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Message par Narmacil Ven 7 Juil - 18:15

Bonjour à tous (toutes ?)
je post mon premier récit ici
il s'intitule (j'vous l'donne en mille...) Juste retour
et parle (j'vous l'redonne en mille...) d'elfes sylvains (enfin je crois bom )
c'est la première partie d'une petite nouvelle que j'ai écrite il y a quelques années déjà.
Bonne lecture !

Elle était là, entourée par l’herbe verte, comme une reine au milieu de ses sujets. D’un rouge si vif qu’on aurait dit un coquelicot. Mais elle n’en était pas un, ses longs pétales fuselés formaient un cercle autour de son pistil jaune. A la manière d’une couronne. Elle venait d’éclore la veille. Ça avait été sa première journée au soleil et elle s’était tenue tournée vers lui autant qu’elle le put. Maintenant que l’astre de lumière tombait derrière l’horizon dans un flamboiement d’oranges et de jaunes, elle semblait retombée légèrement, comme si l’effort l’avait épuisée. Mais le lendemain, elle se redresserait et le surlendemain également, jusqu’à ce que ses pétales se fanent et que finalement elle meurt. Mais il lui restait encore quelques jours à profiter du soleil d’été, là où elle était, entourée par l’herbe verte. Puis une ombre vînt lui cacher le spectacle du soleil couchant.

* * *
Kaderiath affichait un léger sourire au coin de ses lèvres pâles. La journée avait été bonne, très bonne. Derrière lui, des vivats montaient du campement. Ses soldats se divertissaient, il leur devait bien ça. Son sourire se mua en rictus cruel en imaginant le sort qu’ils faisaient subir aux prisonniers trop mal en point pour survivre au voyage de retour. De retour vers Naggaroth.

L’attaque sur la ville bretonnienne de Pavanons avait été un chef-d’œuvre de stratégie, il fallait bien l’avouer. Les elfes noirs avaient littéralement balayé la garnison qui était sensée la défendre grâce à une habile diversion. Kaderiath se félicita de ne pas avoir sous-estimé les humains : ils avaient immédiatement mordu à l’hameçon et les chevaliers s’étaient fait tailler pièces par les balistes à répétitions. Massacrer le reste des gardes n’avait pas été bien long ni difficile. La ville avait été prise avant que le soleil ne soit à son zénith. Le commandant elfe noir ricanait intérieurement. Nombreux étaient ceux à Naggaroth qui avaient parié sur sa perte dans cette expédition, mais il avait maintenant l’occasion de leur clouer le bec, voire de les faire assassiner –Il nota mentalement de verser une généreuse donation au temple de Khaine. Car les prises avaient été plus qu’exceptionnelles. Certes ils avaient dû s’enfoncer profondément en territoire bretonnien mais qu’importe, ils seraient loin lorsque les bretonniens arriveraient.

Ce raid lui octroyait esclaves et richesse mais plus important que tout, il lui confèrerait gloire auprès de ses pairs ; les portes de la haute noblesse s’ouvriraient d’elles-mêmes. C’était là que résidait le pouvoir que convoitait tant Kaderiath.

Les clameurs se faisaient toujours entendre derrière lui, accompagnés des sinistres cris des torturés à mort. L’elfe noir sentit un frisson de plaisir remonté le long de son échine, il se gorgeait de la douleur que ses soldats infligeaient aux humains. « Un vrai régal » murmura-t-il pour lui-même.

Un croissant de lune montait paresseusement dans le ciel étoilé, éclairant de sa pâle lueur le campement Druchii. Kaderiath se pensait peut-être à l’abri mais il n’en était pas moins resté prudent et avait fait installé le camp entre une immense forêt brumeuse et de hautes montagnes, à quelques lieues de Pavanons. Ce qui ne laisserait à un éventuel ennemi qu’un unique front par lequel attaquer. De toute façon l’elfe noir doutait que personne ne soit assez vaillant ou assez fou pour le faire et puis aucune armée bretonnienne ne pouvait se trouver à moins de trois jours de marche. D’ici là, son armée aurait quitté les lieux et serait presque en vue de la côte.

