histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
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histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
pas grand chose de nouveau dans ce sujet(pour l'instant) mais comme ça, c'est plus facile de suivre la chronologie et l'histoire de cette elfe(surtout pour moi)
Partie I: Weldenmaela
Chapitre 1:la flamme
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
il fut une foret
appelé mont-des-chants
juchée sur un rocher
et pour tout habitants
danseurs et farfadets
y vivaient joyeusement
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
une jeune guerrière,
héritière de son clan
surveillant les lisières
aperçut, s'avançant,
des régiments de fer,
le chaos et le sang.
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
tout les danseurs de guerre,
la menace approchant
suivirent l'héritière
et s'armèrent bravement
mais ils réalisèrent
qu'ils étaient seulement cent
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
prêts défendre leur terres
ils attendirent longtemps
car les hommes de l'enfer
tout en les encerclant
choisirent non pas le fer
mais le feu sournoisement
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
tout leurs canon tirèrent
et la foret d'antan
devint vite un enfer
pour tout ses habitants
tout devenait poussière,
les flammes se nourrissants
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
ce fut à ce moment
que l'héritière sortie
hors du brasier fumant
et durant toute la nuit
avec les survivants
elle chargea l'ennemi
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
durant cette mêlée
elle dansât comme jamais
ne pensant qu'à tuer
les ennemis tombaient
mais le flot de damnés
jamais ne tarissait
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
quand la lune fut pleine
les ennemis repartirent
l'elfe calma sa haine
esquissant un sourire
elle regarda la plaine
qui avait pu mourir?
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
elle vit vite son erreur:
son clan ne vivait plus
et elle dans la douleur
pleurait ses joies perdus
......................Ethgrì-Wyrda
Chapitre II:
L’acier.
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Une orpheline elfique
Devenue récemment
Une princesse angélique
à la mort de son clan
Dans une quête mythique
Se lança vaillamment
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Elle cherchait une magie,
Un objet ou un sort
Qui pourrait rendre vie
à ses frères d'armes morts.
Mais l’elfe de la nuit
Ne trouvait pas encore
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Un triste jour de pluie
Elle entendit parler,
D’un magicien maudit
Pouvant ressusciter.
La nuit même elle partit
Lui prendre son secret
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand elle l’eut retrouvé
Elle implorât le mage.
L’homme encapuchonné
Ecouta les hommages,
Puis le sage et la fée
Commencèrent le voyage
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand ils furent arrivés,
Il put voir longuement
Une plaine abandonnée.
Une bataille surement
S’y était déroulée.
L’elfe pleura doucement
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand il eut terminé
Ses lentes oraisons
Elle cessât d’espérer :
Les corps des deux nations
Devant l’elfe, effrayée,
Formèrent des bataillons
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
L’armée de macchabés
D’anciens elfes, de nordiques
Marcha vers la fée
Qui, préssentant l’épique
Tira ses deux épées
Dans une dance magnifique
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Elle s’escrimât longtemps
Mais le lieu, les soldats
Lui rappelait souvent
Un bien triste combat
Qui de son ancien clan
Avait sonné le glas
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Les morts s’écartèrent
Laissant voir l’inconnu
Qui fit sortir de terre
Ses armes et attributs.
Elle choisit de le taire,
Que sa tête soit fendue
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Il durait, ce combat
Lorsque usant de magie,
Le vampire attira
Les armes de l’elfe à lui
Mais elle, ne lâcha pas
Les lames qu’il avait prit
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Le vampire tentât bien
De parer les deux armes
Mais elles étaient maniées
Par une chantelame
Sa tête fut tranchée
Donnant la paix aux âmes
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Les corps retombèrent,
Elle vint les enterrer
Qu’ils soient homme de fer,
Danseurs ou farfadets
Chacun eut sa prière
Enfin elle eut la paix
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
................Ethgrì-Wyrda
Chapitre III
La glace
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Comme précédemment,
Voici le fier récit
D’une elfe qui vainement
La mort combattit
Danseuse au cœur vaillant
Et tueuse dans la nuit
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Cette jeune guerrière
Que j’ai déjà chantée
Lors d’une fin hivers
Allait devoir tuer
Pour gagner une guerre
Pour sauver ses contrées
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Des armées de soldats,
De canons bref d’humains
De Loren s’approcha ;
Ils voulaient mettre fin
Aux esprits dans les bois
Plusieurs torches à la main
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Les nombreux bataillons
Quelque temps marchèrent
Mais approchant d’un pont
Donnant sur la lisière
Ils perçurent des chansons
Et des chants pour la guerre
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Surgissant des buissons
Telles des ombres mortelles
Chantant des oraisons
Les danseuses d’Ariel
Firent malgré les maillons
De la fine dentelle
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Rien ne put ce jour là
Arrêter la colère
Des habitants des bois :
Chevaliers mis à terre
Régiments aux abois
Puis passés par le fer
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Pour pouvoir renverser
Le cours de la bataille
Les humains firent tirer
Des canons de toute tailles
Qui firent parmi les fées
De parfondes entailles
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Cette salve, ce malheur
Tirée perfidement
N’épargna aux danseurs
Que quelques survivants
Qui malgré les douleurs
Moururent vaillamment
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Très vite il ne resta
De l’ost de Loren
Qu’une elfes qui par deux fois
Avait connut ces peines
La mort, le désarroi
Attisèrent sa haine
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Un ballet sur ses larmes
Fut très vite entamé
Elle passa par les armes
à elle seul une armée
Unissant haine et charme
Elle usa ses épées
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Les clans de la guerrière
Moururent tout deux une fois.
