Poème d'Athel loren
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Re: Poème d'Athel loren
Bizarre ...le vent t'aurait touché...as-tu fait des erreurs ?
_________________
"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Ah ... non ... et oui on fait tous des erreurs et c'est un peu pour cela que l'on peut tous s' identifier à ton poème.
J'ai fait une remarque sur le ton de la plaisanterie avec un petit jeu de mot (dés cédés) .
J'ai fait une remarque sur le ton de la plaisanterie avec un petit jeu de mot (dés cédés) .
_________________
Athel Loren couvre des milliers d'hectares mais personne n'entre dans la forêt sans que les elfes le sachent.
Elgar huillModérateur - Nombre de messages : 1108
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Re: Poème d'Athel loren
"le chant du vent" est vraiment magnifique! je pense qu'il est facilement parmi tes plus jolis. Et je pèse mes mots!
vraiment, j'aime beaucoup!
vraiment, j'aime beaucoup!
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
merci
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Chère camarade, ou voleras-tu?
Bien loin devant , soit hors vision
Perce les cieux, j'en suis convaincu
Vole dans ton monde qui est l'horizon
Chère flèche, j'ai peur ou es-tu?
Depuis que je t'ai perdu de vue
Flottes-tu avec ces nuages avec passion
Perces-tu avec courage le mur du son
Chère amie, que fais-tu?
Tu es bien loin de moi depuis longtemps
M'entend-tu donc pas suite à l'éloignement
Me ne dit pas que je t'ai encore perdue
Chère Elfe, j’entends tes larmes depuis des heures
Ta camarade vole transpercer le cœur de ton malheur
Ta flèche purifiera aussitôt tes plus grandes peurs
Ton amie offrira ce que tu mérite, le bonheur
Bien loin devant , soit hors vision
Perce les cieux, j'en suis convaincu
Vole dans ton monde qui est l'horizon
Chère flèche, j'ai peur ou es-tu?
Depuis que je t'ai perdu de vue
Flottes-tu avec ces nuages avec passion
Perces-tu avec courage le mur du son
Chère amie, que fais-tu?
Tu es bien loin de moi depuis longtemps
M'entend-tu donc pas suite à l'éloignement
Me ne dit pas que je t'ai encore perdue
Chère Elfe, j’entends tes larmes depuis des heures
Ta camarade vole transpercer le cœur de ton malheur
Ta flèche purifiera aussitôt tes plus grandes peurs
Ton amie offrira ce que tu mérite, le bonheur
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Lune est immortelle , par sa blanche présence
Crépuscule est mortel, fourbe sans aisance
Cette dernière est belle, ravissante par son aura
Ce dernier est rude, d'une obscure allure de malfrat
Lune est innocente, discrète de lumière
Lui-même est perfide, malsain depuis des ères
Elle est devenue depuis, symbole de la vie lunaire
Il est devenu les ténèbres, auquel s'y perdre
La dame est depuis longtemps courtisée
Crépuscule est jaloux, pleins de rancunes
Point touchée par ces avances elle fut forcée
Par un être sans scrupule et rempli de haine
Elle fut dépossédée de son petit cœur
Fragilisée par la dague de Crépuscule
Elle sombre sans personne dans le malheur
Restant de marbre face cette infâme crapule
Depuis ce soir, elle fut dispersée dans ces cieux
Au coucher de son frère, elle se rétracte sur elle-même
Une forme ronde au quelle, l'être méticuleux
L'enferme de son voile emprisonnant son âme
Crépuscule est mortel, fourbe sans aisance
Cette dernière est belle, ravissante par son aura
Ce dernier est rude, d'une obscure allure de malfrat
Lune est innocente, discrète de lumière
Lui-même est perfide, malsain depuis des ères
Elle est devenue depuis, symbole de la vie lunaire
Il est devenu les ténèbres, auquel s'y perdre
La dame est depuis longtemps courtisée
Crépuscule est jaloux, pleins de rancunes
Point touchée par ces avances elle fut forcée
Par un être sans scrupule et rempli de haine
Elle fut dépossédée de son petit cœur
Fragilisée par la dague de Crépuscule
Elle sombre sans personne dans le malheur
Restant de marbre face cette infâme crapule
Depuis ce soir, elle fut dispersée dans ces cieux
Au coucher de son frère, elle se rétracte sur elle-même
Une forme ronde au quelle, l'être méticuleux
L'enferme de son voile emprisonnant son âme
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
La vision du Rêve
Perdue dans la folie des rêves
Ou perdure la paix et les trèves