D’ordinaire cette pensée aurait suffi à le rassurer. Mais cette fois-ci, il ne se sentait pas tranquille. Quelque chose le rendait mal à l’aise, comme une boule au ventre sans qu’il puisse en deviner la raison. Tu penses trop, se dit-il. Deviendrais-tu faible ? Il sourit de son autodérision. Il n’était pas faible et ne le serait jamais. Il ne le croyait pas, il le savait et c’était là toute la différence avec leurs pitoyables cousins d’Ulthuan. Son visage prit un air encore plus sombre qu’auparavant. Puisse Khaine faire brûler leur âme maudite pour l’éternité ! Cria-t-il dans l’intimité de son esprit. Ses yeux tombèrent alors sur une fleur d’un rouge vif, là, entourée par l’herbe verte. Kaderiath sourit de nouveau et une lueur cruelle éclaira son regard. Elle était l’image même des hauts-elfes : fière, superficielle et plus que tout faible. D’un geste du pied, il écrasa le végétal.

Mais bien qu’il essaya de se convaincre du contraire, il n’était toujours pas serein. Le commandant elfe noir ne parvenait pas à se débarrasser de ce malaise. Faisant demi-tour, il franchit la trentaine de mètres qui le séparait de l’entrée du campement et passa devant les sentinelles qui lui firent le salut protocolaire. Son armure de métal noir ne faisait presque pas de bruit quand il marchait et sa cape bleue nuit –aux couleurs de sa maison– se fondait dans le décor. Seul le léger cliquetis de ses deux fourreaux frappant les plaques de sa cuirasse trahissait son passage dans le camp. Il arriva à la place « centrale » où une grosse partie de l’armée regardait les prisonniers se faire torturer par ceux qui étaient passés maîtres dans cet art. Une douzaine de Bretonniens étaient étendus sur des planches de bois inclinées –afin que tout le monde profite du spectacle. Kaderiath resta en arrière. Il avait déjà vu ce genre de spectacle des centaines de fois mais cela restait à son goût comme pour tout ceux de son peuple. Toutefois, comme il ne se sentait pas rassuré, il finit par faire un tour du campement, et fut régulièrement salué par les gardes qui le parsemaient. Ses hommes le respectaient, il le savait, mais ce n’était pas pour autant qu’il devait se permettre des erreurs, cela, il le savait aussi.

Puis au milieu de tentes de simples soldats, il vit une grande pierre levée, recouverte par le lierre et usée par le temps. L’aura qu’elle dégageait lui donnait pourtant envie de vomir. Il se retînt mais garda tout de même un atroce goût de fiel dans la bouche. La colère monta en lui, comment une chose aussi insignifiante pouvait-elle le mettre dans un état pareil ? Il n’avait aucune réponse à cette question. D’un pas rapide, il se détourna de l’objet et se dirigea vers une grande tente aussi rouge que le sang. Il était d’ailleurs quasiment certain que cette couleur faisait trop vraie pour n’être que de la teinture. Deux gardes en armure lourde et armés de hallebarde la gardaient. Il s’annonça, même lui ne pouvait y entrer sans invitation. Lorsqu’il franchit les épaisseurs de tissus qui constituaient la porte, une douce odeur d’encens envahit ses narines.

_ « A quoi dois-je cette honneur Kaderiath ? Ou devrais-je dire ce plaisir ? » La voix qui venait de parler était d’une sensualité qui laissait toujours le Druchii perplexe. Il fit face à son interlocutrice. Celle-ci était couchée sur un lit de cousins de soie et de velours et mangeait lentement des grains de raisins. Devant elle, une coupe contenant un liquide écarlate reposait sur une table basse. Kaderiath doutait qu’il s’agisse de vin.
_ « J’ai besoin de toi Lokeren, et de ta magie. » Dit-il sur un ton plus froid qu’il ne l’aurait peut-être dû, mais il ne voulait pas s’éterniser avec elle. Le visage de la sorcière se figea et le noble ne put s’empêcher d’avaler sa salive. Mais elle avala un dernier fruit et accepta de le suivre, après avoir recouvert son corps nu d’une simple toge pourpre. En chemin, il ordonna à une poignée de soldats de les accompagner. Ils arrivèrent rapidement devant la pierre levée et Lokeren eut visiblement elle aussi un haut-le-cœur, ce qui rassura Kaderiath : il n’était donc pas le seul. Mais il n’allait pas pour autant laisser voir son malaise à ses elfes et encore moins à la sorcière, elle aurait trop contente de pouvoir s’en servir contre lui.
_ « Par Khaine ! Voici donc les pitoyables vestiges de nos faibles cousins ! » Harangua-t-il avec un rire méprisant. « Et bien, finissons donc le travail des humains ! » Il ordonna aux soldats de renverser la pierre.