La danseuse de guerre
Ne le pardonna pas
Elle devint forestière
Pour vivre seul dans les bois
Ethgrì-Wyrda
Chapitre 4
La roche.
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Et le peuple des Monts
Une jeune forestière
De la grande foret
Qui vécu un enfer
Et maintenant veillait
Vit dans une clairière
Un nain qui avançait
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Elle visa le nabot
Et sa flèche partie
Se figer dans le dos
Du nain abasourdi
Sa tête vola bien haut
Quand le fer s’abatis
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
La tête barbue roula
Un parchemin aussi
L’elfe le ramassa
Déchiffra ses écrits
Ils présentaient cela :
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
« Ami forestier
J’implore ton soutien
Nous sommes attaqués
Notre fin n’est pas loin
Mais une fois nous tués
Ils bruleront vos biens »
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
La jeune et fière archère
Chercha un jour entier
L’étrange destinataire
Mais Loren en danger
Elle partit à la guerre
Dictée par le papier
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Elle arriva enfin
Sur un champs de bataille
Où une armée de nains
Affrontait la pagaille
Des orques et des gobelins,
Orde d’une immense taille
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Notre guerrière elfique
Sauta dans la mêlée
Mêlant danses magiques
Et ruses de la foret.
Puis ce fut la panique
le chef fut tué.
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Les nains reprirent espoir
Et chargèrent leurs ennemis
Si bien qu’une fois le soir,
Très peu étaient en vie
Le Thane criait victoire
Et la bière fut sortit
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
« Visiteur salutaire
Pour un grand feu de joie
Brulons un chêne centenaire
Pour jurer notre foi
En l’amitié sincère
Allons chercher du bois »
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Le nain ne pu que voir
Que sa déclaration
Par une flèche sans gloire
Fut coupée : la raison
Elle n’aimait pas savoir
La foret au bucherons
Ethgrì Wyrda
Chapitre V
les nuages
sombre, lent, cotonneux
,ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
un jour, la forestière
arpentant les sentiers
découvrit dans la terre
juste au pied d'un pommier
un passage fort austère
sans doute inexploré
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
s'enfonçant dans le trou,
intriguée et prudente
elle se fit tout à coup
bloquer dans une fente.
puis elle reçut un coup:
une pierre sur la tempe
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
l'elfe se réveillât
sur une table de pierre
se levât, regardât
cette grotte sous terre
soudain un bruit de pas
elle tira le fer
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
une sorcière entra
courbée, laide, blafarde
elle avait pour bras droit
une pince d'un rose fade
la chose la cachât
et fit cette tirade
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"elfe de la foret,
j'ai épargné ta vie
j'aurais pu te tuer
mais j'ai trop pressenti
pour Loren un danger
venant sous peu de nuits"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
protéger la foret!
l'elfe n'hésita pas
cette cause lui plaisait
elle lui demandât
qui donc la menaçait
pour qu'il passe à trépas
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"c'est un homme du chaos
résident de l'empire
il vit chez les plus hauts
pour corrompre et trahir
la ville, et très bientôt
nurgle y aura ses sbires"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"la ville corrompue,
une armée sortira
du peuple qui n'est plus
en Loren elle viendra
une fois l'hiver paru
la foret pourrira"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
aussitôt l'elfe partie
parcourant maintes plaines
elle arriva la nuit
sous une lune pleine
elle entra sans un bruit
naive, mais dans la haine
les nuages sont là
l'histoire n'est pas fini
bientôt arrivera
le tonnerre et la pluie
Ethgri wyrda
Chapitre VI
La pluie
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Durant une semaine,
L’elfe chercha en vain
Explorant chaque veine
De la cité pour rien.
Le temps attise la haine
De son esprit sylvain
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Le soir du huitième jour
Elle aperçu un quelqu’un
Marchant dans les faubourg
Une épée dans la main
Et des mouches tout autour
Faisaient peur même aux chiens
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Courant de toit en toit,
Et suivant l’inconnu
L’agile amie des bois
Prit une flèche feuillu
L’homme dans une tour entra
L’elfe au sommet s’en fut
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Quand les cloches sonnèrent
Le milieu de la nuit
Trois grands hommes marchèrent
Jusqu’au bord d’un puits
Au fond ils y jetèrent
Un talisman maudit
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
L’archère tira l’épée
Et descendit des toits
Deux des hommes fut tué,
D’un seul geste du bras
Le dernier, acculé
Dans le puits se jeta
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Après quelques instants,
L’eau du puits bouillonna
Un démon répugnant
Lentement remonta
L’elfe visa l’assaillant
Qui abattu tomba
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Mais à peine remise
De cette grande frayeur
Elle fut soudain prise
D’une étrange torpeur
Des chaines lui furent mises
Par un sombre enchanteur
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Quand elle se réveillât,
Elle était enchaînée
Un sorcier s’approcha
Et lui prit son épée
Doucement il ricana
Et vint lui expliquer :
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
« Nombreux furent comme toi
Si bien manipulés
Une rumeur sur les bois
Par une alliée lancée
Te fit venir à moi
Avec ton épée »
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
D’un geste il l’a brisa
Elle tomba sur le sol
Le sorcier se baissa
Et ramassa une fiole
Qu’un vert et sombre éclat
Tristement auréole
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
« Grâce à vous, chère ami
Mes démoniaques soldats
Traverseront sans bruit
Et sans pertes je crois
Les bois et les taillis
Que vous ne sauverez pas »
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
L’homme sortit de la pièce
L’elfe doucement pleurait
Et faisait la promesse
Que vengeance se ferait
Lorsqu’elle vit dans ses tresses
Un petit farfadet
Ethgri wyrda
Partie I: Weldenmaela
Chapitre 1:la flamme
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
il fut une foret
appelé mont-des-chants
juchée sur un rocher
et pour tout habitants
danseurs et farfadets
y vivaient joyeusement
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
une jeune guerrière,
héritière de son clan
surveillant les lisières
aperçut, s'avançant,
des régiments de fer,
le chaos et le sang.
