[REC] Les ombres vertes

par Rhydysann Sam 22 Mar - 19:37

Les ombres vertes

Chapitre I:

Dans la ville de Nuln située au Nord de la forêt d'Athel Loren le comte de Nuln attendait avec impatience sur son trône de fer l'équipe d'exploration qu'il avait envoyé pour explorer la forêt d'Athel Loren.
Car des rumeurs couraient dans l'Empire que cette forêt était vivante que les arbres bougeaient et que des elfes nommé les Elfes Sylvains y vivaient et tuaient quiconque y rentrait.
La quarantaine bien tassée, le comte avait des yeux bleus ressortant sur une barbe brune surmontée d'une tignasse de la même couleur, qu'encadrait un visage sec, bourru, à l'image de sa carrure musclée qui mettait en valeur sa grande taille.
Il avait hérité du trône a l'âge de dix huit ans quand son père était mort à la guerre contre des Orks. Depuis ce jour, il dirige Nuln d'une poigne de fer et tout son royaume le respecte.
Lorsqu'un homme à l'armure de noble tachée de sang fit irruption dans la salle. Son bras blessé portait une bande tachée de sang
Alors le comte s'écria:
"-Ah! Mon brave général Rulius! Je m'impatientais. Que vous est il arrivé? Où sont vos hommes? Cette forêt est elle maudite alors?
-Monseigneur avec tout l'honneur que je vous dois cette forêt est pire que l'enfer, quand vous nous avez envoyé je pensais que cette forêt était comme les autres alors nous nous sommes enfonçaient dans la forêt les épéistes nous frayaient un chemin entre les arbres les fusiliers étaient autour du tank à vapeur et les hallebardiers nous protégeaient tout autour.
Quand après dix minutes de marche ce fut le cataclysme, le général se tut.
-Continuez général je vous l'ordonne dit le compte bruyamment.
-Bien mon seigneur dit le général d'une petite voix.Donc je reprend où j'en était cela faisait dix minutes que nous marchions quand une pluie de flèches s'abattit vers notre direction ce qui tua une cinquantaine hallebardiers et mon second le noble Starch le borgne.
Je fus terrorisé et donnais l'ordre au fusilier de tirer dans toutes les directions et aux épéistes ainsi qu'aux hallebardiers d'avancer en formant un carré.
Quand j'entendis une voix grave disant "mort aux ennemies d'Athel Loren" et deux secondes plus tard environ une soixantaine d'arbre vivant à l'allure humaine chargèrent les épéistes.
Ces arbres étaient des arbres de taille moyenne, ils avaient des branches de partout dont deux sur le côté qui formaient les bras et les mains de ces créatures.
Ils avaient un visage humain et ressemblé à une femme, des bouts d'os et des corps étaient attachés à leurs branches.
Puis un cor sonna et des guerriers elfes sylvains dans de somptueuses armures richement décorées, avec des capes et des lances chargèrent les hallebardiers.
Je criai de tenir le coup à mes hommes quand un dragons des forêts apparurent l'un cracha du poison sur les fusiliers ce qui en tua au moins une vingtaine.
Puis il chargea le char à vapeur et le détruit d'un coup des épéistes essayèrent de l'attaquer mes leurs armes rebondissaient sur ses écailles et ils se firent juste après dévorés.
Pour finir il s'en prit à moi, j’esquivai habilement son coup de queue et ordonna a mes hommes de battre en retraite.
Le dragon en fasse de moi essaya de me cracher du poison mais j’esquivai habilement et m'enfuis avec les dix derniers épéistes. Nous sortîmes de la forêt au bout de deux heures de course folle car des chevaliers sylvains nous suivaient. Le pire est qu'ils montaient sur un cheval sans selle et ils tiraient si bien qu'ils abattirent six de mes hommes.
Une fois sortis de la forêt les cavaliers nous rattrapèrent. Alors les épéistes s’arrêtèrent et chargèrent les cavaliers en me criant "fuyez mon seigneur et prévenez le compte."
Je saluais leur courage et parti mais avant un de ses maudits elfes me tira une de ses flèches et me toucha aux bras.
Puis cela fait trois jours que je marche pour revenir à Nuln et je fus le seul survivant.
Voila mon histoire ô mon roi.
-Vous avez abandonné vos hommes devant l'ennemi général Rulius cela est un comportement lâche, qu'on l'enferme et qu'on l’exécute dans trois jours pour lâcheté.
Trois hommes saisirent le pauvre général et l'emmenèrent mais avant de sortir de la salle du trône il cria
Je vous maudis comte de Nuln et je vous jure que je reviendrais me venger"
Et il partit le comte resta seul dans la salle du trône. Il appela l'un de ses serviteurs et demanda de rassembler tous les nobles de Nuln pour une réunion de guerre.

