[back] L'histoire d'Aenor

Bon comme dit dans le titre c'est mon histoire, et je vais vus la racontez, les farfadets peuve s'assoir sur le tapis devants, les autre reste debout (désolé j'ai pas plus m'en empecher ).

INTRODUCTION

Aenor, cadet d’un noble hauts elfe de Lothern fut destiné a être diplomate dès sa naissance. Il reçut une éducation elfique qui lui apprit autant a manier les mots que son arc ou sa lame...
A 90 ans il reçut une mission de haute importance : Essayer de rapprocher les Asurs des Asrai.

Chapitre 1

Aenor fit ses adieu à sa famille sur le port juste avant de prendre une superbe galère elfique accompagnés d’une quarantaine de garde maritimes aux armures polies qui réfléchissait le soleil doux de la matinée. Deux baliste avait aussi été embarquée au cas ou le navire rencontreraient des pirates ou des flotte enemies.Le père d'Aenor, seigneur Fenïdar prenait le plus de précautions pour que son fils mène a bien sa mission.


« Monseigneur, nous verront la côte dans 3 jours. Il faut décider par où nous passerons :
Soit nous vous débarquons avec une dizaine d’homme sur la cote et vous continuez le voyage jusque a la forêt a pied, mais le problème c’est pour vous récupérer si vous revenez.
-Comment ça ? Si vous revenez ! Eh bien je compte revenir ...
-désolé, monseigneur. Le deuxième choix est de prendre le fleuve Brienne et nous arrêté a Quenelles en espérant que les humains nous laisseront passez et vous attendre au port.
-Je pense que nous devrions essayer de passez par ce fil de mer.
-Ce sera fait selon vos ordres.
-Attendez vous n’aviez pas d’ordre de mon père sur le voyage ?
-Non, il a dit que il fallait vous entraîné a prendre des décision et a peser vos acte dès le débuts du voyage. Je peux encore quelque chose pour vous ?
-Non, c’est bon...

BOn c'est pas tout a faits au points et ces que le début mais je compte sur vous pour m'aidr a l'amélioré! C'est hauts elfe au départ mais nous retrouverons nos petit asrai un peu plus tard.

bon l'idée de départ me branche mais il ya uarit quand même plus de description à faire dans ton début de récit :

du style :
les 40 gardes maritimes avaient embarqués avec eux 2 balistes à répétition.
leurs armures étaient soigneusement polies et la lumière du soleil réfléchissaient l'éclat de leurs cotes de mailles.
ces elfes étaient les soldats favoris du père d'aenor, seigneur fïndelar.

ils avaient menés de multiples combat sur le mer afin de contrer les elfes noirs. mais ce jour-là, aucun renseignement ne leurs avaient été donné à part deux mots : Athel-loren.

le chef d'équipage, corïnael, monta à la barre et dit : " monseigneur, les hommes s'inquiètent de notre destination"
- ne vous inquiètez pas répondit aenor

Etc ....

voila sinon attention aux fautes
mmoi aussi j'ai pu en faire mais j'ai écrit ça comme ça !

@+

Justement c'était un départ à améliorer il n'est pas parfaits.

les 40 gardes maritimes avaient embarqués avec eux 2 balistes à répétition.
leurs armures étaient soigneusement polies et la lumière du soleil réfléchissaient l'éclat de leurs cotes de mailles.
ces elfes étaient les soldats favoris du père d'aenor, seigneur fïndelar.

ils avaient menés de multiples combat sur le mer afin de contrer les elfes noirs. mais ce jour-là, aucun renseignement ne leurs avaient été donné à part deux mots : Athel-loren.

le chef d'équipage, corïnael, monta à la barre et dit : " monseigneur, les hommes s'inquiètent de notre destination"

Bon l'idée des baliste et des zolie armures est bonne, mais en fait Aenor est un jeunot (pour l'instant) qui part faire une mission avec un but bien précis donc les hommes savent ou ils vont.ENfin c'est comme sa que j'imagine mon backround.

