Les guerriers Ailéydes

Chapitre 1 Un drôle de rêve

Loin au sud d’une chaîne de montagne, des chants de vengeance et des tambours chantant en rythme de la destruction, un rassemblement de tout un royaume qui se massait près de grande bannière de soie finement bordée représentant un aigle d’or entouré de flamme bleu sur fond argenté, tous était prêt à mourir pour elle. Marchant droit devant sur une plaine herbeuse en direction de la tempête qui leur faisait face avec une détermination sans limite car tous ses hommes avait une famille qui les attendait au retour, mais lentement la peur envahie leur visages, et les sombres nuages au dessus de leur tête ne le aidaient pas.

A leur tête, il y avait un homme qui avait sut unir tous ces soldats à sa cause, cet homme ne se dévoilait presque jamais car une longue cape rouge le recouvrit complètement le corps et un casque finement ouvragé fait d’un argent le plus pure lui cachait son visage, il avançait d’un pas souple sur l’herbe à l’avant de la colonne interminable de guerriers sans même se soucier une seconde de l’issue du destin.

Loin devant eux, de nombreuses silhouettes se dessinèrent, une armée d’invasion avançant à leur rencontre, sur leur grande bannière, un ange déchu du chaos avec les ailes déployée se tenait droit avec une épée baignée dans le sang dans la mains gauche et une perle de couleur brune dans celle de droite le tous sur un fond écarlate on pouvait la reconnaître la marque de Khorne, à leur tête avançait un cheval sombre qui transportait une silhouette qui se tenait fièrement, une longue cape noire flottait dans le vent derrière lui, la capuche lui cachait le visage à l’exception de ses lèvres ou se dessine un vil sourire de satisfaction. Sa queue de cheval d’un brun foncé avec de multiples mèches rouges pendait le long de sa sombre cuirasse.
Levant sa main haut dans le ciel et aussitôt les hommes qui le précède s’arrêtèrent immédiatement formant un véritable mur de boucliers et de lances, il descendit de cheval et un soldat surgit des rangs pour prendre la monture, l’homme se dirigea seul vers l’ennemi d’une démarche tranquille, les milliers de guerriers l’acclame d’une voix puissante.
L’armée de l’aigle d’or stoppa son avancée, les généraux se regroupent autour du casque argenté en attente d’ordres, les deux armée se trouvait à deux cents mètres l’une de l’autre,

- les archers devant, suivit des lanciers épaulés par les épéistes, deux volées de flèches puis reformation vers l’arrière, cria-t-il
- à vos ordres, crient en cœur tous ses généraux

Tous les généraux couraient vers leurs unités respectives, l’homme au casque d’argent jeta un coup d’œil au guerrier qui marchait librement vers eux, il fit signe à quatre archers encapuchonnés qui arrivent devant lui au garde à vous.

- messieurs, le type là-bas s’approche un peut trop à mon goût, dit-il en pointant du doigt vers le point obscure loin dans la plaine, abattez-le d’une flèche dans sa tête.

Les archers élites s’avancèrent de quelque pas et bandèrent leur arcs long et placèrent un trait mortel tous tant visant la cible, ils décrochent leur tirs et quatre flèches à la panure blanches volèrent à toute vitesse vers l’inconnu , tous avais les yeux rivé le guerrier qui se prit de plein fouet les quatre projectiles dans le torse, le guerrier s’arrêta et regarde avec un sourire sournois les flèches planté dans son corps, au grand étonnement des archers, il les retirent une part une avec sa main sans se tordre de douleurs et les jeta plus loin comme des épits de blé.

Il leva la tête vers les responsables de l’attaque quand soudain quatre pierres qui jonchaient le sol se soulevèrent à proximité de lui et d’une main tendue.

- que ces pierres deviennent mes projectiles, murmura-il

Les projectiles volèrent à une telle rapidité que les archers succombèrent immédiatement d’un énorme trou dans le torse, tous les soldats qui avaient observé la scène reculèrent d’un pas prit d’effrois, le commandant au casque d’argent les rappela aussitôt à l’ordre et en se concentrant vers le guerrier mystique, une boule de feu bleu jailli de sa main et la projeta sans prévenir sur la cible, le guerrier mystique leva ses mains vers la boule de feu