Comme mille carnages et guerres
étourdie comme projetée en arrière
Un grand guerrier que j'ai pu le distingué
D'un bizarre lampadaire , il était armé
Tournoyant et vilvoltant avec aisance
Maintenait d'une main l'autre à distance
Au regard écarlate par sa prunelle noire
Sous sa cape, une longue et triste histoire
Disparaissant du regard sous mille rasoirs
Un assassin est apparu, sans crier gare
Me retrouvant au milieu du combat
La tête de gauche à droite ici et là
Ma vision se dépose un peu plus bas
Une chose sortie de nulle part du bois
Une silhouette affinée à l'allure animale
Puis l'orbe azur illuminait comme une luciole
Dansant avec facilité par mouvements raffinés
Je me sentie toute bizarre comme charmée
Appuyée sur un rocher proche, cœur battant
Ce dernier émit un bruit lourd, en se levant
Ma taille fut bien peu face à ce roc mouvant
Face à sa monstrueuse, je m'enfuie en courant
Prise de peur, j'entendis des pas me poursuivant
Gallo d'un cheval, il me dévisage en me dépassant
Créature mythologique pour le moins sympathique
Sa lance me glaçait le sang et je sombre dans la panique
Je m'élance avec geste sur le côté pour l'évité
Et soudain je me réveille en sursauts, perdue
J'entend le coulis de la rivière, je suis revenue
Forêt et le vieux chêne bercée par la chaleur de l'été
Perdue dans la folie des rêves
Ou perdure la paix et les trèves
Comme mille carnages et guerres
étourdie comme projetée en arrière
Un grand guerrier que j'ai pu le distingué
D'un bizarre lampadaire , il était armé
Tournoyant et vilvoltant avec aisance
Maintenait d'une main l'autre à distance
Au regard écarlate par sa prunelle noire
Sous sa cape, une longue et triste histoire
Disparaissant du regard sous mille rasoirs
Un assassin est apparu, sans crier gare
Me retrouvant au milieu du combat
La tête de gauche à droite ici et là
Ma vision se dépose un peu plus bas
Une chose sortie de nulle part du bois
Une silhouette affinée à l'allure animale
Puis l'orbe azur illuminait comme une luciole
Dansant avec facilité par mouvements raffinés
Je me sentie toute bizarre comme charmée
Appuyée sur un rocher proche, cœur battant
Ce dernier émit un bruit lourd, en se levant
Ma taille fut bien peu face à ce roc mouvant
Face à sa monstrueuse, je m'enfuie en courant
Prise de peur, j'entendis des pas me poursuivant
Gallo d'un cheval, il me dévisage en me dépassant
Créature mythologique pour le moins sympathique
Sa lance me glaçait le sang et je sombre dans la panique
Je m'élance avec geste sur le côté pour l'évité
Et soudain je me réveille en sursauts, perdue
J'entend le coulis de la rivière, je suis revenue
Forêt et le vieux chêne bercée par la chaleur de l'été
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Re: Poème d'Athel loren
Ô Farfadet azur à trônant à mes côtés
Toi, petit être vivant à l'esprit raffiné
Portes-tu en ton cœur profondément
L'amour que te porte Ariel infiniment
Ô Vieux chêne, tuteur de bien des années
Toi, qui as vu ma naissance et mes débuts
Par ta présence imposante et vénérée
Gardien des souvenirs et force sont tes dus
Ô Peuple sylvestre, mon peuple et monde
Vous, qui me soutenez dans votre cœur
Notre maison est là au quelle la forêt parade
Souvenez-vous des évènements merveilleux
Ô Ariel, notre Reine parmi les reines
Toi, pour ton tendre cœur angélique
Pour ton amour de la vie je m'incline
Ton aura est pure et saine magique
Ô Athel loren, notre précieux sanctuaire
Pour toi, toute ma vie t'y ai dédiée
Ensemble, nous parcourons les millénaires
Cœur et âme, nos sentiments partagées
Ô l'avenir , pourquoi es-tu si indécis
Toi, qui à l'emprise du temps sur la vie
Changerais-tu ce monde dans un futur
Ou envole toi avec nous sans coup dur
Toi, petit être vivant à l'esprit raffiné
Portes-tu en ton cœur profondément
L'amour que te porte Ariel infiniment
Ô Vieux chêne, tuteur de bien des années
Toi, qui as vu ma naissance et mes débuts
Par ta présence imposante et vénérée
Gardien des souvenirs et force sont tes dus
Ô Peuple sylvestre, mon peuple et monde
Vous, qui me soutenez dans votre cœur
Notre maison est là au quelle la forêt parade
Souvenez-vous des évènements merveilleux
Ô Ariel, notre Reine parmi les reines
Toi, pour ton tendre cœur angélique
Pour ton amour de la vie je m'incline
Ton aura est pure et saine magique