...

Pendant ce temps dans la forêt un jeune forestier elfe sylvain ( éclaireur elfe sylvain expert en tire qui ne veut plus habiter dans des maisons dans les bois et qui vit dehors dans les bois) assis sur un arbre rêvait de quitter cette forêt en quête de gloire et de découvrir le monde.
Cet elfe se nomme Tanu il était grand, a les cheveux brun et les yeux vert comme l’émeraude. Il était né en dehors de la forêt d'un père humain et d'une mère noble elfe sylvain c'est le seul elfe sylvain a ne pas avoir les cheveux blonds et les yeux bleus.
Tanu avait été accepté par la forêt à la seul condition qu'il ne revoie plus jamais son père.
Mais même accepté par la forêt, les autres elfes se moquaient de lui car il n'était pas comme eux.
Tanu alors partit un beau jour rejoindre les forestiers, là bas il fut accepté par tous malgré ces différences.
Il se fit même deux amis l'elfe Stano, un jeune elfes qui était devenue forestier car il ne supportait plus sa famille, Stano était grand, fort et plutôt blagueur.
Et Mara une jeune elfe qui était de taille moyenne, douce et gentille avec tout le monde.Mais personne ne sait pourquoi elle est devenue forestière.
Depuis le jour où Tanu était rentré chez les forestiers il n'avait jamais regretté son choix..
Il fut dérangé dans ses pensées par Stano qui l'appela en disant:
"-Et mon frère tu viens on va voir pourquoi venaient ces humains il y a trois semaine.(Car le temps écoulé en dehors d'Athel Loren et dans Athel Loren n'était pas le même)
-Attend j’arrive, Tanu descendit de l'arbre où il était car oui Tanu avait participé à la tuerie des hommes du général Rulius.
Arrivait en bas de l'arbre Tanu vit Mara et lui dit:
"-Mara tu viens avec nous?
-Bien sur pourquoi?
-Bha pour savoir."
Et ils partirent arriver là bas ils restaient encore tout les cadavres, qui entraient en décomposition, et la carcasse du char a vapeur.
Cela sentait la mort et Tanu se retint de vomir.
Stano vit une épée au sol dans son fourreau et alla la voir, l'épée en question était placé à côté du corps de son propriétaire, un épéiste.
Ce pauvre épéiste était mort d'une flèche entre les deux yeux.
Stano prit l'épée la sorti de son fourreau et fit quelque mouvement avec puis la jeta à terre et fouilla l'épéiste à qui appartenait cette épée.
Tanu s'approcha du second du général Rulius, il était allongé une flèche dans le dos, Tanu le retourna et pensa pourquoi tant de mort inutile et pourquoi ces hommes étaient obligés de venir dans cette forêt.
Il fouilla l'homme et trouva un parchemin, il le prit et le mit dans sa sacoche. Puis Stano dit
"-Bon j'en ai marre rentrons, ne restons pas près de ces cadavres d'humains dégouttant il m'exaspère.
-Comme tu veux Stano, de toute façon la forêt engloutira bientôt leurs corps" répondit Mara et ils partirent.
Tanu resta la encore a fixer le garde mort qu'il venait de fouiller, puis partis rejoindre ses compagnons

...