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
tout les danseurs de guerre,
la menace approchant
suivirent l'héritière
et s'armèrent bravement
mais ils réalisèrent
qu'ils étaient seulement cent
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
prêts défendre leur terres
ils attendirent longtemps
car les hommes de l'enfer
tout en les encerclant
choisirent non pas le fer
mais le feu sournoisement
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
tout leurs canon tirèrent
et la foret d'antan
devint vite un enfer
pour tout ses habitants
tout devenait poussière,
les flammes se nourrissants
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
ce fut à ce moment
que l'héritière sortie
hors du brasier fumant
et durant toute la nuit
avec les survivants
elle chargea l'ennemi
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
durant cette mêlée
elle dansât comme jamais
ne pensant qu'à tuer
les ennemis tombaient
mais le flot de damnés
jamais ne tarissait
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
quand la lune fut pleine
les ennemis repartirent
l'elfe calma sa haine
esquissant un sourire
elle regarda la plaine
qui avait pu mourir?
feu de la destruction
oriflammes de guerre
étincelle de raison
et chaleur en hiver
elle vit vite son erreur:
son clan ne vivait plus
et elle dans la douleur
pleurait ses joies perdus
......................Ethgrì-Wyrda
Chapitre II:
L’acier.
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Une orpheline elfique
Devenue récemment
Une princesse angélique
à la mort de son clan
Dans une quête mythique
Se lança vaillamment
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Elle cherchait une magie,
Un objet ou un sort
Qui pourrait rendre vie
à ses frères d'armes morts.
Mais l’elfe de la nuit
Ne trouvait pas encore
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Un triste jour de pluie
Elle entendit parler,
D’un magicien maudit
Pouvant ressusciter.
La nuit même elle partit
Lui prendre son secret
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand elle l’eut retrouvé
Elle implorât le mage.
L’homme encapuchonné
Ecouta les hommages,
Puis le sage et la fée
Commencèrent le voyage
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand ils furent arrivés,
Il put voir longuement
Une plaine abandonnée.
Une bataille surement
S’y était déroulée.
L’elfe pleura doucement
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Quand il eut terminé
Ses lentes oraisons
Elle cessât d’espérer :
Les corps des deux nations
Devant l’elfe, effrayée,
Formèrent des bataillons
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
L’armée de macchabés
D’anciens elfes, de nordiques
Marcha vers la fée
Qui, préssentant l’épique
Tira ses deux épées
Dans une dance magnifique
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Elle s’escrimât longtemps
Mais le lieu, les soldats
Lui rappelait souvent
Un bien triste combat
Qui de son ancien clan
Avait sonné le glas
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Les morts s’écartèrent
Laissant voir l’inconnu
Qui fit sortir de terre
Ses armes et attributs.
Elle choisit de le taire,
Que sa tête soit fendue
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Il durait, ce combat
Lorsque usant de magie,
Le vampire attira
Les armes de l’elfe à lui
Mais elle, ne lâcha pas
Les lames qu’il avait prit
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Le vampire tentât bien
De parer les deux armes
Mais elles étaient maniées
Par une chantelame
Sa tête fut tranchée
Donnant la paix aux âmes
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
Les corps retombèrent,
Elle vint les enterrer
Qu’ils soient homme de fer,
Danseurs ou farfadets
Chacun eut sa prière
Enfin elle eut la paix
Destiné à la mort,
Il tue régulièrement
Le feu règle son sort,
Ce métal veut du sang
................Ethgrì-Wyrda
Chapitre III
La glace
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Comme précédemment,
Voici le fier récit
D’une elfe qui vainement
La mort combattit
Danseuse au cœur vaillant
Et tueuse dans la nuit
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Cette jeune guerrière
Que j’ai déjà chantée
Lors d’une fin hivers
Allait devoir tuer
Pour gagner une guerre
Pour sauver ses contrées
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Des armées de soldats,
De canons bref d’humains
De Loren s’approcha ;
Ils voulaient mettre fin
Aux esprits dans les bois
Plusieurs torches à la main
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Les nombreux bataillons
Quelque temps marchèrent
Mais approchant d’un pont
Donnant sur la lisière
Ils perçurent des chansons
Et des chants pour la guerre
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Surgissant des buissons
Telles des ombres mortelles
Chantant des oraisons
Les danseuses d’Ariel
Firent malgré les maillons
De la fine dentelle
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Rien ne put ce jour là
Arrêter la colère
Des habitants des bois :
Chevaliers mis à terre
Régiments aux abois
Puis passés par le fer
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Pour pouvoir renverser
Le cours de la bataille
Les humains firent tirer
Des canons de toute tailles
Qui firent parmi les fées
De parfondes entailles
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Cette salve, ce malheur
Tirée perfidement
N’épargna aux danseurs
Que quelques survivants
Qui malgré les douleurs
Moururent vaillamment
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Très vite il ne resta
De l’ost de Loren
Qu’une elfes qui par deux fois
Avait connut ces peines
La mort, le désarroi
Attisèrent sa haine
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Un ballet sur ses larmes
Fut très vite entamé
Elle passa par les armes
à elle seul une armée
Unissant haine et charme
Elle usa ses épées
Bien que ce soit de l'eau,
La glace peut tuer
Elle recouvre les ruisseaux
Et le sang fait geler
Les clans de la guerrière
Moururent tout deux une fois.
