Poème d'Athel loren

Merci Anos, ça fait toujours chaud au cœur des compliments gentils surtout en cette période de froid.

Pour ta requête sur le 9ème âge, étant peu au courant de la nouvelle reconversion de Warhammer(période d'examen je vous hais), je peux que difficilement conté sur un sujet aussi trouble pour moi.

Chapeau, j'adore écrire, mais de l'heroic-fantasy... Je t'avoue que pour les poèmes et les odes je galère un peu plus, alors je te tire mon chapeau une seconde fois !! Des petits conseils ?

Je n'ai jamais trop été pour les poèmes, mais quand c'est bien écrit c'est plaisant à lire. Bravo Nannerl.

Comme notre divine forêt verdoyante
Toutes ces créatures sont uniques
Mille qualités et mille défauts latents
Une perle rare à aspect runiques

Toutes créatures à des forces
Chaque êtres à ses faiblesses
Tous enduit d'une dose de chance
Possédant une évidente sagesse

Chaque ombre à une longue histoire
Quelle soit très douce ou radieuse
Une âme à coup de mille éclats azurs
Reflétant une personnalité bien curieuse

Ce qui importe plus que l'horizon
Ô votre éclatante chaleur du cœur
Vos pensées clamaient à l’unisson
Votre raideuse gentillesse en ces heures

Honte à moi, je suis le dernier
À venir te féliciter
Mais je m'éveille de temps en temps
Comme le froid en ce moment

Toujours tu chantes et tu enchantes
Par la plume et par les plantes
Tu nous racontes de histoires
Pour que les rêves suivent le soir

De qui de cette plume inactive
Ô prose et vers si silencieux
O écrits et contes à la dérives
Ces chants montant au cieux

Voilà au temps depuis peu
Un royaume fort peu radieux
Nul son coule en son milieu
Attendant de temps pluvieux

La forêt est-elle abandonnée
Au printemps bien révérée
De mille feuilles ébourgeonnée
Fini de la froideur acérée

La plume s’élève de l'encrier
Sur un blanc papier d'oranger
Dansant de mille et un mots
Composant un beau tableau

Il fut un temps reculé lointain
Notre peuple portée par le vent
Dans cette forêts au mille pins
Remémorant posée sur un banc

Ou s'arrête notre brillant avenir
Ou perdure notre lointain passé
Que verrons-nous au futur à venir
Ou est notre destin abandonné

L'antan va-t-il s'éteindre dans la nuit
Le crépuscule dans la lumière du matin
L'aube se lève-il dans le son de la pluie
Le présent est devenu plus qu'incertain  

Au temps passé, grand royaume forestier
Aujourd'hui, devenu petit peuple oublié
Au futur, lueur d'une poussière d'étoile
On méritait de le savoir, sagesse de parole

Notre royaume tel que nous le connaissons
Oublié et effacé, transformé, sur tous horizons
Notre âme fut la seule transcendant cet nouvel âge
Notre peuple est porté vers un nouveau rivage

Portant les espoirs de renaissance
Nos flèches et lames acérées
Vont faire rapidement connaissance
Ô ennemi, attend ton jugement dernier

La haine, l'ignorance au pire désespoir
Alliance de destruction n'est qu'illusion
Ces personnes de la forêt porte l'espoir
En forte confiance, marchant à l'unisson

La classe super tes poèmes

Merci Narnnel.
Comme ce bel
Ode aux Sylvains
Nous va si bien.

§§§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la forêt.


§§§ Te voici revenue, réveillé de tes pensées endormis de cette hiver.

§§§ Bonne soirée.

toujours un talent incroyable bravo nannerl !!!

Merci camarades sylvains...

J'ai raté celle du 3 décembre mais pas seulement , cette clairière est vraiment bien cachée et intemporelle .
Celle du 3 décembre sur la curieuse composition des âmes et de leurs diversités , m'a réveillé .
Je pense que l'on voyage tous beaucoup grâce à ces fameuses âmes .

Puis vint la forêt endormie , sublime berceuse .