- terre devient mon bouclier, cria-t-il

A pêne il lut prononcé qu’un mur de pierre se matérialise juste devant lui, le projectile ardent vient s’exploser contre avec une telle puissance mais me parvient pas à l’abîmer, l’étranger fit disparaître le mur et enleva sa grande cape noire qui révéla une grande paire d’ailes avec de longue plumes noir et une épée longue pendait à sa taille et des symboles chaotique lui recouvrait les deux bras, il ferma les yeux.
- assez de jouer, se dit-t-il dans ses pensées
Il s’envola d’un seul coup d’aile dans le ciel et replongea vers le sol avec le point fermé.
-terre ouvre-toi, cria-t-il en percutant le sol ce qui fit trembler toute la terre.
Il resta comme ça pendant quelque seconde, quand une profonde fissure parti de son poing, elle traversa toute la plaine en faisant un terrible bruit jusqu'aux les unités de guerriers qui paniquait à la vue de l’abîme qui s’ouvrait sous leur pieds, car peut d’entre eux ne purent échappé au gouffre qui engloutit une bonne centaines de soldats.

En voyant le carnage qu’il avait pu causer, il empoigna son épée et leva son bras bien haut pour que ses soldats le voient et abaissa son épée, ce qui suivit du son des tambours de guerre annonçant le début de la charge aussitôt des centaines de soldats se mirent en marche et une vague humaine déferle vers la plaine ou était postée l’armée désorganisées tentait tant que mal à se reformer. Dans un ricanement sournois le guerrier mystique s’envola de nouveaux dans les cieux.

Le commandant argenté se précipita alors à leurs rencontre tout de suite suivit par les rescapés du séisme qui réclamèrent vengeance, les deux forces se rencontra avec un tel impact que certains boucliers volèrent en éclats, des guerriers se massacrant par dizaines en usant d’aucune pitié, des épées s’entre choc, des lances se brisèrent contre les boucliers, des centaines de flèches meurtrières volèrent au-dessus de leurs têtes en retombant en emportant des malchanceux par centaine. Très vite les cris d’agonies des blessés recouvrèrent le tumulte du champ de bataille ou les corbeaux qui volèrent en cercle au-dessus de la plaine en attendant la fin des hostilités pour aller se nourrir sur les cadavres.

Les deux commandants se retrouvait enfin face à face, leur regard ne présageant rien de très joyeux, aussitôt,le guerrier mystique pointa son épée droit sur le cœur de son adversaire avec toujours le même sourire sournois, le casque d’argent resta lui calme et lucide tout en respirant calmement.

- comment te nomme-tu, soldat, demanda le mystique
- Pourquoi je te le dirai, répliqua avec un air détendu
- quelle insolence, je me nomme Kojisaito l'ange du chaos, dit-t-il, souvient-toi de ce nom de celui qui deviendra ton tueur.
- tu es donc un des ces fameux Ailéydien, dit-il en retirant son casque d’argent, tes plumes valent un gros sac d’or, tu le savais ça ?

Il avait les cheveux teint d’un bleu profond assez long et mal brosser, il avait aussi un tatouage sur le côté droit de son visage représentant une fine flamme qui lui montait jusqu’au front, il possédait des yeux sombres comme la nuit, il sorti de sa poche un morceau de toile et le parcoure en souriant.

- qu’il y a-t-il, cria l’Ailéydien, qu’es qui te fait tant marré à ce point.
- tu dois être plutôt fort pour mérité ce prix là, dit-il, pour avoir une rançon comme cela en lui montra l’affiche de recherche.
- L’Empire te réclame mort ou vif avec une prime de 45'000 pièce d’or, dit-il, je me ferai une joie de te capturer pour ce prix là.
- vient seulement me chercher, rigola Kojisaito.

Il laissa sa longue cape tomber sur le sol, révélant un corps musclé car il était torse nu, un autre tatouage apparu sur sa poitrine, mais fut un crâne blanc avec deux épées croisés en arrière plan un symbole distinctif d’un chevalier de Bretonnie le tout entouré de multiples flammes. Il enflamma ses mains et les croisa.
- le vent transporte ma flamme, cria-t-il en créant un cône de feu brûlant tout sur son passage dont l’Ailéyde esquiva rapidement en s’envolant.
Tous les guerriers à approximé furent carbonisés par le torrent flamboyant de couleur azur qui aussitôt créa un large cercle autour des deux combattants.
L’Ailéydien survola en savourant de la vue du massacre qui se déroulait juste en dessous de lui en applaudissant le guerrier tatoué
- Bien, bien, tu as l’air d’avoir du potentiel pour maîtriser des mots arcadiaque, dit-t-il
- vient te battre, sale lâche, dit le pirate en le pointant du doigt
L’Ailéydien fit un tonneau et plongea droit vers le sol, créant un cratère qui fit trembler la plaine, il se précipita sur son ennemi épée levée avec une ferveur redoublée…