La danseuse de guerre
Ne le pardonna pas
Elle devint forestière
Pour vivre seul dans les bois
Ethgrì-Wyrda
Chapitre 4
La roche.
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Et le peuple des Monts
Une jeune forestière
De la grande foret
Qui vécu un enfer
Et maintenant veillait
Vit dans une clairière
Un nain qui avançait
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Elle visa le nabot
Et sa flèche partie
Se figer dans le dos
Du nain abasourdi
Sa tête vola bien haut
Quand le fer s’abatis
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
La tête barbue roula
Un parchemin aussi
L’elfe le ramassa
Déchiffra ses écrits
Ils présentaient cela :
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
« Ami forestier
J’implore ton soutien
Nous sommes attaqués
Notre fin n’est pas loin
Mais une fois nous tués
Ils bruleront vos biens »
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
La jeune et fière archère
Chercha un jour entier
L’étrange destinataire
Mais Loren en danger
Elle partit à la guerre
Dictée par le papier
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Elle arriva enfin
Sur un champs de bataille
Où une armée de nains
Affrontait la pagaille
Des orques et des gobelins,
Orde d’une immense taille
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Notre guerrière elfique
Sauta dans la mêlée
Mêlant danses magiques
Et ruses de la foret.
Puis ce fut la panique
le chef fut tué.
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Les nains reprirent espoir
Et chargèrent leurs ennemis
Si bien qu’une fois le soir,
Très peu étaient en vie
Le Thane criait victoire
Et la bière fut sortit
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
« Visiteur salutaire
Pour un grand feu de joie
Brulons un chêne centenaire
Pour jurer notre foi
En l’amitié sincère
Allons chercher du bois »
Matériaux des montagnes
Sculptée plus que raison
Représentant la hargne
Son peuple nous affrontons
Le nain ne pu que voir
Que sa déclaration
Par une flèche sans gloire
Fut coupée : la raison
Elle n’aimait pas savoir
La foret au bucherons
Ethgrì Wyrda
Chapitre V
les nuages
sombre, lent, cotonneux
,ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
un jour, la forestière
arpentant les sentiers
découvrit dans la terre
juste au pied d'un pommier
un passage fort austère
sans doute inexploré
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
s'enfonçant dans le trou,
intriguée et prudente
elle se fit tout à coup
bloquer dans une fente.
puis elle reçut un coup:
une pierre sur la tempe
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
l'elfe se réveillât
sur une table de pierre
se levât, regardât
cette grotte sous terre
soudain un bruit de pas
elle tira le fer
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
une sorcière entra
courbée, laide, blafarde
elle avait pour bras droit
une pince d'un rose fade
la chose la cachât
et fit cette tirade
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"elfe de la foret,
j'ai épargné ta vie
j'aurais pu te tuer
mais j'ai trop pressenti
pour Loren un danger
venant sous peu de nuits"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
protéger la foret!
l'elfe n'hésita pas
cette cause lui plaisait
elle lui demandât
qui donc la menaçait
pour qu'il passe à trépas
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"c'est un homme du chaos
résident de l'empire
il vit chez les plus hauts
pour corrompre et trahir
la ville, et très bientôt
nurgle y aura ses sbires"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
"la ville corrompue,
une armée sortira
du peuple qui n'est plus
en Loren elle viendra
une fois l'hiver paru
la foret pourrira"
sombre, lent, cotonneux,
ces calmes voyageurs
annoncent, silencieux
la tempête, le malheur
aussitôt l'elfe partie
parcourant maintes plaines
elle arriva la nuit
sous une lune pleine
elle entra sans un bruit
naive, mais dans la haine
les nuages sont là
l'histoire n'est pas fini
bientôt arrivera
le tonnerre et la pluie
Ethgri wyrda
Chapitre VI
La pluie
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Durant une semaine,
L’elfe chercha en vain
Explorant chaque veine
De la cité pour rien.