Je pense que vous aurez la suite bientot.

ok pas de problème !

mais juste comme ça, les hauts-elfes et asrai ont rompu tous lien qui leurs restaiant aprés que les hauts elfes est envoyé des émissaires !

mais les emmissaires ont encore plus embrouillé l'affaire !

les hauts-elfes seront donc reçu avec des épées et des flèches plutot qu'avec des roses !

voila @+

voila sinon je persiste à dire qu'il faudrait un noble CSK ou un noble changformes pour tuer les magos !

T'inquiète pas j'ai prévue sa! Mais bon je te raconte pas tout sinon ce sera plus intéressant!

mais juste comme ça, les hauts-elfes et asrai ont rompu tous lien qui leurs restaiant aprés que les hauts elfes est envoyé des émissaires !

Les hauts elfe n'ont pas vraiment voulu ça, c'est plutot de fait des Asrai mais c'est assez normal...

Garde a l'esprit que l'histoire c'est un hauts elfe qui devient un seigneur ES donc il y aura quelque étapes avant le résultat.

voila sinon je persiste à dire qu'il faudrait un noble CSK ou un noble changformes pour tuer les magos !

T'inquiète pas j'ai prévue sa! Mais bon je te raconte pas tout sinon ce sera plus intéressant!

euh tu ne te serais pas trompé de copier/coller !!

sinon c'est une bonne idée de faire devenir asrai un haut-elfes !

mais ne raconte pas tous !!

@+

Oups si je me sui trompée de coiper coller ...

Bon j'envoie la fin du chapitre 1:

"Nous pouvons apercevoir la côte maintenant, nous arriverons avant la fin de la journée à Brionne. Votre père vous a laissé une caissette de joyau et de riche cadeaux pour qu’on puisse passer à Brionne sans encombre et stationnée a Quenelle sans ennuie.dit le capitaine de la galère"

En effet, les membres d'équipages apercevaient d'imprenables falaises avec sur le dessus une immense foret.
Aenor pensa soudain que les forets du vieux monde n'avaient rien à envier à celles de Chrace, et il fut tous de suite conquis par le beauté des cimes des grands pins.

"Le seigneur Fenïdar a aussi dit que se serait a vous de négociez les passages, si vous décidiez de passez par le fleuve, et de dépenser le moins d’argents possible.
- Nous irons à quenelles, en empruntant le fleuve, afin nous y stationnerons et demanderons des vivres. Soyez là pour m’épauler en cas de besoin.
- Je ferais de mon mieux, mais gardez a l’esprit que je ne serait plus la quand il vous faudra négociez avec les gardiens de la forêt...
- J’ai combattu les Druchii, les misérables barbues, négociez avec des marchands humain, mais avec nos ancien cousin qui porte maintenant le nom d’Asrai je ne sait a quoi m’attendre. "
- Je vous escorterai jusque ou je pourrai aller, ordre de votre père monseigneur, rappellez vous que les Asrais nous ont trahis, nous n’y allons pas comme cousin. Je vous protègerais de mon mieux pour que votre mission réussisse, même si je ne pourrait abandonner le navire pour vous raptrier lorsque vous rentrerez.
- Cela me touche énormément capitaine, mais je ne voudrais pas mettre la vie de vos hommes qui m'accompagneront en danger inutilement.


AU fait je remercie Elmarto pour sa grande aide et rajout du petit passage descriptif sur les forets.

Je met le chapitre 2 :

Chapitre 2 :

La galère elfique entra dans le port dominant pas son élégance et sa vitesse les rafiots humain.
La foule attirée par une visite si peu habituelle se massât autour du quai où le navire accostait.
Les paysans regardaient d’un air inquiet ces étranges visiteurs.
Aenor compris tous de suite que la vérole, la pestilence et autres maladies nurglique avaient touché cette charmante ville suite à la tempête du chaos, et une étrange odeur de pourriture montait comme pour remercier un dieu profanateur.
Le jeune fils ne se sentait que peu rassuré mais le regard de son capitaine lui soulagea l’esprit.