Plus loin à Nuln, le général Rulius fut jeter dans une cellule dans la prison du royaume.
La cellule où était le général était petite il n'y avait pas de lit mais de la paille pour faire les lits, les murs étaient sales et des cafards se balader par terre.
Le général était seul dans la cellule il regarda en dehors de sa cellule et vit les gardes ils n'étaient que deux, un jeune et un vieux ils avaient une armure lourde et un sabre.
Le général se coucha et attendit le soir.
Le soir arriva bien vite et les gardes distribuèrent les repas ,du pain dur et moisi, arrivés à la cellule du général les gardes donnèrent le repas et dirent au général de se réveiller. Mais le général resta allonger et dit:
"-Pourquoi je me nourrirai de toute façon je vais crever comme un chien dans trois jours.
-Lève toi commença à s'énerver le plus jeune garde.
-Laisse le dit le soldat le plus âgé.
-Bien mon capitaine.
-C'est bien écoute le bien comme un chien-chien et plus tard ils te jetteront en prison tout comme moi.
-Soldat Park restait en arrière je vais donner une correction à cet homme dit le plus âgé des gardes.
Le garde rentra dans la cellule et sortit son épée de son fourreau c'est à ce moment que le général Rulius sauta sur le garde lui donna un coup de poing dans le visage, esquiva le coup d'épée que le geôlier essaya de lui donné, lui fit lâcher le sabre qui tomba par terre plus loin. Rulius reprit l'épée du garde et lui trancha la tête.
L'autre garde voulut s'enfuir mais Rulius lui jeta l'épée dans le dos et le jeune garde s'écroula dans un râlement d'agonie.
Rulius savait qu'il avait très peu de temps avant qu'un garde retrouve les corps alors il prit l'épée et courut.
Rulius connaissait bien la prison vu qu'il y avait travaillé deux ans par le passé et savait qu'il n'y avait pas d’échappatoire, exception faite de sortir par les égouts de la ville.
Alors qu'il approchait de l'entré des égouts où les gardes jetaient les ordures il entendit quelqu'un crié"Un prisonniers c'est échappé, un prisonnier c'est échappée, sonner l'alarme!".
Rulius entendit les cloches sonné annoncé qu'il s'était enfuis et se dépêcha de rejoindre les canalisations. Enfin il arriva devant leurs entré. Le général hésita un instant car si il s'enfuyait il passerai sa vie a fuir et à se cacher comme un criminel. Il entendit les gardes s’approchaient et cela enleva sa peur, il préférai être mille fois un hors-la-loi que mourir, il tenait trop a la vie. Rulius sauta dans les égouts et entra dans leurs pénombre.

Chapitre 2:

Cela faisait maintenant au moins deux bonnes heures que Rulius marchait dans les égouts, du moins c'est se qu'il pensait ne pouvant savoir l'heure dans le noir, et il commencé a fatiguer. Ces chaussure étaient rempli d'eau des canalisations, et ces canalisations sentaient fortement mauvais. Mais le pire est qu'il était toujours stressé sachant qu'à n'importe quel moment l'un de ces satanés rats d'égouts plus communément appelé skavens qui infestent les sous-sols des villes impériale et propage des maladies au noble citoyens impériaux, ne le trouve et ne l'attaque.
Et il avait bien raison d'avoir peur de ces horribles fouisseurs car pas plus de dix minutes plus tard trois de ces satanés rat apparurent devant lui et deux derrière lui. A leurs accoutrement ils devaient faire partie de l'horrible clan des Pestilens, ce clan étant souvent fréquent sous les villes impériale pour diffuser les maladies cela n’étonna pas plus Rulius. Les deux derrière portaient chacun une lance une légère armure rouillée un boucliers et deux devant porté la même chose mais le troisième porté un casque et une épée se qui sembla dès le premiers coup d’œil a Rulius qu'il était le chef.
Rulius ayant déjà affronté ces immondices il savait que les skavens étaient des froussard, et n'attaquaient qu'en surnombre, et que si il tuaient le chef les autres ne tarderaient pas a fuir. Les rats le regardaient fixement et cliquetaient de leurs horribles dents.
Quand l'un des rats de devant se jeta sur lui, Rulius étant un habile bretteur esquiva son coup de lance maladroit et le décapita sec, son corps tombant lourdement dans l'eau.
Puis il courut vers le chef des rats mais le deuxième skavens d'en face le bloqua et se de derrière se rapprochaient dans son dos.
Alors qu'un de deux serviteurs du dieu cornus dans son dos s'approchait de plus en plus de Rulius, celui en face de lui porta un coup de lance directement dans la tête qu'il esquiva adroitement en passant en dessous, sentit l’haleine putride du rat, puis le trancha en deux. Mais ironie du sort le skavens qui s' approchait de lui se prit la lance son camarade(si on peut dire camarade chez les skavens, sachant qu'ils s'entre tue tous pour rien), le prit dans la tête et s’affaissa.Alors le dernier soldat derrière lui fit tomber ces armes et courut telle les lâches de son espèce. Mais le chef des rats devant lui étant plus courageux s'attaqua a Rulius qui para difficilement le coup du rats et le repoussa. Cette ennemis était plus grand et plus habile que les autres et cela se voyait. Alors que Rulius tentait une estoque au centre de ces épaules le serviteurs du dieu cornus la para et lança une contre attaque qui érafla la joue de Rulius.
Mais celui ci ne tarda pas a lui rendre sa monnaie de sa pièce en lui plantant son épée dans le ventre qui deux seconde après le sang jaillit a grand bouillon.
Il contempla le carnage autour de lui et se rappela du dernier rat qui c'était enfuis et allait surement chercher de l'aide auprès des autres et lui donner la chasse, donc il décida de partir de là au plus vite.

...

Dereck c'était levé tôt se matin pour s'en aller au champs et nourrir les cochons. Dereck était un homme robuste, le crane rasé des yeux perçant comme un faucon. Son visage était taillé a la serpe et son torse était puissant. Il était habillé d'un gilet de peau d'ours, de bottes en cuir acheté pas plus tard qu'hier au marché et d'un pantalon en tissu marron. Dereck était un fermier comme les autres et ne pensait pas que sa petite vie quotidienne basculerait, jusqu’à se jour. Il avait fini de nourrir les cochons et partait à ses champs qui était situé un peu à l'écart du village. Il rencontra Traker sur le chemin qui le salua et s’arrêta pour parler un peu. Puis il repartit après avoir marché environ 20 minutes il trouva du sang séché par terre et entendit des corbeaux piailler. Il suivit la trace de sang et trouva un homme allongé par terre, inconscient entouré de trois cadavre d'immonde créature qu'il ne sut identifier et qui ressemblaient à des rats.

...