Le temps attise la haine
De son esprit sylvain
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Le soir du huitième jour
Elle aperçu un quelqu’un
Marchant dans les faubourg
Une épée dans la main
Et des mouches tout autour
Faisaient peur même aux chiens
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Courant de toit en toit,
Et suivant l’inconnu
L’agile amie des bois
Prit une flèche feuillu
L’homme dans une tour entra
L’elfe au sommet s’en fut
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Quand les cloches sonnèrent
Le milieu de la nuit
Trois grands hommes marchèrent
Jusqu’au bord d’un puits
Au fond ils y jetèrent
Un talisman maudit
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
L’archère tira l’épée
Et descendit des toits
Deux des hommes fut tué,
D’un seul geste du bras
Le dernier, acculé
Dans le puits se jeta
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Après quelques instants,
L’eau du puits bouillonna
Un démon répugnant
Lentement remonta
L’elfe visa l’assaillant
Qui abattu tomba
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Mais à peine remise
De cette grande frayeur
Elle fut soudain prise
D’une étrange torpeur
Des chaines lui furent mises
Par un sombre enchanteur
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
Quand elle se réveillât,
Elle était enchaînée
Un sorcier s’approcha
Et lui prit son épée
Doucement il ricana
Et vint lui expliquer :
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
« Nombreux furent comme toi
Si bien manipulés
Une rumeur sur les bois
Par une alliée lancée
Te fit venir à moi
Avec ton épée »
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
D’un geste il l’a brisa
Elle tomba sur le sol
Le sorcier se baissa
Et ramassa une fiole
Qu’un vert et sombre éclat
Tristement auréole
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
« Grâce à vous, chère ami
Mes démoniaques soldats
Traverseront sans bruit
Et sans pertes je crois
Les bois et les taillis
Que vous ne sauverez pas »
Légères gouttes d'eau
Si lourdes de conséquences
Elles tombent de très haut
Et chutent avec aisance
L’homme sortit de la pièce
L’elfe doucement pleurait
Et faisait la promesse
Que vengeance se ferait
Lorsqu’elle vit dans ses tresses
Un petit farfadet
Ethgri wyrda
Dernière édition par ethgri wyrda le Jeu 23 Jan - 2:24, édité 4 fois
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1329
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Date d'inscription : 22/06/2012
Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
voilà de très beaux chants, je les aimes bien
bravo à toi
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Date d'inscription : 20/07/2012
Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
un cinquième poème pour un deux-centième message
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1329
Age : 26
Localisation : Edur edoc'sil
Date d'inscription : 22/06/2012
Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
AAAAAAh quand j'étais forestier...
Bravo au printemps des poêtes et aux poêtes(ses).
Bravo au printemps des poêtes et aux poêtes(ses).
_________________
Athel Loren couvre des milliers d'hectares mais personne n'entre dans la forêt sans que les elfes le sachent.
Elgar huillModérateur - Nombre de messages : 1108
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Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
c'était déjà dur quand il fallait "juste" écrire un poème, mais là, suivre une histoire est presque impossible
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1329
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Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
Chapitre VII
Le vent
Soit la brise, soit l’orage
Mais toujours éthéré,
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez »
Elle secouât la tête
Fit tomber le lutin
De son étrange couette.
Depuis de longs matins
Dans cette couette douillette
Il hibernait si bien
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Il se mit en colère
L’elfe l’entendit gronder
Et puis il vit le fer
Des chaines et du boulet
Quittant ses aires amère
Il vint la libérer
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Les yeux du capturé
Scrutèrent la sombre geôle.
Le petit farfadet
Montât sur son épaule
Et d’ami et d’allié
Il adoptât le rôle
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle prit sa chaine en main
Et sur la porte frappât
Jusqu’à ce que soudain
Bruyamment elle tombât.
Elle vit les gardiens
Que le bruit alertât
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle enchaînât les gestes
Dansant, broyant, tuant
Accomplit des prouesses
Ce tout en esquivant
L’inutile maladresse
De ces gardes trop lents
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
L’elfe fut étonnée
Aucun soldat vivace
N’avait pu s’échapper
Elle regardât sa masse,
Sa chaines ensanglantées :
Un fléau efficace
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Courant dans les couloirs
En quête de sortie,
Elle tombât par hasard
Sur son arc chéri
Puis suivit dans le noir
Une étroite galerie.
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle s’était perdue
Et passait sans un bruit
Tout les sens à l’affut
C’est ainsi qu’elle vit
La sorcière du début
Et son hôte maudit
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Ils discutaient assis
Et ne virent pas l’archère :
Celle-ci était ravie
De pouvoir les faire taire
Et guettait sans un bruit
Sa vengeance par le fer
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Le sorcier demanda :
« Providentielle alliée
S’il vous plait contez-moi
Comment votre passé
Vous poussât comme ça
à venir pour m’aider »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Il y a de cela
Une dizaine d’années
J’étais elfe des bois
Slaanesh vint m’aider
A trouver ma vrai voie :
Corrompre la forêt. »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Pendant de très longs mois
Je cherchais une façon
Pour que vue je ne sois
Des arbres, des buissons,
Et des esprits des bois
Les résultats furent bon »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« J’appris un jour l’idée
Et les sombres alchimies
Que vous avez crées,
Transformant toutes vies
En démons infestés
Et une aide j’offris »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Je voulus vous aider
Sans éveiller soupçons
Et doutes chez les archers
Je cachai la potion
Dans la poigne de l’épée
D’un elfe des buissons »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
"cela marchât très bien
vous l'avez pu trouver
et quant à moi j'en vint
à quitter la foret
car des elfes malins
allaient me démasquer"
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
L’elfe qui écoutait
Perdit soudain son calme
Le farfadet grognait
Et réclamait des âmes
Doucement ils avançaient
Leurs yeux lançaient des flammes.
