, si bien,
qu'il charma de son joli chant et de son frais minois le grand Chêne.
Le temps passe et le Chêne délaisse petit à petit tous ses amis qui se perchaient sur ses branches.
Il ne voyait plus que ce bel oiseau au multiples couleurs qui lui chantait de douces mélodies.
Des jours heureux passèrent sans qu'aucun nuages gris ne viennent troubler ses jours heureux.
Mais un jour l'oiseau au plumage changeant le délaissa pour se percher sur un grand Hêtre.
Qui, à le voir semble bien plus instruit et plus sensible moins joueur peut être que le grand Chêne
Un Corbeau au plumage plus noir que la nuit plus sombre que les jours de pluies
Vient se poser au pied de ce dernier qui perdu dans ses pensées ne l'avait pas remarqué
Le Corbeau éleva la voix et dit à l'arbre :
Alors vieux chêne ton cœur de bois tombe en copeau et de ton écorce qui semblait impénétrable
une plaie béante c'est ouverte que l'on y voit ta sève s'écouler sans que rien ne puisse l'arrêter.
Le Chêne ne répond, reste muet, mais de ses feuilles on y voit comme des larmes couler l'eau.
L'Arbre se meure doucement de cette perte qui lui apportait tant de chose qu'il ne retrouvera.
L'oiseau et le Chêne:
Au cœur d'une prairie se trouve un Chêne fière et de belle allure au branches avenantes.
Les oiseaux de toutes couleurs venaient s'y poser et se sentent protégés, posés sur ses branches.
Le Chêne fière et fort de sa puissance joue avec ses oiseaux aux plumages de toutes couleurs.
De tout horizon ils viennent pour l'admirer et profiter sa belle hospitalité.
Chaque jour qui passait était un moment de plaisir et de joie pour ce grand Chêne.
Un jour un oiseau d'une rare beauté c'est posé sur l'une de ses branches.
Ce bel oiseau au plumage changeant chantait admirablement bien, si bien,
qu'il charma de son joli chant et de son frais minois le grand Chêne.
Le temps passe et le Chêne délaisse petit à petit tous ses amis qui se perchaient sur ses branches.
Il ne voyait plus que ce bel oiseau au multiples couleurs qui lui chantait de douces mélodies.
Des jours heureux passèrent sans qu'aucun nuages gris ne viennent troubler ses jours heureux.
Mais un jour l'oiseau au plumage changeant le délaissa pour se percher sur un grand Hêtre.
Qui, à le voir semble bien plus instruit et plus sensible moins joueur peut être que le grand Chêne
Un Corbeau au plumage plus noir que la nuit plus sombre que les jours de pluies
Vient se poser au pied de ce dernier qui perdu dans ses pensées ne l'avait pas remarqué
Le Corbeau éleva la voix et dit à l'arbre :
Alors vieux chêne ton cœur de bois tombe en copeau et de ton écorce qui semblait impénétrable
une plaie béante c'est ouverte que l'on y voit ta sève s'écouler sans que rien ne puisse l'arrêter.
Le Chêne ne répond, reste muet, mais de ses feuilles on y voit comme des larmes couler l'eau.
L'Arbre se meure doucement de cette perte qui lui apportait tant de chose qu'il ne retrouvera.
Dernière édition par Anos fils d'Athel & L le Dim 19 Avr - 22:32, édité 1 fois
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Re: Poème d'Athel loren
L'éloignement.
Il y a deux jours qu'elle m'a fait part de son départ, demain elle prendra la route
qui la mènera au bout de notre forêt, de l'autre coté loin de notre clairière
Depuis je ne dors plus, mon corps est en peine, mon âme elle même tremble
Car à l'autre bout de notre Forêt le danger et omniprésent et d'y penser m'effraie
Celui qui l'accompagne saura t- il la protéger ? si le danger se présente à eux ?
Cet éloignement comme tant d'autres me déchire l'âme dans sa profondeur
il ne se passe pas une heure sans que je ne pense à elle, même les nuits
Sont entrecoupé d'éveil et de réveille qui font de ses nuits sans sommeil
Je somnole d'heure en heure revivant les moment de joie et de tristesse
Mais l'un d'eux nous a foudroyé et depuis je ne suis plus celui que j'étais
Diminué je l'étais déjà lors de notre rencontre mais aujourd'hui je ne suis plus
Plus qu'une coquille vide sans désire, sans envie, que j'en ai perdu ma peau.
L'eau qui coule sur ce feu ardent qui ne s'éteint ne suffit à me raisonner
Mon esprit en feu se consume de ne pouvoir me nourrir de sa chaleur
Le manque de sa présence m'appauvrit de l'énergie dont j'ai besoin.
Elle me dit que l'avenir révélera notre destin que j'imaginais à ses côtés
Mais au crépuscule de ma vie je ne vois qu'une solitude sans vie.
Il y a deux jours qu'elle m'a fait part de son départ, demain elle prendra la route
qui la mènera au bout de notre forêt, de l'autre coté loin de notre clairière
Depuis je ne dors plus, mon corps est en peine, mon âme elle même tremble
Car à l'autre bout de notre Forêt le danger et omniprésent et d'y penser m'effraie
Celui qui l'accompagne saura t- il la protéger ? si le danger se présente à eux ?
Cet éloignement comme tant d'autres me déchire l'âme dans sa profondeur
il ne se passe pas une heure sans que je ne pense à elle, même les nuits
Sont entrecoupé d'éveil et de réveille qui font de ses nuits sans sommeil
Je somnole d'heure en heure revivant les moment de joie et de tristesse
Mais l'un d'eux nous a foudroyé et depuis je ne suis plus celui que j'étais
Diminué je l'étais déjà lors de notre rencontre mais aujourd'hui je ne suis plus
Plus qu'une coquille vide sans désire, sans envie, que j'en ai perdu ma peau.