Mais alors que le premier elfe posait ses mains dessus, un éclair d’énergie bleutée jaillit de la roche et le projeta à une dizaine de mètres en arrière. Les autres reculèrent aussitôt en voyant la dépouille inerte et fumante de leur camarade. Lokeren s’avança tout de même, pleine de confiance et approcha une torche. La lumière de la flamme révéla une rune elfique, gravée dans la pierre. Kaderiath la reconnu immédiatement mais non sans dégoût : c’était la rune d’Isha, mère des elfes et déesse de la nature. Le commandant Druchii cracha sur la roche avant de remarquer à voix haute :
_ « Elle doit encore renfermer quelque pouvoir, étonnant ! » Lokeren ne prit même pas la peine de se tourner vers lui pour répliquer :
_ « Je ne te connaissais pas aussi perspicace Kaderiath. » Le ton qu’elle avait employé transpirait l’ironie. « Je vais peut-être finir par croire que tu recèles un soupçon d’intelligence. » Ses mots étaient pure provocation et ne visaient qu’à le rendre ridicule, le Druchii le savait. Mais il ne lui laisserait pas le plaisir de l’humilier plus encore en s’énervant.

_ « Abstiens-toi de commentaires Sorcière. » Souffla-t-il. « Prouve nous plutôt que ta magie est plus forte que la leur. » L’intéressée lui jeta un regard noir mais il ne broncha pas. Alors elle se plaça devant la pierre dressée et se concentra. L’éclair avait attiré l’attention des soldats alentours, ils étaient nombreux à présent, formant un large cercle autour du mégalithe. Lokeren laissait s’écouler les flux de magie noir au travers d’elle, se gorgeant de leur pouvoir, puis elle se mit à murmurer des mots inaudibles en tendant une main, face contre ciel. Sa volonté prit la forme d’une petite boule, plus noire que la nuit elle-même, d’où jaillissaient en permanence des arcs électriques. Puis avec un dernier mot strident, elle jeta le projectile magique contre la pierre, mais celle-ci au lieu de se briser, ne fit qu’absorber l’énergie et rien d’autre ne se passa. Lokeren paraissait perplexe et peut-être même troublée, pensa Kaderiath avec un sourire intérieur. La sorcière de Khaine s’approcha de lui et lui glissa à l’oreille :
_ « Ce n’est pas la magie des faibles, j’en suis certaine. Je n’avais jamais rencontré celle-ci, elle est trop brute pour que je puisse la dompter en si peu de temps. » L’elfe noir qui croisait les bras depuis un moment acquiesça, feintant d’approuver un conseil de la magicienne : il ne fallait pas que ses soldats sachent qu’elle était impuissante, bien que la tentation de le crier haut et fort fut tentante.
_ « Tu as raison Lokeren. Nous attendrons demain pour l’abattre, afin que tous nos frères puissent voir notre supériorité. En attendant, nous avons des humains à faire souffrir ! » Ses paroles portèrent et une clameur monta de l’assistance, les elfes retournèrent à la torture ou à leurs occupations. La sorcière allait elle aussi disposer mais Kaderiath la retînt par le bras.
_ « Fais attention Kaderiath, n’oublie jamais qui je suis. » Lui murmura-t-elle froidement.
_ « Je viens de te sauver la face, sorcière. Ça, ne l’oublie pas non plus. » Répondit-il sur le même ton. « Veille à ce que demain, tu sois plus efficace. Dans ton intérêt. » Finit-il en s’éloignant. Le commandant elfe noir était persuadé que la sorcière allait passer une partie de la nuit à se demander si ce qu’il venait de dire était une menace ou non. Un rapport à la Grande Sorcière du couvent pourrait lui faire du tort, mais il pourrait aussi s’attirer les foudres de Lokeren. Et les assassinats étaient monnaie courante à Naggaroth. Il ne faudrait pas agir à la légère décida-t-il.