Brionne était une charmante ville de commerce maritime, bâties le long d’un fleuve et protégé d’éventuelles attaques de morts vivants ou esprits de la forets grâce aux chevaliers et à la bénédiction de la dame.
Aenor se remémora, l’instant où sont père lui avait racontés l’histoire des bretonnis, un peuple possédant la meilleure cavalerie du vieux monde et des codes de l’honneur très strict.

Un sergent grassouillet commença à s’avancer à la rencontre des elfes :
« Quéque vous v’nez faire ici ?dit il en s’essuyant la barbe après avoir bu un boc de bière. »

Aenor monta sur la proue du navire et surplombant le sergent et la foule dit :
« Nous venons acheter des vivres et le droits de passages pour aller jusqu'à Quenelles.

Tous les paysans s’étaient reculés, car l’elfe était d’une élégance et était bien plus grand et svelte que la plus part des gueux se traînant dans la boue qui recouvraient la marée chaussée.
Le sergent se recula aussi et répliqua :
- Les vivres j’peux m’en occuper mais le droit de passage ce n’est pas de mon autorité, que quelqu'un aille chercher l’intendant du port ! »
Aussitôt un enfant d’à peu prés 8 ans ce précipita vers une bâtisse de grande taille et de couleur rouge.
Aenor jeta au sergent un regard froid et méprisant qu’un humain donnerait à un cochon pendant une dizaine de minutes avant que le sergent, devenue tout rouge, cria :
« Ne me regardez pas comme sa ! » Puis il s’affala au sol sous le coup de pied d’un cavalier richement vêtu. »
« Tais toi larve, excusez cet importun, et je me présente Rohondur intendant du ports.
- Enchantée de voir enfin quelqu'un de ..., mais pouvons nous avoir ce que nous désirons ?
- Tout dépens de notre seigneur de Brionne, je crains qu’il faille passez devants lui. C’est une marche administrative normal mais je pense que vous devriez avoir le droits, mais par la dame du lac je ne sais quelle relation entretien notre seigneur avec vos compatriotes d’Ulthuan.
- Je vois, mais combien de temps sa va nous prendre nous somme pressés...
- Je ne sais pas, et pour l’instant je vais devoir vous obligez a rester sur votre navire. Et ne prenez pas nos gardes comme une menaces mais plus comme une protection, car ici les elfes ne sont que mauvais présages.
- Mauvais présage ! Cria le capitaine, les elfes vous ont aidés durant la tempête qui a secoué le monde et qui a faillit voir le chaos l’emporter, on a aussi paillé le prix fort, lorsqu’il y a 5000 ans les portails ont dus être fermés. Ce sont nos mages qui sont morts !

- Calmez vous monseigneur, la voix du chevalier s’était radoucis et son teint était devenus aussi pale qu’un elfe. Quand ils nous aident c’est que la guerre nous menacent ou sinon ils volent les enfants de nos fermiers, et en ce moments même des villages de gueux ont été mis à feu et à sang. Des arbres et autres choses magiques sortent de la forêt pour massacrer les paysans sans défense... Et ceux qui n’ont pas eu le privilège de faire des études pensent que les elfes ne forment qu’une seule et unique race...

- C’était vrai, quand les hommes n’étaient encore que des tribus primitives et barbares... »


Merci encore a Elmarto qui a beaucoup amélioré le texte de départ...

oui trés bien, bon début !!

j'attends la suite !!!

@+

Je suis enfin de retour !!!!! Après plus d'une semaine de la pire grippe que j'ai jamais eu je reviens ! ^^

Et je commence par ton récit, voici ce que j'en ai a dire :

Déja écrit ton texte sous word avant de poster tes récits, comment dire ? Voir des fautes avec des lettres disparuent c'est TRES génant pour un récit. Ca pourrai combler de très nombreuses fautes autrement (et oui tu en fait vraiment beaucoup (presque autant que moi ^^)). Si je devait toutes les relever ca prendrait une place absolument énorme, alors corrige déja toutes les fautes ici et ce sera bien plus lisible.
Exemple :
paillé - Enchantée - menacent
"Tout dépends de notre seigneur de Brionne, je crains qu’il faille passer devant lui."
Ce type de phrase est très fréquent, et c'est très dommage.