Ô Athel loren, notre précieux sanctuaire
Pour toi, toute ma vie t'y ai dédiée
Ensemble, nous parcourons les millénaires
Cœur et âme, nos sentiments partagées
Ô l'avenir , pourquoi es-tu si indécis
Toi, qui à l'emprise du temps sur la vie
Changerais-tu ce monde dans un futur
Ou envole toi avec nous sans coup dur
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Assise de nouveau sur la branche du grand chêne du Bosquet, elle déballe un objet protégé par des couches de feuilles d'argents. Une fois entièrement déballé, elle dispose l'objet sur ses genoux et d'une respiration elle dispose ses mains au-dessus et d'un mouvement souple elle caresse les cordes avec sa main droite qui produit une mélodie calme et reposante, l'objet étant assez long et tout en bois sculpté il disposait de 7 cordes de soies.
Elle ferme les yeux et aussitôt elle se mise à accompagner la mélodie d'un chant porté par sa voix.
(https://www.youtube.com/watch?v=lyieFu7BnHE) si vous voulez la partie musicale qui l'accompagne^^
Elle ferme les yeux et aussitôt elle se mise à accompagner la mélodie d'un chant porté par sa voix.
Au loin, entends-tu ces sons
Ceux qui affectent nos saisons
Ceux qui accompagne les chansons
Ceux qui embellie l'horizon
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une pincée agile, la corde chante
Résonne et s'exprime d'étonnante
Comme ce que ressent ton cœur
Cette mélodie décrit ton humeur
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une deuxième pincée, la corde vibre
Ferme les yeux et la pensée libre
Résonne dans ta poitrine, une virée
Enchantée et dont tu es prisonnier
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La troisième pincée, la corde frisonne
Une émotion se transforme en fanfaronne
Un sentiment de bien-être me couronne
Une larme me coule que je lui pardonne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
Quatrième pincée, la corde roule
Maintenant le son suivant la parole
Ce bruit tendre et enivrant t'enroule
Entrainé dans la musique qui s’affole
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une cinquième pincée, la corde ronronne
Qui touche le fil de ton corps qui bourdonne
Irréductible comme la chute de l'automne
Avec ta bouche, indéniablement tu la chantonne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La sixième pincée, la corde fredonne
Main sur le cœur, le sentiment que me donne
Cette chanson dont une voix me frissonne
J'apprécie ce chant comme personne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La septième pincée, la corde s'endort
Un silence apparu dans ce confort
La musique est une amie et un réconfort
N'as-tu pas envie d'en écouter encore?
Ceux qui affectent nos saisons
Ceux qui accompagne les chansons
Ceux qui embellie l'horizon
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une pincée agile, la corde chante
Résonne et s'exprime d'étonnante
Comme ce que ressent ton cœur
Cette mélodie décrit ton humeur
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une deuxième pincée, la corde vibre
Ferme les yeux et la pensée libre
Résonne dans ta poitrine, une virée
Enchantée et dont tu es prisonnier
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La troisième pincée, la corde frisonne
Une émotion se transforme en fanfaronne
Un sentiment de bien-être me couronne
Une larme me coule que je lui pardonne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
Quatrième pincée, la corde roule
Maintenant le son suivant la parole
Ce bruit tendre et enivrant t'enroule
Entrainé dans la musique qui s’affole
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
D'une cinquième pincée, la corde ronronne
Qui touche le fil de ton corps qui bourdonne
Irréductible comme la chute de l'automne
Avec ta bouche, indéniablement tu la chantonne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La sixième pincée, la corde fredonne
Main sur le cœur, le sentiment que me donne
Cette chanson dont une voix me frissonne
J'apprécie ce chant comme personne
Sur ce doux et calme courant d'eau
S'envole d'une note, un crescendo
Entraine et vibrent ces feuilles aussitôt
Si l'oreille tendue l'entend, cela est beau
La septième pincée, la corde s'endort
Un silence apparu dans ce confort
La musique est une amie et un réconfort
N'as-tu pas envie d'en écouter encore?