Chapitre 2 l'entrainement à l'arc

- Réveille-toi !!, aller debout !!, gros paresseux !!, disait une voix reconnaissable, il est déjà le matin et le soleil s’est déjà levé lui !!
Aussitôt un rayon de lumière envahit la pièce à l’ouverture des volets ce qui me força à plisser des yeux et d’un geste brute je m’enroula dans ma couverture pour faire office de barrière quand je senti un courant d’air à mes pieds qui suivit d’un arrachage forcé de la couverture et je me retrouva alors sans protection, je ne mit en boule, quel galère
- aller, fait pas ton frileux, redit la voix féminine
- naaah, j’ai pas envie de me lever, grognais-je
- tu seras en retard pour ton cours de tir à l’arc long, dit-elle
- mince, j’avais complètement oublié le cours du vieux, dis-je dans mes pensées
- le déjeuner est prêt, alors habille-toi rapidement, répond-t-elle à mon silence

Elle quitta ma chambre avec agilité en laissant la porte ouverte, je me redressait de mon lit, je m’habilla avec des vêtements légers pour être plus libre dans mes mouvements mais aussi parce qu’il commençait à faire chaud, je le sentais la chaleur du soleil sur ma peau, c’était agréable pour une fois.
Je prit ma ceinture de cuir ou était accroché une dague en forme de feuille qui me fut forgé pour mes quatre ans par le forgeron du domaine, je la noua autour de ma taille, une fois paré, je m’engagea dans l’escalier en frêne qui mène au cuisine.
Je croisai de temps en temps un serviteur que je saluai à son passage qu’il me le redit aussitôt avec le sourire.
J’arriva dans le hall de la cuisine, là se trouvait une grande table en chêne massif assez spacieuse pour pouvoir accueillir dix personnes dont sa surface était sculpté de magnifique motif elfique racontant une histoire d’antan. Je retrouvai autour d’elle ma sœur et ma mère assise en pleine discussion à les entendre réciter le bestiaire florale que possède notre forêt me donnait déjà la migraine, je prit place sur une chaise de la même facture que la table et fit la sourde oreille tout en mâchant un morceau de pain et cela jusqu'à la fin du déjeuner.

Je prit congé auprès de ma famille et quitta le hall pour me diriger ensuite vers le corridor, je saisi mon arc long sur le râtelier et mes traits soigneusement rangés dans un grand carquois en cuir avec des motifs brodés avec des fils d’argents. Ce carquois fut récupéré sur le champ de bataille en bordure d’une forteresse humaine ou tomba mon grand père mortellement touché par un projectile d’une de leur machine de siège qu’ils nomme un trébuchet. Je le passa dans mon dos et le fixa solidement. Je fit encore quelque pas pour ensuite déboucher juste devant la porte d’entrée, cette porte portait une grande balafre encore visible sur le montant droit fait par une lourde hache d’un orque noir il y a déjà de ça plusieurs hivers j’avais juste l’age de tenir une épée à peu près correctement.
Une Waaagh venue du nord nous avait prit de revers en profitant du calme de l’hiver pour mettre à exécution leur terrible méfait, mon père était parti à la tête de tous nos gardes éternels pour contrer cette menace en laissant le domaine sans défense et cet erreur avais coûter la vie à plusieurs serviteurs qui se jetait corps et âme dans un combat contre des guerrier bien trop coriace pour leur gabarit mais leur noble geste nous permis de nous enfuir dans les bois ma sœur qui avait seulement cinq été à ce moment et moi, notre mère et avec le reste de notre maisonnée décidèrent de défendre la demeure. On avait couru le plus vite que nous permettent nos petites jambes dans la neige.

Au retour de mon père avec les rares rescapés qui avaient survécu à la bataille, ils furent mortifié devant ce triste spectacle dans la cours ou était étendu de multiples cadavres d’orque et de gobelins mais aussi les corps mutilé des elfes qui combattirent jusqu'à la fin.
Depuis ce jour dramatique, le domaine est gardé constamment par des gardes sylvains et tous les chemins qui m’amenaient au domaine étaient piégés et des petits groupe de forestiers patrouillent en se moment même dans les alentours.
cette marque de la hache dans le bois nous rappel que nul n’est à l’abri d’une attaque surprise.
Je traversa cette porte au triste passé pour me retrouver dans la grande cour ou discutait trois gardes je passait devant eux en les saluant de la main, ils furent de même et lorsque j’allait partir, l’un de ces elfes se démarqua du trio et s’approcha de moi.