Ethgrì-Wyrda
Le vent
Soit la brise, soit l’orage
Mais toujours éthéré,
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez »
Elle secouât la tête
Fit tomber le lutin
De son étrange couette.
Depuis de longs matins
Dans cette couette douillette
Il hibernait si bien
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Il se mit en colère
L’elfe l’entendit gronder
Et puis il vit le fer
Des chaines et du boulet
Quittant ses aires amère
Il vint la libérer
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Les yeux du capturé
Scrutèrent la sombre geôle.
Le petit farfadet
Montât sur son épaule
Et d’ami et d’allié
Il adoptât le rôle
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle prit sa chaine en main
Et sur la porte frappât
Jusqu’à ce que soudain
Bruyamment elle tombât.
Elle vit les gardiens
Que le bruit alertât
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle enchaînât les gestes
Dansant, broyant, tuant
Accomplit des prouesses
Ce tout en esquivant
L’inutile maladresse
De ces gardes trop lents
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
L’elfe fut étonnée
Aucun soldat vivace
N’avait pu s’échapper
Elle regardât sa masse,
Sa chaines ensanglantées :
Un fléau efficace
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Courant dans les couloirs
En quête de sortie,
Elle tombât par hasard
Sur son arc chéri
Puis suivit dans le noir
Une étroite galerie.
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Elle s’était perdue
Et passait sans un bruit
Tout les sens à l’affut
C’est ainsi qu’elle vit
La sorcière du début
Et son hôte maudit
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Ils discutaient assis
Et ne virent pas l’archère :
Celle-ci était ravie
De pouvoir les faire taire
Et guettait sans un bruit
Sa vengeance par le fer
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
Le sorcier demanda :
« Providentielle alliée
S’il vous plait contez-moi
Comment votre passé
Vous poussât comme ça
à venir pour m’aider »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Il y a de cela
Une dizaine d’années
J’étais elfe des bois
Slaanesh vint m’aider
A trouver ma vrai voie :
Corrompre la forêt. »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Pendant de très longs mois
Je cherchais une façon
Pour que vue je ne sois
Des arbres, des buissons,
Et des esprits des bois
Les résultats furent bon »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« J’appris un jour l’idée
Et les sombres alchimies
Que vous avez crées,
Transformant toutes vies
En démons infestés
Et une aide j’offris »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
« Je voulus vous aider
Sans éveiller soupçons
Et doutes chez les archers
Je cachai la potion
Dans la poigne de l’épée
D’un elfe des buissons »
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
"cela marchât très bien
vous l'avez pu trouver
et quant à moi j'en vint
à quitter la foret
car des elfes malins
allaient me démasquer"
Soit la brise soit l’orage
Mais toujours éthéré
Le vent a pour ramage
« Je souffle et vous plierez
L’elfe qui écoutait
Perdit soudain son calme
Le farfadet grognait
Et réclamait des âmes
Doucement ils avançaient
Leurs yeux lançaient des flammes.
Ethgrì-Wyrda
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1329
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Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
c'est beau, bravo:thumright: . continu comme ça:cat:
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
Chapitre VIII
La tempête
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
L’étrange fléau tomba
Frappant la sorcière
Qui n’y survécu pas
Le corps chût à terre
L’elfe se prépara
A tuer le compère.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Mais loin d’être inquiet
L’autre magicien
Cruellement souriait
Et l’épée dans les mains
D’un regard défiait
L’archère et le lutin.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
« Trop tard, c’est terminé
Il n’y a plus ici
Que des hommes transformés,
Ayant bu l’eau des puits,
En démons infectés
Ma victoire est finie »
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
« mais ce n’est pas fini:
vois encore, par là bas
ces plus grands pervertis
burent le philtre que celle-là,
cette morte, cet outils
m’a apporté par toi »
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et pendant qu’il parlait
De sa voix gutturale
Le sorcier se mutait
Sa peau devint plus pâle
Son dieu le bénissait
D’avoir été loyal
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
L’elfe voyant venir
Un nouveau prince démon
Pensa d’abord à fuir
Mais le farfadet non :
Il préférait mourir
Que de fuir sans renom
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et le lutin chargea
Dans un cri minuscule
Et quand elle vit ça,
Se sentant ridicule,
L’elfe le rattrapa :
Attaque d’un groupuscule
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et les trois combattants
Par les crocs, par le fer
Ferraillèrent longtemps.
Du fond du sanctuaire
Au toit du bâtiment
Les armes fendaient l’air
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
C’est alors que soudain
Retentit un grand bruit
Tel un son d’olifant,
Un défi dans la nuit,
Mais lancé violement
Par une foret aigrie.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Tout le monde s’arrêta
Et regarda au loin
Pour y voir cela :
De grands esprits sylvains,
Des géants tout en bois
Et mille dryades au moins
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le démon malfaisant
Ricana et reprit
Après un court instant
Son incertain défi
Plus bas pendant ce temps
Les murs étaient garnis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Dans de grandes enjambés
Les hommes arbres furent aux murs
Qu’ils frappaient puissamment
De leurs épaisses ramures
Et très rapidement
Des fissures apparurent
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le mur fut brisé
Entrainant avec lui
Les démons à ses pieds
L’elfe voyant ça sourit
Les dryades purent entrer
Et tuer les ennemis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Les hommes arbres écrasaient
Des dizaines d’ennemis
Et Les dryades suivaient
Une autre plus vieillie
Qui dans chaque geste tuait
Deux démons pervertis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
C’est alors qu’apparurent
Sortant d’une ruelle
Les étranges créatures
Plus pals, plus cruels
Face aux magiques esprits
Ils n’étaient pas mortels
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Bien des esprits mourraient
Sous leurs lourds coups d’épées
Le prince démon riait
Pensant avoir gagné
Car comme il espérait
La fiole avait marchée
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Mais la dryade âgée
Ne s’avouait pas vaincue
Et se mit à chanter
De plus en plus aigu
Des notes enchantées
S’élevant jusqu’aux nus
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Tombant depuis les cieux
Telle d’étranges météores
Trois dragons majestueux
Détruisirent sans efforts
Les soldats mystérieux
Un temps plus tôt si forts
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le démon voyant ça
Fut prit d’une grande frayeur
D’un bond il s’envola
Mais l’elfe pour son malheur
Ne s’en contenta pas
Et eut un geste rageur
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Elle décocha son trait
Le monstre fut éborgné.