Alors que Tanu, Mara et Stano passer par des passages sombres de la forêt d'Athel Loren connue seulement par les forestiers une voix grave et mystérieuse s'éleva des pénombres.
-Tanu et Stano fils de la forêt et Mara fille de la forêt Athel Loren vous appellent.
-Et à qui a t'on l'honneur de s'adresser, montrez-vous, répondit Stano.
Une silhouette alors sortit de la forêt de nulle part et atterrit devant eux. Il portait des bottes de cuir marron, une armure de cuir marron, une cape à capuche verte qui cachait sa tête et un masque de cuir marron qui recouvrait sa bouche, la tenue standard des forestiers en printemps. Il était aussi grand et fin.
Derrière son masque on ne voyait seulement que ses yeux d'un vert émeraude. Il avait dans sa main un arc de bois richement sculpté, dont les bouts étaient dorés, et les cordes étaient faites en crinière de licorne, un seul être porté cet arc unique au monde, Lucius Karto disciple et amis de Scarloc le grand forestier. On disait que Lucius était à force égal avec Scarloc et que son arc était enchanté.
Dès l'apparition de ce dernier Stano se tint calme, contrairement à son habitude..
Lucius s'approcha d'eux doucement et tourna autour d'eux. Aucun d'eux ne bougea d'un pouce, carils savaient tous que le disciple de Scarloc pouvait les tuer en moins de trois seconde.
Après avoir fini de tourner autour d'eux il annonça d'une voix rocailleuse.
-Je suis envoyé par Sa Majesté Ariel, elle me demande de prendre un groupe de forestier pour une mission très spéciale. Je vous ai choisi vous ainsi que Milandith et Pharas.
Tanu connaissait Pharas, il l'avait déjà rencontré une fois alors que des nains étaient rentré dans la forêt ils avaient bataillé ensemble pour les en chasser mais il ne connaissait point Milandith.
Après un instant d'hésitation Tanu prit la parole pour lui demander la réponse que tous les trois attendaient.
-Et quel et cette quête qu'on nous envoie faire?
-Nous devons assassiner un homme nommer Rulius.
-Et bien s'il faut l'assassinez il ne doit pas être loin dans la forêt et les dryades peuvent s'en occuper seul, répondit incrédule Tanu.
-Le problème est bien là l'homme en question n'est pas dans la forêt, il est en dehors, nous allons devoir quitter la forêt pour allez le chercher.
Sur cette réponse Stano faillit s'étrangler, Mara et Tanu hoquetèrent de surprise, sortir d'Athel Loren pour aller chez les hommes qui l'auraient crues.
-Sur ce je vous laisse mes frères et sœur rendez-vous demain aux premières lueurs de l'aube à la clairière aux milles feuilles pour notre départ. Préparez-vous bien.
Et après ces mots il disparut comme il était venue en laissant trois jeunes forestiers incrédules encore sous le choc de cette annonce.

Chapitre 3:

Rulius se leva en sursaut et en sueur, il balaya la pièce du regard et se rendit compte qu'il avait perdu connaissance suite à une blessure infligée par les horribles hommes rats à son flanc gauche alors qu'il sortait des égouts pour arriver dans les champs. Il se trouvait dans une pièce qui contenait un lit, ou il reposait, une table ou était déposé une assiette vide, deux chaises et une cheminée allumée dont une épée trônée au-dessus. Il comprit que surement un paysan avait dû le trouver et le ramener ici pour le soigner, ça ne pouvait être que sa vue la pièce ou il était et qu'on lui avait fait un bandage sur sa plaie.
Il se leva vu qu'il était nu, chercha des habits et en trouva sur l'une des chaises.
Il les enfila et remarqua qu'ils étaient plutôt à sa taille, les habits étaient faits en lin, et en bas attaché par une ceinture de cuir, de vrai habits de paysans.
Il chercha son épée, mais ne la trouva point.
Soudain il entendit un bruit, tendit l'oreille pour l'écouter et compris que quelqu'un approcher.
Il ramassa l'épée au-dessus de la cheminée et attendit caché derrière la porte. La porte s'ouvrit et un homme grand et massif, rentra dans la pièce, il avait les cheveux attachés en une queue-de-cheval et porté une armure légère.
Rulius se jeta sur lui avec l'épée, mais l'homme esquiva, il retenta sa chance mais l'homme esquiva une deuxième fois, attrapa Rulius par le col de sa veste et le leva au-dessus du sol, puis donna un coup dans la main où il tenait l’arme ce qui là lui fit lâcher.
Le général déchu essaya de faire lâcher l'homme mais n'y arrivera point.
Soudain l'homme parla d'une voix grave:
-ça ne sert à rien de se débattre ainsi général où devrait je dire ex général.
L'homme jeta Rulius dans un coin de la pièce, alla ramasser l'épée et la brandit au-dessus de sa tête pour l'achever.
Rulius était trop sonné pour bouger et savait que sa vie était fini, rien ne servait de lutter.
Néanmoins avant que l'homme ne put l'achever une autre personne rentra dans la pièce.
Il était chauve, costaud et surtout porté l'épée de Rulius dans l'une de ses grosses mains. On voyait bien à ses habits que c'était un paysan.
-Que fête vous commença-t-il.
Mais avant qu'il puisse finir l'homme qui avait essayé d’assassiner Rulius s’élança sur lui.
Cependant l'autre homme s'était préparé et esquiva son coup d'épée et lui mit son gros point dans la figure qui envoya valser l’assassin à l'armure de cuir, celui-ci se releva et rechargea. Cette fois-ci le paysan para son coup et envoya une estocade que le tueur esquiva. Ils échangèrent plusieurs coups jusqu’à que le paysan fit une fente à droite et balaya de sa jambe l’assassin, ce qui le fit tomber à terre. Sans réfléchir le paysan le transperça de l'épée.
Le tueur mystérieux fut pris de convulsion, du sang sortit de sa bouche, puis mourut.