(https://www.youtube.com/watch?v=lyieFu7BnHE) si vous voulez la partie musicale qui l'accompagne^^
Dernière édition par Nannerl le Lun 3 Oct - 23:23, édité 1 fois
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
La neige qui poudroie dans la solitude de notre enfance ....
Qu'est ce que vous en pensez ?
Qu'est ce que vous en pensez ?
Tauron Celeblesraen- Nombre de messages : 62
Age : 33
Localisation : Mons Belgique
Date d'inscription : 08/09/2016
Re: Poème d'Athel loren
§§§§§§§§§§§§§ Bonjour Enfants de la Forêt.
§§§ J'ai les rimes qui vibres au sons de tes écrits.
§§§ Bonne journée.
§§§ J'ai les rimes qui vibres au sons de tes écrits.
§§§ Bonne journée.
_________________
je veux bien vivre plus de cent ans et danser avec mon autre moi sentir ses bras qui m'emporteront jusqu'au firmament
Anos fils d'Athel et de Loren.
Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Re: Poème d'Athel loren
Depuis cette nuit sans étoiles
Un crépuscule sans nuages
Sans un seul vent dans nos voiles
Sans une murmure dans les parages
Serait-elle paralysée, là sans bouger
Ses cheveux solidifiés par le souffle glacé
Ou est donc la chaleur de son petit cœur
Disparue serait le mot qui sonne une douleur
Le regard perdu, surement sur l'horizon
Elle se demande encore qui avait raison
Elle ou lui, cela n'est que comparaison
Mais cela la ronge, car elle brulait de passion
Ce froid qu'elle redoutait tant serait arrivé
Ce dernier qui congèlent ses pleures
Ce dernier qui l'empêche d'avancer
Ce dernier dont la souffrance la perfore
Assise sans rien dire, le regard vide
Le visage figé au dessus d'un cœur rigide
La main froide par l'absence de chaleur
Sa pensée fut brisée et s'enfouit ailleurs
Attend-t-elle son rayon de soleil
Qui l'aurait surement sauvée
Attend-t-elle celui qui n'a pas pareil
Qui l'aurait surement supprimée
Cela n'est qu'un petit battement
Sous l'épaisse glace de son cœur
Que pense-t-elle par moment
Heureuse pour ses dernières heures
Cela n'est qu'une éphémère humeur
Car à sa porte, frappe le malheur
D'une main ferme, il se présente
En présentant sa paume oppressante
Ce voyage est au bout de cette route dit-il
Le regard rouge, elle bougea d'une démarche lente
Elle se déplace avec grande difficulté et fébrile
Perdue et seule, elle n'est plus une battante
A un pas de la fin du voyage, une forte lumière
Surgissant de nul part, réchauffant son être
Ses larmes libérées, coulent de ses paupières
Sous un tel choc, elle déverse vers la terre
Avant même de percuter de dur terrain
Elle se sentie attrapée par deux grands bras
Ils étaient chauds, accueillant et sereins
Elle finit par s'endormir car son cœur l'accepta.
Dernière édition par Nannerl le Sam 3 Fév - 20:07, édité 1 fois
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
Poeme triste, Poeme froid
Poeme d'espoir, Poeme de joie
Poeme d'avenir? Poeme passé?
Des yeux fermée, mais apaisés
Larmes au début, lumière à la fin
Nuit d'une mort, matin chagrin
Quelques vers terminent le chant
Par une image paisible, vraiment?
Heureux de te voire toujours à l'oeuvre, Ô Nannerl la poétesse
Poeme d'espoir, Poeme de joie
Poeme d'avenir? Poeme passé?
Des yeux fermée, mais apaisés
Larmes au début, lumière à la fin
Nuit d'une mort, matin chagrin
Quelques vers terminent le chant
Par une image paisible, vraiment?
Heureux de te voire toujours à l'oeuvre, Ô Nannerl la poétesse
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
Le destin t'appartient.
Marche ,Marche, Marche vers ta voie
Tes pieds te porteront avec endurance
Le temps t'importe peu, juste un choix
Lentement mais surement avec vaillance
Cours, Cours, Cours sur ce chemin
Tes jambes te poussent en avant
Ta pensée guide tes pas avec entrain
Avance vers ce qui t'attire droit devant.