- attention à vous, jeune maître, des rumeurs circulent comme quoi des intrus se seraient passé de la vigilance des gardiens de la bordure extérieur Ouest, des patrouilles sont à leur recherche, à l’heure actuelle ils peuvent être n’importe ou, raconta l’elfe, je vous recommande d’agir avec prudence.
- merci du renseignement, dis-je en me dirigeant vers les bois en direction de la cabane du vieux qui se situais pas très loin.

ma-gni-fique
c'est l'histoire de ton seigneur?
on veut la suite please

merci, t'es trop chou

c'est l'histoire de ton seigneur?

non, pas à la base..mais ça pourrait l'être

les dernières phrases prouvent que, à tout les coups, il va se faire attaquer

non, pas à la base..mais ça pourrait l'être

oui ou non?

peut-être ou peut-être pas, seul le destin et moi le sauront


oui mais pas directement , j’imaginai que c'est plus l'histoire du frère de mon seigneur qui est une seigneuresse DDG(parce que j'aime bien ces personnages gracieux) à la base qui est représenté dans cet histoire.
Cela change un peu l'intrigue de l'histoire habituel.
car ce n'ait pas part les yeux du seigneur que vous voyer le monde, mais part ceux d'une autre personne qui lui racontera à sa manière, avec ses opinons tous les agissements du seigneur.

voilà la suite

Chapitre 3 le vieil instructeur

Je rejoins un petit sentier au pied d’un énorme chêne, il devait avoir dans les trois cents ans à juger par le diamètre de son tronc. Une légère bise fit chanter son vieux feuillage, je continuai mon chemin en entamant un chant elfique à la rime harmonieuse que ma mère me chanta toujours lors de nos sorties en forêt quand J’aperçoit la pane faîtière de la cabane j’active le pas et en quelque minute je me trouvais dans le jardin qui venait d’être travaillé. Je fis deux pas avant de sentir un léger vent sur ma joue qui me fit frissonner. Une mouche peut-être… mais ne ferait-elle pas un minimum de bruit. Intrigué je tourna la tête et vit un trait planté dans un des poteaux du jardin situé juste derrière moi, je fit un bond quand une deuxième flèche siffla juste derrière ma nuque, prit de panique je me plaqua au sol et rampa jusqu’à la porte pour m’offrir un couvert, quand soudain la porte s’ouvrit et je vit une paire de botte, je leva les yeux et la se tenait le vieux elfe avec un arc dans la main avec un sourire narquois.

-Sois le bienvenue, jeunet, dit-il, tu serais déjà mort deux fois à l’heure actuel en posant son arc contre l’embrasure de la porte, tu es trop dans les nuages,petit.

-Quoi…Hein…..dis-je en reprenant un rythme cardiaque normal
-aller debout, tu ne compte pas rester coucher sur le sol toute la journée, dit-il
-il est encore plus ravagé du cerveau qu’on ma raconté, cria ma pensée intérieur

Je me leva et secoua mes vêtements pour enlever la terre et entra à la suite de l’elfe dans un petit vestibule ou était accroché plusieurs tableaux dont un attira mon attention, sur la toile de lin était peint plusieurs elfes en équipement assez inhabituel ou était inscrit un chiffre blanc, je chercha le vieux des yeux et je le trouva accroupi avec deux autres elfes aux cheveux flamboyants qui portaient des tatouages bleu, il était bien jeune comme moi je pense mais il possédait déjà ce même sourire. Placé juste derrière eux se dressait fièrement un de ces fameux homme-arbres que j’avais t’en entendu parlé dans mon enfance mais encore jamais vu un de mes propres yeux. En bas de la toile était inscrit en elfique « GO ! GO ! Athelorn Avengers » je ne savais pas ce que cela voulait bien signifier.

-Ah ça, dit-il en se rapprochant
-qu’es que c’est, dis-je d’un air intéressé
-c’est toute ma jeunesse, gamin, raconta le vieux, des vieux souvenirs passé au sein d’une équipe formidable et le voilà parti dans ses récits glorieux.

