[Rec] Recueil de tous mes textes

Cette Promesse

Il courait, sans s’arrêté, quitte à continuer à souffrir, cette souffrance qui une fois commencée ne peut se stopper, celle qui lorsque vous ne le voulez pas, peut vous mettre à genoux. Mais lui ne pouvait s’empêcher de courir, il savait que si il s’arrêtait ce serait la fin, la fin de toutes choses, ces choses qui lui paraissaient tellement plaisantes, mais pour le moment il ne s’en souciait guère. Il devait rejoindre son bataillon, celui-ci égaré en pleine forêt, cette forêt qui même de plein jour était obscure, celle qui vous glacerez le sang juste d’un regard, celle dont on parle dans ces contes, ceux qui finissent bien, mais lui n’y pensait pas, il courait seulement.
Bien que les flèches fusaient il ne se retournait pas, il ne savait pas pourquoi ni comment mais il allait juste tout droit, il sentait cette odeur, cette odeur qui lui rappelait d’où il venait et ce pourquoi il se battait, il se battait pour sa femme, celle qui le laissa partir, en ce jour de pluie, un jour comme un autre dans la vallée, mais seulement lui, le savait, il savait ou il partait, il savait très bien que cette journée serait surement la dernière, mais il continua de faire ce qu’il devait faire, courir. Bien que les branches aussi coupantes que des lames le griffées, il continuait, bien que ses pieds le faisaient souffrir le martyre, il ne s’arrêtait pas, ses genoux étaient bleuets à cause du froid et des engelures l’atteignaient au niveau des orteils, mais il le rejoignit, ce bataillon, deux-cent hommes attendaient là, certains blessés d’autres morts, des cris de souffrance parvenaient de partout, tout juste eut il le temps de les prévenir qu’une flèche le transperça au niveau de la trachée laissant apparaître un mince filet de sang, il agonisait sur le sol, ce sol gelé, celui qui l’avait fait souffrir au plus haut point, et il se demandait pourquoi lui, lui, qui même après avoir risqué sa vie pour tenter d’arrêté l’invasion, du autant souffrir, était-ce le prix à payer pour avoir abandonné le seul être encore vivant à qui il tenait le plus au monde. Il lui avait menti, quelle promesse avait il faite, une promesse qui bien qu’en partant et en sachant avait été faite, puis ses yeux verts d’une pureté inouïe, durent se refermer, la lumière céda à l’obscurité, sa bouche prit une forme étrange, celle de la douleur, mais il le savait, elle le rejoindrait bientôt...

A.d.M

Second texte écrit par moi même.

Je posterais le premier plus tard.

Bonne lecture.

L'elfe...

Ton texte donne l'impression d'une course effrenée, tout droit sans rien d'autre. Si tu veux faire une course poursuite, c'est largement perfectible.

Qu'on ne s'y méprenne pas, c'est pas mal. Mais il y aurait moyen de faire mieux : c'est un peu trop rapide à mon gout, j'ai pas vraiment fait attenttion, mais j'ai pas vu beaucoup de ponctuation (points, histoire de laisser souffler le lecteur). Ce serait bien de faire un peu moins bi-bloc.

Dévelloper un peu plus le départ de la vallée, un peu plus de description de la forêt, du camps, des indications sur les poursuivants, tu peux mettre un peu plus de peur dans le texte pour bien faire ressentir celle du personnage.

Et c'est tout ce que je peux dire à la première lecture.
Peut-être un deuxième commentaire plus tard, ...

On attend l'autre (moi toujours ...)
El'

Normal que le texte ne soit pas trop détaillé.
C'est une nouvelle.
Les points ne sont pas forcément obligatoire, car pas mal de virgules sont présentent, ce qui permet ,comme tu le dis, au lecteur de soufflé un peu.
Le principal objectif de la nouvelle n'est pas la course poursuite mais plutot l'ambiance qui y règne, on à pas besoin de savoir qui sont les poursuivants, le personnage qui court est un pillier, tout tourne autour sans focément être développé.
En tout cas merci j'en prends note


L'elfe...

Et bien je trouve que ton texte est pas mal

Mais le grand problème, c'est justement la trop grande présence de virgule dans le texte... Je ne sais pas si c'est voulu mais c'est assez fatigant à lire

Faudrait espacer un peu plus ton texte... faire de nouveaux paragraphes... mettre des points... etc...

Le texte est sympathique, mais la trop grande présence de virgules et de reprises d'un nom par le nom lui-même ou par des pronoms rend vraiment le texte difficile à assimiler... On entre pas dans l'histoire comme on aimerait...

(i.e. : "quitte à continuer à souffrir, cette souffrance qui..." "il savait que si il s’arrêtait ce serait la fin, la fin de toutes choses, ces choses qui..." , "celui-ci égaré en pleine forêt, cette forêt qui[...] celle qui [...] celle dont...", "...on parle dans ces contes, ceux qui finissent bien" )

ETC... ETC...

Bref, tu auras compris de quoi je parle... Tes phrases sont trop longues et le style n'est pas assez parfait pour éviter la fatigue du lecteur...


Voila voila, on attend l'autre texte

Bonsoir,

La reprise des pronoms, noms est fait exprès.
Réduire le nombre de virgules ça par contre c'est faisable.
Allez l'autre texte:



Seule, elle était là, cette jeune fille dénudée ne bougeait plus, debout tête face au mur, bras croisés derrière le dos. Dotée d’une chevelure blonde, un nez aquilin, des yeux noirs, tel un loup. Elle pleurait, seulement personne ne pouvait l’entendre car elle faisait partie du décor, de ce décor si sombre, éclairait par une mince flamme dansante de bougie, il faisait froid. On entendait les coups de vents, des êtres indescriptibles, allant d’un bout à l’autre de la pièce accompagné du bruit de ce vent. Aucune fenêtre, seule une porte entre-ouverte, en bois de chêne près d’un miroir brisé dont seule un quart de celui-ci resté. Soudain plus de bruit, le vent s’était arrêté, la fille, elle, pleurait, à s’en vidée d’eau, l’eau, cette élixir si convoité par l’homme qui pourtant n’était que peu important pour Lui.
La jeune fille du se retourner, elle en souffrait à en mourir mais ne dit mot, et continua de pleurer, ces forces qui la retournaient n’avaient ni formes, ni ombres. Lui était debout, il la regardait avec un sourire ironique, laissant entrevoir une canine aiguisée, la fille pu ouvrir l’œil non blessé, l’autre ne pouvait plus servir, un bandeau était posé dessus avec délicatesse. Lui, continuait de sourire et s’approcha, la fille regardait alors le miroir, ce miroir, qu’il l’aida à comprendre que cette nuit serait la dernière, la dernière dans ce monde, le monde des vivant. Elle laissa échapper un son, un unique son, puis ce fut la fin…



A vous!

L'elfe...

Perso je dirais que cest pas mal, mais comme on dit les autres; le rythme nest pas bon. Les reprises de noms, la ponctuation, tout ca; ca peut donner un rythme au récit, mais la ca le casse. Et tes textes sont courts donc on peut encore moins rentrer dedans, ils sont un peu imperméable du coup je dirais. Tu devrais penser a utiliser des points virgules, voir des points tout court mais cest autre chose; ca fait une grande différence au niveau du rythme d electure et ca permet de garder une certaine continuer tout de meme. Enfin cest juste en passant... ++

EDIT SLAYNE : Je pense la même chose, mais comme je l'ai déja dit sur un autre forum je ne vais pas réécrire pareil ici.