A suivre...

N'hésitez pas a critiquer le texte

par raptor Dim 23 Mar - 0:33

Alors je ne vais pas critiquer, car ton histoire est très bien, mais juste faire quelques remarques Wink

Tout d'abord, reprends tranquillement ton texte pour corriger les fautes d'orthographe et de grammaire. J'en ai relevé pas mal. Pour ta lecture et celle des autres membres ça n'en sera que mieux Very Happy

Pour ce qui est de l'histoire, on voit bien la sauvagerie des Elfes sylvains pour défendre leur forêt, et le nombre de soldats des deux côtés.
Le point qui me chagrine est le fait qu'il y est 3 dragons ! Ce sont des créatures très rares (même dans le monde de warhammer), un seul aurait été suffisant je pense, vu les dégâts qu'il inflige/occasionne. Ensuite, il me semble que les Dragons des forêts ne mange plus de chair/viande suivant le fluff de l'histoire d'Athel Loren ? Il me semble l'avoir lu/vu quelque part.

Pauvre général impérial, le comte est intransigeant et ne laisse rien passer. On voit bien la dureté de la vie au sein de l'Empire.

Vivement la suite !!

par Rhydysann Mer 9 Avr - 20:42

Merci pour les critiques raptor et voila le début du chapitre 2(désolé pour les fautes je ne les aient pas encore corrigé^^).
Surtout n'hésiter pas a critiquer.

Cordialement Rhydysann

par Iskandar Mer 9 Avr - 22:05

Salut, brave écrivain des forêts !

On m'appelle Iskandar le Poète, mais je prends aussi plaisir à la prose, et ne rate jamais une occasion de commenter un bon récit Mr. Green

J'ai adopté depuis peu la manière suivante : je commente au fur à mesure du récit, que ce soit sur le fond ou sur la forme. Ainsi voila :

Dans la ville de Nuln située au Nord de la forêt d'Athel Loren le comte de Nuln attendait avec impatience sur son trône de fer l'équipe d'exploration qu'il avait envoyé pour explorer la forêt d'Athel Loren.

_ Petit souci de ponctuation : "Dans la ville de Nuln, située de la forêt d'Athel Loren, le comte de Nuln"...
_ équipe d'exploration qu'il avait envoyée
_ pour explorer la forêt d'Athel Loren (tu répètes "la forêt Athel Loren" dans la même phrase, c'est un peu dommage. Suggestion : "pour explorer ces bois des frontières Sud de son fief".

Car des rumeurs couraient dans l'Empire que cette forêt était vivante que les arbres bougeaient et que des elfes nommé les Elfes Sylvains y vivaient et tuaient quiconque y rentrait.

_ mets des virgules, ça rend la phrase plus agréable à lire Razz

"que cette forêt était vivante, que... , et que..."

La quarantaine bien tassée, le comte avait des yeux bleus ressortant sur une barbe brune surmontée d'une tignasse de la même couleur, qu'encadrait un visage sec, bourru, à l'image de sa carrure musclée qui mettait en valeur sa grande taille.