Bravo Nannerl chère soeur , j'en oublie tout ce fatras de luttes incessantes quand je te vois observer le monde au travers des gouttes de rosée .

Rentrée depuis en forêt connue
Bien trop longtemps absente
Ô Athel me voilà revenue
Auquel la plume me représente

Un sentier de fleur m'accueilli
Des dryades gardiennes dansantes
Puis le chant des arbres retentit
Ambiance joyeuse et attirante

Traversant une clairière verdoyante
Agitant la plume avec juste souplesse
Retranscris des modifications évidentes
Au pied du vieux chêne de la sagesse

Adossée sur son écorce millénaire
En ces mots, le cours des choses
Depuis le long froid de l'hiver
A la renaissance des belles roses

Connaissant plus les vieux
Meneurs depuis mille lustres
Qui nous rendait fort heureux
Ô ces créateurs au passé illustre

La relève est prête et assurée
Ces connus forestiers approuvés
Jurant à la forêt de la faire perdurée
Rendant l'heure de gloire vénérée

Préservant notre domaine forestier
Avec le soin de leurs cœurs attendries
Ils nous guiderons amicalement vers l'été
Leurs compétences affutées et aguerries

Me levant sous une pluie de pétales
Au loin par ces beau cerisiers en fleurs
Posant la plume et regardant ces étoiles
Ô Filantes portée par un souffle protecteur

§§§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la forêt.


§§§ En lisant tes écrit je me dit que tu devrais ouvrir un concours de poésies ou quelque chose dans ce genre.

§§§ Bonne soirée.

Salutation Anos

Pourquoi pas mais cela n'est pas de mon ressort car n'étant qu'une simple citoyenne de la forêt

n'importe qui peut lancer un sujet!

surtout pour de la poésie! je t'avoue qu'en ce moment, je suis un peu débordé, alors heureusement que tu es là pour animer cette partie "background" avec ces si beaux poèmes!

Athel loren est une membrocratie (youpi, un nouveau mot   ), tout le monde a le pouvoir d'agir, être modo ou admin ne donne finalement que le pouvoir de corriger et de gérer le forum!

La poésie est une forme immatérielle
Naissante au plus profond du cœur
Donnant une chaleur presque irréelle
Que ressente autant élites et amateurs

L'imagination est une intime partie
Une musique composée de mots
Force de l'âme et une dose d'envie
Voir le sourire surgir au lieu de ragots

Transparaitre une vision de l'écrit
Transmettre à lecture, une émotion
Ressentir une douçâtre sensation
Évaluateur de l'être ainsi décrit

Nécessaire l'éloquence est forte
L'écrit peut soigner bien des maux
Allège ton cœur et ouvre cette porte
Quelqu’un s'y engouffre suivant tes mots


voilà en gros les règles si un concours devait se produire dans la clairière des rêves

Éveillez-vous, arbres centenaires
Étaler vos majestueuses feuilles
Procurant une douce cape d'ombre
Prenez-vous racines à merveilles

Des humeurs s’élèvent du bosquet
La végétation à l'appel des farfadets
Créant un endroit agréable et secret
Situé dans notre vertigineuse forêt

Il était temps, peuple sylvains
Depuis deux hivers maintenant
Le Bosquet appel en son sein
Le retour des écrits d’antan

Déposé l'arc et vos flèches
Car à sa lisère aucune armes
Aucune haine ou flammèches
Juste votre cœur tendre et âme

Armé de seulement d'une plume
D'une imagination et d'un talent
Élite ou novice taperons l’enclume
A coups de mille mots contondants

Le bosquet accueil tous les êtres
A la sagesse sage et admirable
Gentillesse de la main imparable
Jugement et calme au paraitre

Attendez le messager azur
Annonçant l'emplacement
Le début et l’engouement
Répondriez-vous de pied sûr?