Vengeur il marmonnait
Et un sort fut lancé
L’elfe frappée de plein fouet
Tomba sur le coté
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Ethgri-Wyrda
La tempête
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
L’étrange fléau tomba
Frappant la sorcière
Qui n’y survécu pas
Le corps chût à terre
L’elfe se prépara
A tuer le compère.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Mais loin d’être inquiet
L’autre magicien
Cruellement souriait
Et l’épée dans les mains
D’un regard défiait
L’archère et le lutin.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
« Trop tard, c’est terminé
Il n’y a plus ici
Que des hommes transformés,
Ayant bu l’eau des puits,
En démons infectés
Ma victoire est finie »
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
« mais ce n’est pas fini:
vois encore, par là bas
ces plus grands pervertis
burent le philtre que celle-là,
cette morte, cet outils
m’a apporté par toi »
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et pendant qu’il parlait
De sa voix gutturale
Le sorcier se mutait
Sa peau devint plus pâle
Son dieu le bénissait
D’avoir été loyal
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
L’elfe voyant venir
Un nouveau prince démon
Pensa d’abord à fuir
Mais le farfadet non :
Il préférait mourir
Que de fuir sans renom
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et le lutin chargea
Dans un cri minuscule
Et quand elle vit ça,
Se sentant ridicule,
L’elfe le rattrapa :
Attaque d’un groupuscule
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Et les trois combattants
Par les crocs, par le fer
Ferraillèrent longtemps.
Du fond du sanctuaire
Au toit du bâtiment
Les armes fendaient l’air
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
C’est alors que soudain
Retentit un grand bruit
Tel un son d’olifant,
Un défi dans la nuit,
Mais lancé violement
Par une foret aigrie.
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Tout le monde s’arrêta
Et regarda au loin
Pour y voir cela :
De grands esprits sylvains,
Des géants tout en bois
Et mille dryades au moins
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le démon malfaisant
Ricana et reprit
Après un court instant
Son incertain défi
Plus bas pendant ce temps
Les murs étaient garnis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Dans de grandes enjambés
Les hommes arbres furent aux murs
Qu’ils frappaient puissamment
De leurs épaisses ramures
Et très rapidement
Des fissures apparurent
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le mur fut brisé
Entrainant avec lui
Les démons à ses pieds
L’elfe voyant ça sourit
Les dryades purent entrer
Et tuer les ennemis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Les hommes arbres écrasaient
Des dizaines d’ennemis
Et Les dryades suivaient
Une autre plus vieillie
Qui dans chaque geste tuait
Deux démons pervertis
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
C’est alors qu’apparurent
Sortant d’une ruelle
Les étranges créatures
Plus pals, plus cruels
Face aux magiques esprits
Ils n’étaient pas mortels
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Bien des esprits mourraient
Sous leurs lourds coups d’épées
Le prince démon riait
Pensant avoir gagné
Car comme il espérait
La fiole avait marchée
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Mais la dryade âgée
Ne s’avouait pas vaincue
Et se mit à chanter
De plus en plus aigu
Des notes enchantées
S’élevant jusqu’aux nus
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Tombant depuis les cieux
Telle d’étranges météores
Trois dragons majestueux
Détruisirent sans efforts
Les soldats mystérieux
Un temps plus tôt si forts
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Le démon voyant ça
Fut prit d’une grande frayeur
D’un bond il s’envola
Mais l’elfe pour son malheur
Ne s’en contenta pas
Et eut un geste rageur
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Elle décocha son trait
Le monstre fut éborgné.
Vengeur il marmonnait
Et un sort fut lancé
L’elfe frappée de plein fouet
Tomba sur le coté
Telle une apocalypse,
Tout semble déchainé
Le jour est en éclipse
La terre est foudroyée
Ethgri-Wyrda
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1329
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Date d'inscription : 22/06/2012
Re: histoire du clan "Du Datia Yawë" première partie
Chapitre IX
Le calme
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Quand elle se réveilla
L’elfe vit le soleil,
Et la mousse, et les bois,
Qui toujours émerveillent
Le lutin près de là,
Attendait son éveille
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Puis elle vit arriver
La vielle hamadryade
En de lentes foulés.
Marchait sous les arcades
Des branches entrelacées
Elle fit cette tirade
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Nos destin se rencontrent
Pour la deuxième fois
Car nous nous battons contre
Le même ennemi parfois.