L'eau qui coule sur ce feu ardent qui ne s'éteint ne suffit à me raisonner
Mon esprit en feu se consume de ne pouvoir me nourrir de sa chaleur
Le manque de sa présence m'appauvrit de l'énergie dont j'ai besoin.
Elle me dit que l'avenir révélera notre destin que j'imaginais à ses côtés
Mais au crépuscule de ma vie je ne vois qu'une solitude sans vie.
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Re: Poème d'Athel loren
Nous faut-il cette année négliger le solstice
Et ne pas lui offrir de poème amateur?
Comment se résigner à faire ce sacrifice?
En voici un, petit, mais qui me vient du coeur
Je ne t'oublie pas, Nuit qui ose prendre son temps
Toi qui de toute l'année est la seule qui autant
Prend au radieux soleil pour faire régner les astres
Solstice, de cette journée tu trompes le cadastre
Je ne peux expliquer pourquoi tu me fascines.
Ni pourquoi tu me manques depuis l'année dernière
Peut-être est-ce parce que tu annonces l'hiver
Et avec lui la fin d'une année assassine?
Solstice tu es beaucoup plus qu'une simple nuit
Tu es la peur des uns, des autres l'inspiration,
La terreur des anciens dans leurs froides maisons,
Mais aussi pour beaucoup la source de leurs écrits
Faisons tous deux semblant d'ignorer l'évidence:
Qu'avant l'année prochaine nous ne nous verrons guère
Et laisse-moi te dire "Merci pour cette danse
Ô solstice bonne année, et à bientôt j'espère!"
Et ne pas lui offrir de poème amateur?
Comment se résigner à faire ce sacrifice?
En voici un, petit, mais qui me vient du coeur
Je ne t'oublie pas, Nuit qui ose prendre son temps
Toi qui de toute l'année est la seule qui autant
Prend au radieux soleil pour faire régner les astres
Solstice, de cette journée tu trompes le cadastre
Je ne peux expliquer pourquoi tu me fascines.
Ni pourquoi tu me manques depuis l'année dernière
Peut-être est-ce parce que tu annonces l'hiver
Et avec lui la fin d'une année assassine?
Solstice tu es beaucoup plus qu'une simple nuit
Tu es la peur des uns, des autres l'inspiration,
La terreur des anciens dans leurs froides maisons,
Mais aussi pour beaucoup la source de leurs écrits
Faisons tous deux semblant d'ignorer l'évidence:
Qu'avant l'année prochaine nous ne nous verrons guère
Et laisse-moi te dire "Merci pour cette danse
Ô solstice bonne année, et à bientôt j'espère!"
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
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Re: Poème d'Athel loren
je vois que ça vie ici, ça réchauffe le coeur
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
Age : 29
Localisation : Une belle Forêt Helvétique
Date d'inscription : 20/07/2012
Re: Poème d'Athel loren
§§§ Bonjour Nannerl et Ethgri Wyrda.
Heureux de vous revoir parmis nous
De votre absence un vide c'est fait
Tout deux de vous savoir là à ce jour
Remplis ce silence qui s'est installé.
De votre main reprenez votre lot
Et écrivez sans que ça lasse l'histoire
Déposez sur parchemins tous les mots
Maux de douleur de votre vie déboire.
Heureux de vous revoir parmis nous
De votre absence un vide c'est fait
Tout deux de vous savoir là à ce jour
Remplis ce silence qui s'est installé.
De votre main reprenez votre lot
Et écrivez sans que ça lasse l'histoire
Déposez sur parchemins tous les mots
Maux de douleur de votre vie déboire.
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je veux bien vivre plus de cent ans et danser avec mon autre moi sentir ses bras qui m'emporteront jusqu'au firmament
Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Re: Poème d'Athel loren
Je suis tout aussi heureux de te recroiser Anos^^
Après tout, qu'y-a-t'il de mieux qu'un tour en foret pour trouver l'inspiration pour toutes les choses de la vie?
ha oui, bien sûr, la même chose avec des poèmes
Après tout, qu'y-a-t'il de mieux qu'un tour en foret pour trouver l'inspiration pour toutes les choses de la vie?
ha oui, bien sûr, la même chose avec des poèmes
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: Poème d'Athel loren
De retour au bosquet.....bien peu de parole et de classe du silence qui caresse les feuilles....sans faire bouger les branches.....cela va changer! ma harpe et mes poèmes reviennent après un périple chez nos semblables hautains....le vieux chêne doit s'ennuyer sans poème dans ses branches.....
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Erazkiel aime ce message
Re: Poème d'Athel loren
§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la forêt.
Seul le vent caresse les feuilles
Car les mots manquent à l'Arbre
pour exprimer tout le bien fait
qu'il produit dans sa chevelure
Et quand le vent traverse ses branchages
aucun maux ne transpires de l'Arbre
que les stigmates de ses méfaits
laissé aux racines de sa coiffure
§§§ Bonne nuit
Seul le vent caresse les feuilles
Car les mots manquent à l'Arbre
pour exprimer tout le bien fait
qu'il produit dans sa chevelure
Et quand le vent traverse ses branchages
aucun maux ne transpires de l'Arbre
que les stigmates de ses méfaits
laissé aux racines de sa coiffure
§§§ Bonne nuit
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Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Date d'inscription : 28/04/2008
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