Dragon des étoiles

"Au crépuscule de l'âge
Dans l'infinité de l'alpage
Sans irruption du manège
Par-dessus les azurs rivages

Avançant dans les nuages
Par-delà les crises de rages
Sur les chants des mésanges
Décrit dans multiples pages

Volant tels mille voilages
Voguant au-delà des feuillages
Le vent ruisselant sur le visage
Les yeux ouvert devant ce mirage

Peu représenté par l'image
Aussi craint et fort que l'orage
Par destruction et vils pillages
Indestructible et sans gage"

Trahison de la Nuit

Vils obscurité de Crépuscule
Devant qui et rien ne recule
Ses fines lames dégainées
Ses mains ensanglantées

La cape noire d'obsidienne
Au triste regard sans vie
Perce-cœur vous viennent
Plongez dans l'éternel nuit

Déesse aux mille reflets
Éclats aux lueurs argentés
Silhouette à égale svelte
Aura de mélancolique beauté

Sa robe aux feuilles d'étoiles
Agrémenté tissu de fils dorés
Qui d'agréable finesse liées
Créant de mille points une toile

Crépuscule amoureux de Lune
Poignardant de sa dague noir
Astreint le Soleil de rancune
Frère de Lune et plein pouvoir

Son protecteur ainsi disparu
Lune triste d'une larme
Crépuscule sans charme
L'encercle à perte de vue

Lune prisonnière de l'emprise
Refusant tombé dans la noirceur
Conserva la lumière de son cœur
Illuminant l'obscurité d'une bise

Crépuscule ne put s'opposer
Rancunier et fortement obstiné
Il continue de la forcée de l'aimer
Poignardant le Soleil dans la soirée

Malgré ses efforts acharnés
Il ne peut tenir le Soleil
Éternellement paralysé
Au matin fut son réveille

Obligé de fuir devant sa chaleur
L'ardeur et la lourde température
Crépuscule se dissipa dans l'heure
Retournant à sa forge des tortures

Par rage depuis un temps certain
Crépuscule créa de ses mains
Un poison au pouvoir irréel
Infligeant une terrible séquelle

Il l'appelle "éclipse de lune" dévolu
Et enduisit sa lame rougeâtre
Qui en traître effectue un coup âpres
A sa bien-aimée qui fut sans but

Lune oublia Soleil par son effet
Troublée d'un voile sombre
Engourdi dans les ténèbres
Avançant sans fin dans un filet

Soleil eu vent de la fourberie
Tente de réchauffé le cœur froid
Sa sœur errante perdue sans amis
Il combattit Crépuscule sans effroi

Soleil fut convaincu qu'il y a un moyen
Sauvez sa soeur de la noirceur de la nuit
Crépuscule est fourbes mais nul infini
Au fur à mensure la nuit perdit du terrain

Soleil attaquant Crépuscule de nuit
Barrage d'artillerie de flèches de feu
Visible dans les plus profonds des cieux
Brèche de lumière dans l'obscurité infinie

Crépuscule ne peut contenir tant
Fuir est sa seule options, c'est à prévoir
Il se dissipe avec Lune en l'emportant
Prisonnière de son terrible filet noir

Soleil est devenu un symbole
Lueur purificatrice des ténèbres
Objet de lumière et juste parole
Nettoyant le mal qui se terrent

§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la forêt.


§§§ Très joli faut que tu soit vraiment fan de l'écrit pour nous sortir de si belle choses.


§§§ Bonne soirée.

Merci Anos ^^

Imaginer une mère elfe racontant à son enfant qu'es-que sont ces deux astres? pourquoi il fait nuit et pourquoi l'obscurité est dangereux? pourquoi le soleil réchauffe-t-il? qu'es-que ces petites éclats blancs dans la nuit qui brillent?...etc

J'ai juste créé une histoire un peu plus fantasy pour l'expliquer (que celle des scientifiques/astrophysicien) pour donner vie à ce "conte pour enfant versus elfe"

De plus, ce n'est pas la version complète je l'ai résumé un peu. sinon ça prenait 2 pages voir plus.

c'est dans à la fin de ce chant qu'il relâcha la corde....

Je te demande pard...AAAARGH. ...

Il s' écroula , inanimé (décédé , c'est à dire dépossédé de tout ses dés).