Revoit des formulations de phrases, certaines sont assez génantes :
-Première phrase du chapitre 2
-'La foule attirée par une visite si peu habituelle se massât autour du quai où le navire accostait.
Les paysans regardaient d’un air inquiet ces étranges visiteurs.'
Ca se ressemble trop.
-'car l’elfe était d’une élégance et était bien plus grand et svelte '
-'Aussitôt un enfant d’à peu prés 8 ans ce précipita vers une bâtisse de grande taille et de couleur rouge.
Aenor lui jeta un regard froid et méprisant qu’un humain donnerait à un cochon pendant une dizaine de minutes'
J'aime pas trop la deuxième phrase, qui regarde t'il ?

Juste un exemple :
"En effet, les membres d'équipages apercevaient d'imprenables falaises avec sur le dessus une immense foret. "
"En effet, les membres d'équipage du navire pouvaient maintenant apercevoir de gigantesques et d'imprenables falaises surplombées d'une immense forêt à la végétation dense"
Etoffe un peu plus tes phrases et le résultat n'en sera que meilleur ^^.

Je trouve aussi très étrange qu'a seulement 90 ans on lui propose un job aussi important, c'est un âge Elfique donnant plus ou moins 17-18 ans, pas beaucoup plus...

Enfin bref, un grand remaniment s'impose de lui même, ainsi que des passages plus long et de meilleurs descriptifs comme le disait Elmarto. Bien que ce soit agréable il faut écrire plus ^^.

Bonne continuation.

Tu as raison, mais parfois je me prend dans l'écriture et ne pense plus qu'a faire avancer le récit... Désolé ... Bon le chapitre 3 qui me parait le meiux pour l'instant.

Chapitre 3
Une fine pluie s’était mise à tomber.
Aenor était sur le pont de son navire, la pluie ruisselait sur son visage et il se remémora le temps ou son frère et lui courait dans les prés d’Ellyrion à la poursuite de chevaux, la pluie lui remémora aussi l’odeur de l’herbe humide, lorsqu’il fit ses premières années dans les rangs des maîtres des épées de Hoeth.
Brionne, sous la pluie, avait un coté plus humain, l’odeur nurglique disparaissait avec cette fine ondée.
Aenor fut tiré de sa méditation par le bruit de pas pesant que faisait un chevalier.

L’intendant revint et aborda tout de suite Aenor pensif qui regardait les nuages se fonçait de plus en plus.
«Seigneur Aenor, je vous apporte des nouvelles. Vous allez être convié à rencontrer le seigneur Agravain, ce soir après le dîner. Cependant, sur ordre de monseigneur, vous ne pouvez venir qu’avec 4 hommes les autres devront rester sur votre navire. »

Aenor sans détourner son regard du ciel dit :
- Allez quérir votre Roy et dites lui que je serais là pour la fin du dîner.
- Très bien, je vais vous faire apporter les meilleurs chevaux que nous avons. »

Un peu plus tard, le capitaine du navire annonça à Aenor que les chevaux bretonnis étaient arrivés. Lorsque Aenor vit les bêtes, il pensa que ces bêtes moins gracieuses à tous points de vue que les magnifiques chevaux d’Ellyrion, servaient pour les choses endurantes ou physique. Leurs maîtres ne leurs témoignaient aucune amitié. Des gardes formaient un rempart autour des elfes et de l’intendant face aux paysans qui regardaient les elfes d’un mauvais œil.

Le château avait de large muraille ou l’on apercevait l’éclat des flèches acérés par les meurtrières, le donjon n’atteignaient pas la hauteur des tours elfique mais n’en étaient pas moins impressionnant.
Aenor se rappela qu’il ne devait pas laisser ses sentiments prendre le dessus, de peur de manquer de respects à son hôte. Les murs paraissaient pourtant si sale par rapport aux bâtiments elfique qu’Aenor se demanda a quoi pouvais bien ressembler un quartier pauvre d’une telle ville.