Sprint, Sprint, Sprint vers l'horizon
Prend de la vitesse sans faire attention
Fend l'air à la limite de la raison
Ne laisse pas échapper cette occasion
Accélère, Accélère, Accélère sans retour
Sœur de vélocité en symbole de détermination
Précipitation disparait dans l'anticipation
Désires-tu donc pas rattraper le temps un jour
Tes pieds te porteront avec endurance
Le temps t'importe peu, juste un choix
Lentement mais surement avec vaillance
Cours, Cours, Cours sur ce chemin
Tes jambes te poussent en avant
Ta pensée guide tes pas avec entrain
Avance vers ce qui t'attire droit devant.
Sprint, Sprint, Sprint vers l'horizon
Prend de la vitesse sans faire attention
Fend l'air à la limite de la raison
Ne laisse pas échapper cette occasion
Accélère, Accélère, Accélère sans retour
Sœur de vélocité en symbole de détermination
Précipitation disparait dans l'anticipation
Désires-tu donc pas rattraper le temps un jour
Dernière édition par Nannerl le Sam 3 Fév - 20:02, édité 2 fois
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Re: Poème d'Athel loren
§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la Forêt.
§§§ C'est vrais que notre destin nous appartient,
§§§ Nos pieds nous mène vers lui, sans raison,
§§§ porté sur nos jambes, nous courront vers l'horizon,
§§§ plus nous allons vite et plus il semble inaccessible.
§§§ Bonne soirée à tous.
§§§ C'est vrais que notre destin nous appartient,
§§§ Nos pieds nous mène vers lui, sans raison,
§§§ porté sur nos jambes, nous courront vers l'horizon,
§§§ plus nous allons vite et plus il semble inaccessible.
§§§ Bonne soirée à tous.
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Anos fils d'Athel & LModérateur - Nombre de messages : 3492
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Re: Poème d'Athel loren
Choisir son allure, vite, ou bien lentement
Pour une aventure, la célérité
Est un choix vital, bien plus qu'important
Car à choisir mal, on peut s'épuiser
Vive la poesie, et Nannerl qui la manie si bien!
Pour une aventure, la célérité
Est un choix vital, bien plus qu'important
Car à choisir mal, on peut s'épuiser
Vive la poesie, et Nannerl qui la manie si bien!
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
L'épuisement n'est que la distraction de l'esprit
Mais ce dernier est dur comme fer, gorgé d'acier
Si nul ne détourne son regard, trouve enfin sa vie
Sois le forgeron de ton horizon, martelé avec vivacité
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
L'horizon est mouvant, on ne le forge pas
On le déforme un peu en faisant quelques pas
Et si l'esprit le veux, pourrait-on préférer
Le hasard à venir à la solidité?
La neige est blanche, oui, je le vois
la neige à peur? Sans doute pas…
Mais on pourrait imaginer
même si c'est étrange d'y songer
Que ces flocons se réveillants
Si haut, si haut, au firmament
Et dès la naissance voient en bas
La chute, le sol si loin là-bas
Pris de vertiges et de frayeur
Ces innocents blanchissent de peur
Et s'évanouissent en un instant
Pendant que le terre les attend
Ils se réveillent tous ensemble
Dans ces grands tas qu'on appelle neige
Blanc d'innocence, Blanc de terreur
Et personne pour les rassurer
On le déforme un peu en faisant quelques pas
Et si l'esprit le veux, pourrait-on préférer
Le hasard à venir à la solidité?
La neige est blanche, oui, je le vois
la neige à peur? Sans doute pas…
Mais on pourrait imaginer
même si c'est étrange d'y songer
Que ces flocons se réveillants
Si haut, si haut, au firmament
Et dès la naissance voient en bas
La chute, le sol si loin là-bas
Pris de vertiges et de frayeur
Ces innocents blanchissent de peur
Et s'évanouissent en un instant
Pendant que le terre les attend
Ils se réveillent tous ensemble
Dans ces grands tas qu'on appelle neige
Blanc d'innocence, Blanc de terreur
Et personne pour les rassurer
ethgri wyrdaModérateur - Nombre de messages : 1333
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Re: Poème d'Athel loren
Me voici de retour, mon repaire
Mon bosquet aux dix mille feuilles
Qui marchant depuis la lueur d'hier
Chantant bien des poésies et recueilles
La plume c'est étouffée depuis peu
Car la main n'étant pas disponible
Mais cela n'est que passé et vieux
L'encre recoule d'un flot prévisible
La chevauchée n'étant que mémorable
La mémoire gravée dans la pierre blanche
Car une reprise des années futures indispensable
Taillé dans la masse, fixée à l'une des branches
La course fut remportée, d'un duo spécialement
L'union de l'animal et de l'elfe, conversion magique
l'insaisissable créature, la corne perforant le vent
La frêle cavalière en soutien et pensée méthodique
Deux véloces victorieux comme une seule entité
D'un pied et d'un sabot, dépasse la ligne d'arrivée
La noble fierté animale de l'un permit de se surpassé
L'amour, tendresse et passivité de l'une pour le réfréner
Aucun trophée n'a été ramené en ce lieu
Mais le cœur n'oublie jamais un moment heureux
Mais finir première, juste une fois dans un jeu
Cela n'a pas de valeur, juste un sentiment bienheureux
-Mais cela va-t-il durer? se demanda-t-elle.