Il faut que je te montre
Ce que tu ne sais pas »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Tu guettais un nabot
Moi aussi j’attendais
Tu le tuas plus tôt
Et chercha sans succès
A qui allaient ses mots
Puis le laissât en paix
Et combattît là-haut »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Mais moi je continuais
à rechercher le traître
Et puis je le trouvai
Le tuant lui, le maitre
Et ses lâches guerriers
Sur la foi d’une lettre »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
«Puis, il y a peu de temps
Je vis une magicienne
Quittant silencieusement
Une grotte ancienne
M’emmenant sournoisement
Vers la mort, et la peine »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
«Et durant ce combat
Ta vie fut raccourcie
Par un sort des plus bas,
Que j’ai presque guéri
Mais qui reste malgré ça
Une mort en sursit »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Je ne t’ai pas tuée
Car je sais reconnaître
Les gloires mérités
Même chez les elfes-traîtres
Mais je pourrais t’achever
Car tu es de ces êtres »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
A peine eut-elle achevée
Que surgirent des sous-bois
Un groupe de forestiers
Qui s’était caché là
« Nous saurions empêcher
Que vous fassiez cela »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Le sang allait couler
Quand quelque chose grondât
D’une voix courroucée
« Retires-toi Drycha
Et laisses-les en paix
Allez, éloignes-toi »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
En sifflant de colère
L’hamadryade s’enfuit
Mettant genoux à terre
L’un des forestiers dit
« Durthu, maitre en ces terres
Nous venons en amis »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Mais bien sûr que vous l’êtes,
Cela semble comprit.
Il n’y a pas une bête
Qui ne le tienne acquit
Ceux que cela inquiète
Devraient être bannis »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Puis parlant à l’archère,
Plus calmement il dit
«Tu as porté l’enfer
Trop souvent dans ta vie
à tes clans, guerrière
Que faire de toi ici ?»
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« en effet je subit
Comme une malédiction
qui plusieurs fois me prit
Mes proches et compagnons.
Et mon rêve aujourd’hui
Est ma libération. »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Je le sait, guerrière,
Mais je ne te laisse pas
Seule ici forestière :
Vous autres amis des bois
Rejoignez donc l’archère
car vous ne craignez pas
le hasard et le fer»
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Un clan de forestier
En fut le résultat
L’archère fut couronnée,
Loec on vénérât
Et toujours furent chanté
La gloire et les combats
Ethgrì-Wyrda
Le calme
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Quand elle se réveilla
L’elfe vit le soleil,
Et la mousse, et les bois,
Qui toujours émerveillent
Le lutin près de là,
Attendait son éveille
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Puis elle vit arriver
La vielle hamadryade
En de lentes foulés.
Marchait sous les arcades
Des branches entrelacées
Elle fit cette tirade
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Nos destin se rencontrent
Pour la deuxième fois
Car nous nous battons contre
Le même ennemi parfois.
Il faut que je te montre
Ce que tu ne sais pas »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Tu guettais un nabot
Moi aussi j’attendais
Tu le tuas plus tôt
Et chercha sans succès
A qui allaient ses mots
Puis le laissât en paix
Et combattît là-haut »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Mais moi je continuais
à rechercher le traître
Et puis je le trouvai
Le tuant lui, le maitre
Et ses lâches guerriers
Sur la foi d’une lettre »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
«Puis, il y a peu de temps
Je vis une magicienne
Quittant silencieusement
Une grotte ancienne
M’emmenant sournoisement
Vers la mort, et la peine »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
«Et durant ce combat
Ta vie fut raccourcie
Par un sort des plus bas,
Que j’ai presque guéri
Mais qui reste malgré ça
Une mort en sursit »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Je ne t’ai pas tuée
Car je sais reconnaître
Les gloires mérités
Même chez les elfes-traîtres
Mais je pourrais t’achever
Car tu es de ces êtres »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
A peine eut-elle achevée
Que surgirent des sous-bois
Un groupe de forestiers
Qui s’était caché là
« Nous saurions empêcher
Que vous fassiez cela »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Le sang allait couler
Quand quelque chose grondât
D’une voix courroucée
« Retires-toi Drycha
Et laisses-les en paix
Allez, éloignes-toi »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
En sifflant de colère
L’hamadryade s’enfuit
Mettant genoux à terre
L’un des forestiers dit
« Durthu, maitre en ces terres
Nous venons en amis »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Mais bien sûr que vous l’êtes,
Cela semble comprit.
Il n’y a pas une bête
Qui ne le tienne acquit
Ceux que cela inquiète
Devraient être bannis »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Puis parlant à l’archère,
Plus calmement il dit
«Tu as porté l’enfer
Trop souvent dans ta vie
à tes clans, guerrière
Que faire de toi ici ?»
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« en effet je subit
Comme une malédiction
qui plusieurs fois me prit
Mes proches et compagnons.
Et mon rêve aujourd’hui
Est ma libération. »
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
« Je le sait, guerrière,
Mais je ne te laisse pas
Seule ici forestière :
Vous autres amis des bois
Rejoignez donc l’archère
car vous ne craignez pas
le hasard et le fer»
La rage s’en est allée
Et l’aube arrive enfin
Portant sur les contrées
La rosée du matin
Un clan de forestier
En fut le résultat
L’archère fut couronnée,
Loec on vénérât
Et toujours furent chanté
La gloire et les combats
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