Il retourna directement à sa tente, il n’était pas d’humeur à se divertir. Malgré la tension qui semblait monter en lui, il trouva rapidement le sommeil. Au loin, le brame sourd d’un grand cerf perça le silence de la nuit.


* * *


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Message par Invité Ven 7 Juil - 21:59

Bon texte, bien écrit lisible, vivant.

On ne se retrouve pas là devant un enième combat d'un bataillon ES, ça change Very Happy

Sinon je trouve que tu met tout de même un ch'tit peu trop l'accent sur la torture.
Je sais très bien pour ma part que la plupart des Druchiis ne sont pour le moins par très symphatique, mais de là à faire des tortures publiques, il y a une marge.
Les Elfes Noirs restant des Elfes à la base (si si), ils aiment tout de même ce qui est beau...là c'est pas flagrant xD

Mais ça reste un détail mineure, je me répète c'est un texte vivant.

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Message par Narmacil Dim 9 Juil - 16:57

et bien merci Slayne !
a propos de la torture, euh, pour ma part (on va me trouver chauvin...) mais je vois pas trop d'abus.
il y a quoi ? 3 phrases qui en parlent?
et puis les EN comme tu le dis ne sont pas très sympatiques
Ce qu'ils aiment par dessus tout c'est faire souffrir les autres races
Les Elfes Noirs restant des Elfes à la base (si si), ils aiment tout de même ce qui est beau...là c'est pas flagrant xD
dans la concetption que je me fais des EN, c'est justement la souffrance qu'ils trouvent belle. donc bon... variance de points de vue quoi Wink

en tous cas, merci d'avoir commenté, voilà la suite, bonne lecture :


Kaderiath fut brusquement réveillé par les cris de ses elfes et le sifflement strident de flèches dont une creva la toile de sa tente pour se planter à ses pieds. Elle était empennée de vert. Le commandant Druchii ne perdit pas un instant de plus, il agrippa ses épées et sortit de l’abri. L’aube arrivait à peine, la pénombre recouvrait encore le campement mais Kaderiath n’avait pas besoin d’un soleil éclatant pour voir la scène qui se déroulait devant ses yeux : une grêle incessante de flèches s’abattait sur ses soldats paniqués qui couraient en tous sens pour échapper aux mortels projectiles. Soudain, le noble elfe noir, dans un geste aussi rapide que précis fit un moulinet d’épée qui empêcha un trait de le transpercer. Qui diable était cet ennemi qui les attaquait ? Les bretonniens ? Il n’y croyait pas. Qui alors ? Trop de questions et aucune réponse.

Kaderiath saisit un bouclier qui gisait au pied d’un elfe percé de deux traits. Combien de ses soldats étaient-ils déjà morts ? Puis, alors qu’il courait vers un abri plus sûr, la pluie de flèches cessa. Le commandant elfe noir risqua un œil dans la direction de l’attaque et il vit que la forêt n’était plus visible, un banc de brume qui courait jusqu’au pied du camp la camouflait. Son pouls s’accéléra. Le désordre le plus total régnait chez les elfes que les projectiles avaient épargné. Les secondes s’écoulèrent sans que rien ne se passe, sans un bruit ; une éternité pour les ténébreux. C’est alors que le son d’un cor résonna à leurs oreilles et l’instant d’après, ils furent sur eux.


* * *


Lorsque Kaderiath revînt à lui, une atroce douleur lui traversa l’épaule et il ne pouvait plus bouger sa jambe gauche, elle devait être brisée en plusieurs endroits. Le commandant elfe noir voyait encore flou, même les sons n’étaient pas nets. Il tenta de se rappeler les événements.