Mon bosquet aux dix mille feuilles
Qui marchant depuis la lueur d'hier
Chantant bien des poésies et recueilles
La plume c'est étouffée depuis peu
Car la main n'étant pas disponible
Mais cela n'est que passé et vieux
L'encre recoule d'un flot prévisible
La chevauchée n'étant que mémorable
La mémoire gravée dans la pierre blanche
Car une reprise des années futures indispensable
Taillé dans la masse, fixée à l'une des branches
La course fut remportée, d'un duo spécialement
L'union de l'animal et de l'elfe, conversion magique
l'insaisissable créature, la corne perforant le vent
La frêle cavalière en soutien et pensée méthodique
Deux véloces victorieux comme une seule entité
D'un pied et d'un sabot, dépasse la ligne d'arrivée
La noble fierté animale de l'un permit de se surpassé
L'amour, tendresse et passivité de l'une pour le réfréner
Aucun trophée n'a été ramené en ce lieu
Mais le cœur n'oublie jamais un moment heureux
Mais finir première, juste une fois dans un jeu
Cela n'a pas de valeur, juste un sentiment bienheureux
-Mais cela va-t-il durer? se demanda-t-elle.
Du bruit de pas s'engouffre dans l'enceinte du bosquet, un bruit de pas d'elfe mais pas seulement car un animal massif l'accompagne. un cerf imposant armé de puissants bois finement sculptés mais d'une solidité et souplesse qui en n'a rien a envié à une lance.
Le Cavalier me dépassait d'une tête, sur ses épaules repose une cape en feuillages tressés, on pouvait distinguer des morceaux d'armures et un détail attire l'œil n'est qu'autre que son heaume en argent ornée de bois réduit mais identique à la monture.
il pénètre en ce lieu et se dirige vers le centre, il tire de sa manche une lettre qu'il délie et d'une respiration début la lecture.
"Dame Nannerl, fille d'Ariel, rang de tisseuse de charme et récente victorieuse de la course du printemps à la gloire du Seigneur de la forêt, le Seigneur Orion. Convocation dans 5 lunes au Chêne des Ages sur demande sur l'approbation et la vérification du titre de champion d'Orion par le conseil des Seigneurs. Aucune tolérance ne sera en cas de manquement au devoir ci-précité.
Gloire à la Grande-Forêt, Gloire à Orion. Par ce présent, l'annonce de la Grande Chasse est lancée et appel le champion à la chasse."
L'elfe rengaine l'annonce et s'en repart sans autre courtoisie et disparu entre deux fougères.
L'elfette reste perplexe...n'ayant pas vraiment négocié ce problème et le voilà bien présent...on l'appel à la guerre..mais cela n'est pas la guerre auquel elle aspire car le sang est vraiment une encre médiocre et mauvaise.
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"Les mots sont bien plus dévastateurs que les épées, d'un mots une guerre éclate, d'un autre mots la paix s'installe."