Aenor et ces hommes descendirent de leurs montures quand l’intendant leur montra la salle ou ils rencontreraient le seigneur Agravain, on les emmena dans une salle ni trop grande ni trop petite, avec de large colonne, et des fresques sur le mur. Aenor fut surpris que des humains ait une aussi bonne maîtrise de l’art picturale, et remarqua aussi deux portes, sur chaque côté. Des serveurs donnèrent à boire aux elfes qui acceptèrent malgré eux. L’intendant envoya deux de ces soldats prévenir le seigneur que ses invités étaient arrivés. L’intendant parut fébrile et son teint pale confirma la pensée de Aenor.
Aenor se précipita sur l’intendant lorsqu’il faillit tomber.
- « Monseigneur, dit l’intendant en respirant faiblement, je vais bien … laisser moi… »
- Qu’avez-vous, seigneur, demanda le capitaine qui avait aussitôt rejoint Aenor pour empêcher l’homme de tomber.
- Ce n’est rien, je vais m’asseoir sur une chaise.

Aenor donna quelques consignes à ses 3 fidèles hommes pour mettre à l’aise l’intendant et pris à part son capitaine.
- Cet homme à un don, il est emphatique, je l’ai lu dans son regard quand j’ai vu les chevaux, et il se pourrait bien qu’il se passe des choses qu’il ait sentit.
- Des choses qui lui auraient fais perdre sa couleur de peau, qui l’aurait mis à terre…
Aenor et son capitaine se précipitèrent dans le couloir, dans lequel les deux hommes d’armes étaient partis.
Rien.

Le couloir était sombre, avec juste un flambeau placés au milieu afin d’éclairer.
Ce dernier était traversé perpendiculairement par un autre couloir, plus sombre, plus inquiétant. Aenor avec tiré son épée et son bouclier tandis que le capitaine sortit son arme lourde.
Ils avancèrent prudemment, chacun de leurs pas étaient calme, posés. Un bruit attira l’attention des deux elfes.
- Retournons sur nos pas monseigneur, et allons prendre le flambeau.
- Très bonne idée, coraonär, ce lieu n’est pas sur.

Après avoir pris le flambeau, ils refirent le même chemin. Les deux hommes d’armes avaient été pendus après s’être pris un série de coupure formant le mot sang en langue elfique : Khaine.
Aenor regarda par terre, le sang formait de petite bulle et ne coagulait pas.
- Capitaine, retournait auprès de l’intendant, et demandait lui ce qu’il a sentit, je veux savoir.
Il se pourrait que nous ayons un assassin elfe noir quelque part dans ces murs.
- Monseigneur, ne serait ce pas plus prudent que je reste avec vous, j’ai juré à votre père …
Aenor lui coupa la parole et haussa le ton : « je sais ce que tu as dis à mon père, retourne auprès de l’intendant. »
- Bonne chance, Monseigneur.
- il en faudra, l’assassin est l’un des meilleurs, il utilise l’un des meilleurs poison dans le vieux monde : le lotus noir, une seul goutte, bourrait tuer un régiments de braves elfes, mais ce qui m’inquiète d’avantage, c’est que seul les meilleurs assassin ont le droit d’avoir ce poison, car ils le reçoivent des mains du Roi sorcier.
Ce nom fit trembler coraonär, il partit.