_ Cette manière de décrire le visage est très originale, c'est fait exprès ? Les yeux bleus "ressortant" sur une barbe brune "surmontée" d'une tignasse qu'encadrait un visage... D'habitude, c'est le visage qui est encadré par la chevelure, pas l'inverse Question

Il avait hérité du trône a l'âge de dix huit ans quand son père etait mort à la guerre contre des Orks.

_ à l'âge de dix-huit ans, quand son père était

Depuis ce jour, il dirige Nuln d'une poigne de fer et tout son royaume le respecte.

_ son royaume ? Il n'est pas roi. Son comté alors...

Lorsqu'un homme à l'armure de noble tachée de sang fit irruption dans la salle. Son bras blessé portait une bande tachée de sang

_ "Lorsque" est utilisé ici pour signifier le moment où "alors" le comte s'écria ? Ils ne faudrait pas séparer les phrases en deux alors.

-Monseigneur avec tout l'honneur que je vous dois, cette forêt est pire que l'enfer, quand vous nous avez envoyé je pensais que cette forêt était comme les autres alors nous nous sommes enfonçaient...

_ nous nous sommes enfoncés / sinon il manque toujours quelques virgules, sinon tu peux
aussi faires des phrases plus courtes, ça marche bien aussi Smile

dans la forêt les épéistes nous frayaient un chemin entre les arbres les fusiliers étaient autour du tank à vapeur et les hallebardiers nous protégeaient tout autour.

_ un tank à vapeur dans la forêt d'Athel Loren ? Ah oui, pas étonnant que les autochtones soient révoltés dwarf

Quand après dix minutes de marche ce fut le cataclysme, le général se tut.

_ Il y a confusion entre le récit du général et le retour à la narration, je suggère : "après dix minutes de marche, se fut le cataclysme... - le général se tut."

-Continuez général je vous l'ordonne dit le compte bruyamment.

_ Continuez, général, je vous l'ordonne, - dit le comte bruyamment.

-Bien mon seigneur dit le général d'une petite voix.

_ Même souci de ponctuation.

Donc je reprend où j'en était cela faisait dix minutes que nous marchions quand une pluie de flèches s'abattit vers notre direction ce qui tua une cinquantaine hallebardiers et mon second le noble Starch le borgne.
Je fus terrorisé et donnais l'ordre au fusilier de tirer dans toutes les directions et aux épéistes ainsi qu'aux hallebardiers d'avancer en formant un carré.
Quand j'entendis une voix grave disant "mort aux ennemies d'Athel Loren" et deux secondes plus tard environ une soixantaine de dryades chargèrent les épéistes.
Les dryades étaient des arbres de taille moyenne, ils avaient des branches de partout dont deux sur le côté qui formaient les bras et les mains de ces créatures.
Elles avaient un visage humain, des bouts d'os et des corps étaient attachés à leurs branches.
Puis un cor sonna et des guerriers elfes sylvains dans de somptueuses armures richement décorées, avec des capes et des lances chargèrent les hallebardiers.
Je criai de tenir le coup à mes hommes quand trois dragons des forêts apparurent l'un cracha du poison sur les fusiliers ce qui en tua au moins une vingtaine.
Un autre chargea le char à vapeur et le détruit d'un coup des épéistes essayèrent de l'attaquer mes leurs armes rebondissaient sur ses écailles et ils se firent juste après dévorés.
Et le dernier s'en prit à moi, j’esquivai habilement son coup de queue et ordonna a mes hommes de battre en retraite.
Le dragon en fasse de moi essaya de me cracher du poison mais j’esquivai habilement et m'enfuis avec les dix derniers épéistes. Nous sortîmes de la forêt au bout de deux heures de course folle car des chevaliers sylvains nous suivaient. Le pire est qu'ils montaient sur un cheval sans selle et ils tiraient si bien qu'ils abattirent six de mes hommes.
Une fois sortis de la forêt les cavaliers nous rattrapèrent. Alors les épéistes s’arrêtèrent et chargèrent les cavaliers en me criant "fuyez mon seigneur et prévenez le compte."
Je saluais leur courage et parti mais avant un de ses maudits elfes me tira une de ses flèches et me toucha aux bras.
Puis cela fait trois jours que je marche pour revenir à Nuln et je fus le seul survivant.
Voila mon histoire ô mon roi.