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Re: Poème d'Athel loren
Parcourant la verdoyante virevolté
Ce souvenir d'une brève épopée
Resurgir la chasse du passé
La flèche du temps fut arrêtée
L'annonce fut annoncée d’emblée
Finit la routine passible de rêvassé
L'appel a retenti, vous voilà concerné
Rassemblement de nouveau en unité
L'imperturbable végétation en marche
Fort de mille branches et poings noueux
L’agitation est palpable, l'heure de la revanche
Le sang doit couler, humains ou verts belliqueux
Bannières au vent, épées aux fourreaux
Boucliers de bronze, lances acérées
Carquois rassasiés, arcs dans le dos
Armures d'écorces, Les elfes sont arrivées
L’excitation d'un cor, extase leurs ferveurs
Il est heure de faire comprendre nos valeurs
Ils ont venu de cœur à la haine colérique
Posté en bordure, Impatients et frénétiques
Qui pense arrêter la vengeance de nos maux
Les loups sortent de la forêt, mes agneaux
Courez tant que bien, vous le pouvez encore
La Chasse va débuter...mais la traque démarre
Ce souvenir d'une brève épopée
Resurgir la chasse du passé
La flèche du temps fut arrêtée
L'annonce fut annoncée d’emblée
Finit la routine passible de rêvassé
L'appel a retenti, vous voilà concerné
Rassemblement de nouveau en unité
L'imperturbable végétation en marche
Fort de mille branches et poings noueux
L’agitation est palpable, l'heure de la revanche
Le sang doit couler, humains ou verts belliqueux
Bannières au vent, épées aux fourreaux
Boucliers de bronze, lances acérées
Carquois rassasiés, arcs dans le dos
Armures d'écorces, Les elfes sont arrivées
L’excitation d'un cor, extase leurs ferveurs
Il est heure de faire comprendre nos valeurs
Ils ont venu de cœur à la haine colérique
Posté en bordure, Impatients et frénétiques
Qui pense arrêter la vengeance de nos maux
Les loups sortent de la forêt, mes agneaux
Courez tant que bien, vous le pouvez encore
La Chasse va débuter...mais la traque démarre
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Re: Poème d'Athel loren
§§§§§§§§§§§§§ Bonsoir Enfants de la Forêt.
§§§ Voici revenue, notre Poétesse,
§§§ Qui de sa plume, couche les mots,
§§§ Sur du papier d'enchanteresse,
§§§ Elle nous rappelle à tous nos maux.
§§§ Bonne soirée.
§§§ Voici revenue, notre Poétesse,
§§§ Qui de sa plume, couche les mots,
§§§ Sur du papier d'enchanteresse,
§§§ Elle nous rappelle à tous nos maux.
§§§ Bonne soirée.
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je veux bien vivre plus de cent ans et danser avec mon autre moi sentir ses bras qui m'emporteront jusqu'au firmament
Anos fils d'Athel et de Loren.
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Re: Poème d'Athel loren
Sombre Duel
Vole la chevelure, bercée par le vent
S'élance en avant, vers le soleil levant
Les enjambées véloces, prirent les devants
L'horizon se rapproche, la bête s'approchant
l’œil dansant à loisir d'un lieu droit devant
Sa vision devenue un regard transperçant
Rapidité et la prise de décision, fulgurant
D'un doigt, son projectile devient transparent
La gâchette actionnée, gronde en tonnant
Le temps fut ralenti à quelques battements
Balle sifflante duquel s'affiche son sourire blanc
L'extase l’épie et abaissant le canon fumant
D'un râle s'écroulant au sol, touché de flanc
Le regard crispé, douleur fut ce pire moment
La main sur corps, la souffrance le crispant
Son ciel vire rouge, d'un goût de fer, du sang
D'un rire, à son côté, Des bottes piétinants
D'un espoir prit par sa main, Dieu bien absent
Tant que malgré meurtri, tente un coup contondant
N'ayant de du vide, il perdit confiance en s'écroulant
Accroupis à portée du regard, perçoit nettement
Le diable est venu le chercher, perdu maintenant
Il est venu le temps pour lui, un dernier chant
D'une parole ensanglantée, essaye le pardonnant
Quand s’exclame aucun son, la langue fut inopérante
Juste le goût de l'acier, couvert de son propre sang
Souffrance atteint son paroxysme, la mort hésitante
Enfin s'envole son âme et la torture en décédant
L'inconnu récupère son dû, le médaillon en argent
Se lavant les mains, le sourire aux lèvres gaiement
Le soleil perfore les nuages, il est temps d'un chant
Rangeant son arme, il prit le chemin en chantonnant
S'élance en avant, vers le soleil levant
Les enjambées véloces, prirent les devants
L'horizon se rapproche, la bête s'approchant