Aenor poursuivit sa route longeant le plus possible le long du couloir, un cri le fit sursauté.
Il ne fallait plus hésiter. Aenor se mit à courir, bien des questions se bousculaient dans sa tête.
Est-ce que la présence d’un elfe noir était une pure coïncidence ou est ce que cet elfe savait le but du voyage d’Aenor.
Il arriva à une seconde intersection, ou il vit des gardes qui parlaient sur l’origine du cri et qui paraissaient affolés.
Aenor leur demanda ce qu’il se passait, mais une voie, venant de derrière lui l’interrompit.
- Aenor ellawessë, n’est ce pas ? Armé qui plus est.
Pour la première fois Aenor perdit son sang froid.
- Un assassin elfe noir est ici, envoyé vos meilleurs guerriers le rechercher, dépêchez vous !
- Ici ?! Seigneur elfe, j’ai beaucoup d’estime pour vous, mais un cri dans la nuit ne veut pas dire un mort.
- Alors comment expliquez vous les deux morts dans ce couloir d’où je viens ?!
- Gardes ! Faites fouiller, le château ! Quand à nous seigneur, retournons dans la pièce ou l’intendant et vos elfes nous attendent.

Aenor n’était que peu rassurés et une haine ancestrale remonta dans ses veines, une haine synonyme de vengeance, de tristesse d’amertume, de mort.
Lorsqu’ils furent arrivés dans la salle l’intendant était encore plus mal et des chevaliers étaient arrivés, tenant à distance les elfes de leur chef.

- Que ce passe t-il, cria Aenor, vous ne nous croyez pas coupable. Seigneur Agravain rassurez moi.
Aenor ne s’avait plus ce qui se passait, ses quatre compagnons avaient dégainés leurs épées, et reculaient en direction de la porte.
- Non ne vous inquiétez pas, répondit calmement Agravain, simple mesure de sécurité, deux hommes ont été tués, ce n’est pas rien.

L’intendant se releva et poussa ses chevaliers, pour rejoindre les elfes
- Monseigneur, avec tous le respect que je vous dois, j’ai la conviction que aucun de ces elfes n’a tué les deux gardes.
- Vous en avez la conviction ? Chevaliers saisissez ces traîtres.
- Chevaliers, c’est moi Intendant qui vous ait formé, qui vous ait fait goûté aux saints calice, vous avez vu la dame du lac. Elle seule pourra vous conseiller sur la façon d’agir. Vous savez aussi bien que moi que ce ne sont pas des traîtres ! Chevaliers ! Laissez les !

Aenor ne savait pas quoi penser, un assassin se baladait tranquillement dans le château et d’un autre, le seigneur de Brionne les croyait coupable. Ils ne pouvaient pourtant pas se laisser emprisonner, cela compromettrait la mission.
Il s’adressa au seigneur Agravain

- Seigneur laissez nous, 3 lunes pour trouver le coupable et vous prouver que nous ne sommes pas coupable.
- 3 lunes, s’exclama alors le seigneur, je vous laisse jusqu’à ce soir minuit. D’ici là j’irais fouiller votre navire.
L’intendant et les elfes se retirèrent, ils savaient qu’ils ne pourraient pas trouver le coupable et encore moins prouver leur innocence.
Aenor semblait abattu et reclus dans ses pensées, soudain l’intendant vint vers lui et lui déclara qu’il était emphatique et s’il savait que ce n’était pas lui qui avait tué les deux gardes, mais lui dit de ce méfier car quelqu’un connaissait ses plans.

Au retour vers le bateau, des hommes d’armes et des chevaliers attachaient les elfes.
Aenor ébahit, se précipita pour libérer ses compagnons, mais deux chevaliers se dressèrent devant lui.
- Poussez vous ou je vous tue, Hurla Aenor.
La haine ancestrale était à son paroxysme, les pupilles de ses yeux était devenus blanche et un filet de bave coulait le long de son menton.
Les chevaliers reculèrent et les hommes d’armes s’apprêtèrent à s’enfuir quand l’intendant dit
- laissez les partir monseigneur, depuis que j’ai bu dans le saint calice, un sixième sens est venu s’accrocher à moi, comme une sensu que rien ne peut enlever, à part la mort.
La dame du lac me protège, et je sens son aura autour de nous, elle me parle et me dit que les elfes ne sont pas coupables.