Ils avaient reçu la charge de plein fouet, sans même avoir le temps de réagir. Des créatures vêtues de peaux ou de fibres végétales, recouvertes de tatouages, de plumes et de rameaux sautaient partout, tranchant les corps, prenant des vies à chaque passage. Kaderiath lui-même ne savait pas où donner de la tête. C’est alors qu’une espèce d’arbre vivant l’avait frappé et il s’était évanoui.

Il se tourna sur le côté avec un râle de douleur et vit la tête fracassée d’un sang froid. Il fut soudainement content de n’avoir que l’épaule et une jambe de brisées. Il tenta de se relever mais l’effort se révéla vain et le mit à bout de souffle. Brusquement, des mains griffus l’attrapèrent par derrière et le traînèrent devant une forme floue à ses yeux embrumés. Il crut toutefois distinguer ce qu’il prit pour des jambes de cerf. Il ne déchiffra rien des paroles que prononçait une voix caverneuse. Il ne savait même pas si elle s’adressait à lui ou non. Mais de toute façon, il ne s’en préoccupait pas, car la douleur prenait le pas sur ses pensées. Puis une autre voix se fit entendre. A la fois douce et terrible aux oreilles de l’elfe noir. Elle s’écoulait en lui comme une cascade d’au fraîche en même qu’un torrent de lave en fusion. Il regretta presque qu’elle s’arrêta, mais il n’en eut pas le temps car il fut de nouveau traîné à même le sol et la douleur le fit sombrer dans les ténèbres de l’inconscience.


* * *


Le noble Druchii fini par reprendre conscience et le soleil l’éblouit lorsqu’il tenta d’ouvrir les yeux. Combien de temps était-il resté évanoui ? Un jour ? Deux jours ? Où étaient ses elfes ? Qui étaient ces ennemis ? Les questions se bousculaient dans sa tête endolorie. Deux choses étaient pourtant certaines : il avait perdu la notion du temps et il était outrageusement attaché par des liens de corde à un arbre. La douleur n’avait pas disparu ni de son épaule ni de sa jambe et elle le rappelait à l’ordre assez souvent pour qu’il s’en souvienne.

Où pouvait-il bien être ? Pourquoi l’avait-on ligoté ainsi ? Il jeta un regard autour de lui dans la mesure où il le pouvait.

C’est alors qu’il comprit quel sort lui était réservé.

Il se trouvait au beau milieu de la bourgade que lui et son armée avaient assailli. Ses projets de gloire s’évanouirent.

Les bretonniens ne tarderaient plus.


Narmacil -

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Message par Invité Dim 9 Juil - 19:10

variance de points de vue quoi Wink
On va dire ça Razz

ne perdit pas un instant de plus, il agrippa ses épées et sortit de l’abri.
Tiens, j'ignorait que Kaderiath aimait dormir avec son armure Mr. Green

Il se trouvait au beau milieu de la bourgade que lui et son armée avaient assailli.
Et après c'est les Elfes Noirs qu'on traite de sadiques xD


Toujours aussi lisible, j'aime bien, ton style est différent de ce que l'on voit d'ordinaire, un bon point en somme ^^

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Message par Invité Dim 9 Juil - 20:31

bravo pour ce récit, bien écrit, une pointe d'intrigue, des ES... thumleft

Petite question, y aura t il une suite ? on pourrait admettre que c'est la fin, comme ça ne peut etre qu'un début...

Ghorg ~ dwarf ~

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Message par Narmacil Lun 10 Juil - 10:18

Merci à vous deux !
Non Ghorg, désolé, mais il n'y aura pas de suite
c'est une courte nouvelle, rien de plus !
mais dès ce soir je vais poster une autre histoire sur les ES
beaucoup, beaucoup plus longue Wink


Tiens, j'ignorait que Kaderiath aimait dormir avec son armure

ah mais il n'a pas son armure Mr. Green

Et après c'est les Elfes Noirs qu'on traite de sadiques xD

héhé, petit service entre alliés Mr.Red


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