l’œil dansant à loisir d'un lieu droit devant
Sa vision devenue un regard transperçant
Rapidité et la prise de décision, fulgurant
D'un doigt, son projectile devient transparent
La gâchette actionnée, gronde en tonnant
Le temps fut ralenti à quelques battements
Balle sifflante duquel s'affiche son sourire blanc
L'extase l’épie et abaissant le canon fumant
D'un râle s'écroulant au sol, touché de flanc
Le regard crispé, douleur fut ce pire moment
La main sur corps, la souffrance le crispant
Son ciel vire rouge, d'un goût de fer, du sang
D'un rire, à son côté, Des bottes piétinants
D'un espoir prit par sa main, Dieu bien absent
Tant que malgré meurtri, tente un coup contondant
N'ayant de du vide, il perdit confiance en s'écroulant
Accroupis à portée du regard, perçoit nettement
Le diable est venu le chercher, perdu maintenant
Il est venu le temps pour lui, un dernier chant
D'une parole ensanglantée, essaye le pardonnant
Quand s’exclame aucun son, la langue fut inopérante
Juste le goût de l'acier, couvert de son propre sang
Souffrance atteint son paroxysme, la mort hésitante
Enfin s'envole son âme et la torture en décédant
L'inconnu récupère son dû, le médaillon en argent
Se lavant les mains, le sourire aux lèvres gaiement
Le soleil perfore les nuages, il est temps d'un chant
Rangeant son arme, il prit le chemin en chantonnant
Dernière édition par Nannerl le Sam 3 Fév - 19:58, édité 1 fois
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Re: Poème d'Athel loren
La poète et l'enclume
Bien que cachée, on la devine
Comme profonde identité divine
Présence trahit son chant de cristal
Animant par forme, notre monde natal
Implantée dans un lac azur, la reçoit
Frappée une vague dressée, reflète
Flot créant un mot, une nuance violette
Écrit éthérique digne au plus grand roi
Les mots mortels sont impuissants
Nul ride le lac, son onde invisible
Par la frappe au son irrésistible
Définit sa lourde grâce d’antan
On rêve sous ses coups frappeurs
Agitant l'âme, rassurant les cœurs purs
Son chant de cristal à l'ode enchanteur
Aussi Profond que subtile, le lac azur
Sous le marteau, l'étincelle des milles mots
L'instrument aligne d'un choc dans le flot
L'ardeur de la tache, l'obtention primordiale
Récompense à la hauteur des aveux idéales
Composition d'écrit, une musicale partition
Elle a vécue, perdue dans ses rêves étranges
L'enclume chante pour elle, l'appel d'un ange
Foudroyée par l'audace, cédant à cet horizon
Comme profonde identité divine
Présence trahit son chant de cristal
Animant par forme, notre monde natal
Implantée dans un lac azur, la reçoit
Frappée une vague dressée, reflète
Flot créant un mot, une nuance violette
Écrit éthérique digne au plus grand roi
Les mots mortels sont impuissants
Nul ride le lac, son onde invisible
Par la frappe au son irrésistible
Définit sa lourde grâce d’antan
On rêve sous ses coups frappeurs
Agitant l'âme, rassurant les cœurs purs
Son chant de cristal à l'ode enchanteur
Aussi Profond que subtile, le lac azur
Sous le marteau, l'étincelle des milles mots
L'instrument aligne d'un choc dans le flot
L'ardeur de la tache, l'obtention primordiale
Récompense à la hauteur des aveux idéales
Composition d'écrit, une musicale partition
Elle a vécue, perdue dans ses rêves étranges
L'enclume chante pour elle, l'appel d'un ange
Foudroyée par l'audace, cédant à cet horizon
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NannerlModérateur - Nombre de messages : 528
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Re: Poème d'Athel loren
La poetesse de la fôret
Chante toujours avec talent
Chacun des vers qui sont son fait
Méritent tous les compliments
Les symboles et les métaphores
Sont sa signature poétique
Nul en ces bois n'est assez fort
Pour égaler cette musique
Le tintement de cette enclume
est un exemple de cet eclat
alors que sur le papier joue la plume
Nous entendons le fer qu'on bat
bon retour à la poesie sylvaine ô Nannerl !
Chante toujours avec talent
Chacun des vers qui sont son fait
Méritent tous les compliments
Les symboles et les métaphores
Sont sa signature poétique
Nul en ces bois n'est assez fort
Pour égaler cette musique
Le tintement de cette enclume
est un exemple de cet eclat
alors que sur le papier joue la plume
Nous entendons le fer qu'on bat
bon retour à la poesie sylvaine ô Nannerl !
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