Aenor avait un peu repris le contrôle, et ordonna à ses quatre derniers guerriers de libérer leurs compagnons.
Tous les elfes montèrent à bord, et larguèrent les amarres. La pluie était de plus en plus forte, et des larmes se mêlant à la pluie coulaient sur les joues du général elfe, l’intendant s’était sacrifier pour les laisser partir.
Le tonnerre éclata et Aenor vit la lame du seigneur Agravain s’effondrer tel un éclair sur le cou de l’intendant.

La dame du lac ne le protégeait plus.


Un grand merci a Elmarto sans qui ce texte ne voudrait pas la moitier de sa valeur actuelle!

bon bin je trouve que c'est le meilleur chapitre !!

continue comme ça !

et les autres membres commentez !!!!!

@+

bien la suite, bien. mais attendons de voir la suite !
bon courage Aenor !

Ghorg

Avant de poster la suite j'aimerais demander si quelq'un c'est ou est elmarto, car depuis le 2eme chapitre mes textes passe par lui avant d'être postée et cela fait une semaine qu'il n'a pas répondue au MP avec le chapitre 4... Donc je vais le poste quand même maintenant en éspérant qu'il va vous plaire...




Chapitre 4

Aenor regardait l’horizon dans la lumière douce et rouge du petit matin, il regardait l’horizon mais ne le voyait pas, il pensait au courage et la droiture de l’homme qui l’avait sauvé, lui et son équipage. Cet homme avait bouleversé tout les à priori qu’Aenor portait sur les humains. Il savait qu’il n’aurait jamais eu la même noblesse de réaction pour un homme, et encore moins s’il ne le connaissait pas. Aenor se promit de faire le même acte un jour pour se libérer de sa honte et de sa dette envers la bonté et la droiture de cette homme...

« Monseigneur, comment allons nous faire ?
- Nous allons devoir continuer par la terre, en abandonnant le navire. Nous devons a tout prix réussir notre mission, un homme c’est sacrifier pour et je ne compte pas que son sacrifice soit vain.
-Et la galère ?
- Il va falloir la détruire. Aenor parlait sans émotion et ne détournait pas la tête de l’horizon qui se rapprochait sans cesse.
-Vous, ... Vous ne pensez tout de même pas détruire notre seul moyen de retour !
-Ce n’est pas parce que c’est notre « seul moyen de transport que vous ne voulez pas l’abandonner, mais parce que c’est votre navire et votre vie !
-Oui mais ...
-Nous n’avons pas le choix, nous ne pouvons sortir du fleuve avec le bateau. C’est a chacun de décider si il reste sur le navire ou si il me suit. C’est plus juste.
-Monseigneur ne faite pas ç je serai obliger de trahir un de mes serments celui d ne pas vous abandonner ou celui de suivre mon navire même au fin fonds des mers.
-Choisissez celui auquel vous tenez le plus ! Mais je ne changerai pas d’avis ! Faite rassembler les hommes ! »

Tout l’équipage était rassemblé sur le pont, quand Aenor prit une vox forte :
« Le capitaine et moi étant en désaccord chacun décidera comme il lui sera favorable :
Me suivre jusque dans la sombre forêt où je ne peux prédire ce qui nous attend ou rester sur le navire à attendre que les bretonnis vous retrouve et vous massacre.
-Je vous suit Aenor je préfère ma battre contre la mort que de la laisser venir a moi. Dit un homme de l’équipage qui se fit accueillir pas des approbations.
-Moi je préfère rester sur le navire car de toute façon nous ne pourrons repartir de la forêt sans le navire. Un peu moins d’approbations se firent entendre, beaucoup était jeune et intrépide et ne désirait pas mourir sur un navire.
-Le choix est donc faits nous prendrons les chaloupes dés que nous seront assez loin de Brionne. »

Deux a trois heures après, Aenor et une vingtaine d’homme descendirent de la galère elfique et commencèrent à partir vers la forêt.
Quand le bateau n’était plus qu’une silhouette, on vit un autre navire arriver sur lui c’était un bateau de guerre, en quelque instant on entendit le bruit de fracas du bois et des combats.
« Il faut aller les aider ! Hurla un membre de la petite compagnie !
-Non le capitaine savait très bien ce qui allait ce passer. Il a fait ce choix pour nous laisser le temps de disparaître et nous protéger, lui aussi était un homme d’honneur. Aenor repensa a l’intendants du ports qui l’avait sauvé ...