Après trente minute de discussion passionnée, je compris finalement qu’il faisait partie d’une équipe de joueur d’un jeu ou tous les coups sont permis, que ces tenues étaient leur maillot de combat dont le chiffre servait de marqueur personnel mais aussi qu’ils avaient remporté plusieurs trophées réputé à travers le vieux monde. Il me soutient qu’il était plus facile de battre des adeptes du chaos à ce sport que dans une bataille rangée. Leur équipe était entièrement composée d’elfe sylvain portant fièrement le nom de Athelorn Avengers en hommage à notre merveilleuse forêt.

Le vieux se retourna et ouvrit un grand coffre posé à gauche d’un petit canapé au couvercle graver des initiales « BB », il souleva le couvercle d’une main et de l’autre saisi un objet qui ressemblais à un casque abîmé sorti tout droit d’une fête de joie peaux vertes. Il souffla sur la surface pour retirer la poussière qui c’était accumulé aux fils des années. Un dix styliser peint apparu sous mes yeux mais ne pu cacher les multiples rayures et dégâts qui parcourent les flancs. Dans le coffre se trouvait encore tout le reste de son équipement.
Je pu apercevoir une forme ovale avec des pointes, je suppose que cette chose doit être une balle. Une larme coula le long de la joue du vieil elfe, de la tristesse, de la joie, ou des regrets, je ne pu le dire. Il reposa le casque à sa place et referma lentement le coffre

-n’est-tu pas là pour t’entraîner aux tirs à l'arc, lâcha-t-il
-Oui, dis-je en levant mon arc
-bien attend-moi dans le jardin, dit-il avec une pointe de chagrin dans sa voix

Bravo très touchant,continues comme ça.

Le vieux me rejoint dans son jardin quelques minutes plus tard l’arc à la main et multiples flèches aux plumes bleutées rangés dans un carquois en écorce de charme. On marcha jusqu'à une petite carrière à l’ombre des saules, là se trouvait deux cibles de foin à environ trente mètres de nous. Il retira d’un geste rapide un trait et arma l’arc et tira le tous en moins de quatre secondes, son trait traversa avec une telle rapidité qu’il était impossible de la repéré à l’œil nu et c’est seulement le bruit de l’impact qui indiqua sa position en plein centre de la cible.

- alors gamin, dit-il, qu’est que tu attends en me pointant du doigt l’autre cible

Je reproduis aussi fidèlement l’enchaînement que le vieil elfe mais à un rythme ridicule, il me fallut plus d’une minute pour armer mon arc car ma flèche refusait tous bonnement de rester en position, le vieux avait quand à lui déjà tiré une dizaine de traits. Quand j’arriva enfin à maîtriser, je cible ma cible et relâcha ma flèche qui parti dans le décor à deux mètres de la cible. Le vieux rigola de ma maladresse.

- Lent et pas attentif aux détails, dit-il en exécutant l’enchaînement plus lentement.
- quelles détails, je répondis
- le vent et l’environnement qui t’entoure, gamin, profite d’une fine ouverture dans l’armure de ton adversaire ce qui permet à ton trait d’être d’une efficacité mortelle.  

J’écouta avec attention ses conseils et retenta le coup mais cette fois en calculant les détails et cela ma permit de toucher sa cible. J’enchaînai les tirs à la suite pour améliorer ma rapidité. Je fit une pause pour me dégourdir le bras et chercher les flèches sur les cibles quand surgit des bois cinq cavaliers portant des lances effilées
Des chevaucheurs sylvains sûrement à la poursuite de ces intrus, ils passèrent devant moi sans me prêter la moindre attention alors je reprit ma tache quand je vit du coin de l’œil deux ombres bougé furtivement dans le sous-bois, je regarde un peu mieux, lorsqu’une des ombres tourna sa tête vers moi, je vit deux yeux rouges me fixer pour ensuite disparaître sans un bruit.

- qu’est que c’était, dis-je, je doit déliré ou quoi

Soudain un coup de feu retenti non loin dans la carrière dans la même direction que ces cavaliers suivit d’un cris de douleur, je prit mon arc et rejoint le vieux qui avait déjà armé son arc lorsqu’un autre cris se fit entendre, nous courrons vers la source de ce bruit et au fur à mesure qu’on se rapprochait, le bruit d’un combat, des bruits métallique qui s’entrechoc était suivit d’un troisième coup de feu, nous grimpons en haut une petite colline et fit deux corps d’elfes qui gisait au sol et trois autres à pied l’épée à la main combattant de petites formes courbée qui portaient de longue cape noir partiellement déchirée avec de petites épées, un quatrième coup de feu me fit sursauter dû à son bruit peu habituel dans notre forêt, la balle toucha un des elfes encore debout à la jambe qui le fit basculer au sol et en essayant de se relever il fut abattu par une des formes qui se trouvait dans son dos, il s’écroula au sol sans un mot.