_ ô monseigneur (il n'est pas roi !)
_ J'aime beaucoup le récit de l'attaque des elfes, les impériaux se font littéralement écraser, les pleutres ! Cependant, quelques remarques sur le fluff/background : je rejoins raptor sur le fait que trois dragons, c'est un peu gros pour s'attaquer à une petite escouade d'exploration (bien qu'ils aient carrément sorti le tank à vapeur pour déblayer Rolling Eyes

). Je pense aussi que si le récit se fait du point de vue impérial, il ne devrait pas connaître le terme "dryade" ; la description est très très bien faite, mais il ne faut pas les nommer (ce sont des monstres à ses yeux !)

-Vous avez abandonné vos hommes devant l'ennemi général Rulius cela est un comportement lâche, qu'on l'enferme et qu'on l’exécute dans trois jours pour lâcheté.

_ Oh le pauvre ! Injustice !!

Je passe sur la partie du jeune forestier, c'est bien dans l'ensemble, juste quelques fautes par-ci par-là, mais rien de trop alarmant. Sur le fond, il faudra voir le développement des personnages par la suite Wink

Pareil pour la partie de la fuite du général, je rajoute juste que son côté de vieux briscard s'accrochant à la vie est très bien fait Very Happy

Pour finir rapidement avec le chapitre 2, je vais juste glisser une autre remarque sur le fluff/background : il a de nouveau ce souci de point de vue impérial. Personne ne sait, sauf quelques rares initiés, que les skavens existent, et alors encore moins de gens dans l'Empire, personne peut-être, savent à propos de leurs différentes factions (Pestilens, etc.). Je sais que c'est tentant de l'écrire directement tel quel, mais si l'on recherche vraiment l'immersion totale dans le monde warhammerien, il faut prendre en compte que ses habitants ne sont pas aussi omniscients que nous autres les joueurs ! Mr. Green

par Rhydysann Jeu 1 Mai - 20:25

Up et suite de l'histoire

par ethgri wyrda Ven 2 Mai - 18:33

simple question ? comment Rulius est passé des égouts à la campagne avec les cadavres avec lui ?

pauvre paysan: lui qui passait une journée tranquille, il se retrouve avec quatre corps, dont trois cadavres de créatures inconnus… dwarf

en tout cas, c'est vraiment bien écrit et tout, continu

par Rhydysann Ven 2 Mai - 22:03

simple question ? comment Rulius est passé des égouts à la campagne avec les cadavres avec lui ?

Se sera expliqué plus tard^^

en tout cas, c'est vraiment bien écrit et tout, continu

Merci^^

Cordialement Rhydysann

par Iskandar Sam 3 Mai - 19:31

Très intéressant et très bien écrit !
Je veux la suite Mr. Green

par Rhydysann Mer 14 Mai - 17:23

Fin du Chapitre 2, comme vous pouvez le voir nous sommes dans un moment phare de cette histoire.
Bonne lecture et en espérant que vous aimerez.
PS: désolé d'avance pour les fautes.

Cordialement Rhydysann

par ethgri wyrda Jeu 15 Mai - 23:51

d'autres ennuis pou Dereck le paysan… Twisted Evil

par Rhydysann Ven 16 Mai - 23:47

d'autres ennuis pou Dereck le paysan… Twisted Evil

A voir, à voir Question

par Rhydysann Jeu 10 Juil - 22:19

HOP HOP, après un temps d'absence début du chapitre trois écrit. Bonne lecture

par ethgri wyrda Lun 14 Juil - 22:09

pas mal, mais attention aux répétitions de "mais" aux derniers paragraphes

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