Au bout d’une demi heure de marches ils ne virent plus le navire mais la forêt se distinguait de plus en plus, elle n’était pas comme celle de Chrace, bien moins accueillantes et beaucoup plus lugubre mais si attirantes, Aenor comprit tout de suite que la forêt était peut-être le plus grand magicien qu’il n’est jamais connue.

Trois jours passèrent à marcher, quand Aenor et sa troupe arrivèrent au porte de la forêt, qui semblait briller de l’intérieur, même lui qui n’était pas mages s’entait cette magie brutale que les arbres dégageait, mais est-ce seulement les arbres qui l’a dégage ?


Je le trouve assez bien, mais étant l'écrivain je ne peux trop juger mon texte...

désolé !! mais étant en période de BAC blanc, je n'ai pas trop eu le temps !

je m'y athel ( lol ) tout de suite !!!

sinon j'aime bien l'idée du sacrifice des soldats !

bon il manque de la description, mais c'est pas mal !!

envoie moi le Chap 5

Chapitre 5

« Nous devons vraiment entré dans cette forêt seigneur, car elle, a moi et aux autres, n’inspire pas une once de confiance, plaça d’une voix tremblotante un des plus jeune de l’escorte d’Aenor.
-Oui, Aenor répondit d’une voix calme et ferme, Et nous allons le faire des maintenant ! »
Aenor se mit a genoux exécuta une prière puis donna l’ordre d’avancer. Au moments même au Aenor, en tête de groupe, entra dans la forêts une peur animal fit son apparition dans son cœur. Une peur bien difficile à retenir mais le souvenir de la bravoure de l’intendant l’aida a ne pas prendre ces jambes a son cou.
Dés que le dernier soldat de la troupe fut entré dans Athel loren le chemin se referma, le passage qu’ils venaient d’emprunter c’était refermé en un bruit sourd et brusque.
La peur était reine dans les cœurs de tous les soldats, leur susurrant a l’oreille de fuir, courir, déguerpir, abandonner cette quête irréalisable ...

« Monseigneur, est-ce une bonne idée de continuer ? Nous ferions peut-être mieux de chercher une sortie ?
-Si la forêt ne veut pas qu’on sorte, nous ne sortirons pas. Et ne croyez pas que je ne ressens pas la peur et l’envie de m’enfuir mais mon honneur est plus puissant !
-Vous devez avoir raison mais apparemment les asrai ne viennent pas nous accueillir, et si ils ne viennent pas maintenant ils ne viendront pas plus tard
-Nous ne savons rien du temps dans Athel loren, et je ne pense pas que les frères sylvestres en savent beaucoup plus, nous devons patienter un peu, et puis de toute façon par où veux tu sortir ?
-Je ... Vous avez sans doute raison je m’excuse de vous avoir contredis, j’ai oubli... » Il n’eut le temps de finir sa phrase que sa tête vola en éclat libérant une traînée de sang sur le sol.
Dés qu’Aenor eut tourné la tête pour voir qui avait tué son interlocuteur, il vit qu’il avait déjà perdue la moitié de ces soldats en moins de deux minutes.
Le temps de sortir son épée est un autres était morts, les dryades les massacrait. Aenor reçu un coup au crânes par derrière avant d’avoir eu le temps de porté au secours de quelqu’un.
Il vit un tunnel blanc puis plus rien, le vide ...


Elmarto ne m'as pas répondu pour celui-ci ...

Un ch'tit peu court mais on attend la suite.

Ghorg, qui aime lire les récits !

Je pense pas que vous aurez la suite avant les vacances dans deux semaines parceque deja que j'ai du mal a gerer les quatre forum ou je suis actif dans la semaine...