---nouvelle suite-----

Le dernier elfe trancha d’un revers de sa lame une des créatures, le vieil elfe tira son trait sans attendre et abat d’une flèche dans la tête une créature qui se préparait à bondir dans le dos du dernier combattant, je visait un autre, mais le loupa lamentablement. Soudain un silence tomba suivit par des petits couinement, un bruit de pas lourd martelant le sol suivit d’un second se rapprochant dans notre direction, mais encore caché par les arbres. Nous vîmes une silhouette noire voler dans le ciel pour s’écraser dix mètres plus loin, une autre fut projeté contre un arbre dans un craquement d’os brisés. À la lisère se tenait un être d’au moins trois mètres de hauteur vue de loin et ressemblait plus à l’aspect d’un tas de tronc mort, une créature massive remplit de haine et émanait une aura de puissance en balayant d’un coup de branche deux autres victimes. La peur de mourir fini par ensorceler les petites silhouettes qui courait dans tous les sens en espérant échapper à ce monstre forestier. Une fois les fuyard rattrapés et massacré dans le sous bois, le monstre s’immobilisa et de ce corps s’échappa un esprit qui s’envola en direction des bois profonds de la forêt.

-on nomme cette créature une Lémure, s’écria-t-il, un esprit qui prend possession de bois mort pour lui servir d’enveloppe charnel, une armure impénétrable et une force physique colossale.

Le vieux s’approcha du dernier elfe vivant qui était accroupi près de ses compagnons lâchement abattus par des petits objet rond. Il observa ensuite les corps de créatures à son grand étonnement.

-des homme-rats ou plus souvent appeler Skavens, dit-il avec dégoût, que font ces misérables rats dans notre forêt.
-des Skavens?!, dis-je comme j’en avait encore jamais entendu ou vu.
-c’est une race de rats perfide et malpropre, de la peste, me répondit-il, la dernière fois que je les ait vu ce fut pendant un championnat.

écrit resplendissant
même si sans poésie
tu expose des talents
d'écriture infinis
ce récit flamboyant
attise ma jalousie
qui silencieusement,
reflection aboutit,
meure définitivement.
j'admire et j'applaudie.

je hais les récits à suspense (surtout vers la fin)

après l'idée du recueil (merci Anos) voici celle du livre

suite très vite?

Salut,

je hais les récits à suspense (surtout vers la fin)

Je te comprends,tu as peur d'être déçu en attendant la fin,tu as peut être eu de telles experiences de lecture qui t'ont déçu.Même si je me doute bien qu'en fait c'est l'impatience qui te ronge.Mais à écrire c'est marrant on se surprends parfois à écrire sans connaître la fin soi même.C'est un plaisir.
Après je pense qu'un livre entier peut difficilement se construire sur ce mode.
C'est pourquoi il y a quelques maladresses dans l'emploi des conjugaisons chez Nannerl,exemple:

J’écouta avec attention ses conseils et retenta le coup mais cette fois en calculant les détails et cela ma permit de toucher sa cible.

"J'écoutais avec attention" serait plus reposant.

Un truc qui m'a fait rire sinon:

- qu’est que c’était, dis-je, je doit déliré ou quoi

Je doute que tu crèches réellement dans une forêt,ce ne serait pas plutôt dans une cité
Ouais zy va le vieux je délire ou quoi?!?

Il y a des idées mais la maîtrise de la langue reste à travailler.

12/20

merci beaucoup à vous deux


C'est vrai que je suis pas une pro du français, je suis désolée pour ça.

c'est ma première composions de type "roman", cela change un peu de la douce poésie.

Ouais zy va le vieux je délire ou quoi?!?

c'est un ado (Ok^^)mais noble alors une tenue du langage s’impose, pas une racaille de rue.

les premières partie se trouve dans Athel loren (sauf le rêve, qui ce trouve non loin de Talabheim) et j'ai rajouté une multitude de détail comme le schnock (qui ce trouve être un joueur de Blood Bowl assez connu ) bon, je suis consciente que ce ne sera pas un best steller du roman mais j'aime bien composé tous ce qui me passe par la tête

Aucun problème,bon ben on attends la suite maintenant.

suite à une grande pause du roman à cause ces vacances, à l'aube de la rentrée,je me consacrerais à l'écriture la suite de ce "roman".

voilà la fin du chapitre 3. (désolé d'avance pour les éventuels fautes)